Tillac (Gers)

Tillac est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Pour les articles homonymes, voir Tillac.

Tillac

Rue principale du village et l'église Saint-Jacques-le-Majeur
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Bastides et Vallons du Gers
Maire
Mandat
Alain Audirac
2020-2026
Code postal 32170
Code commune 32446
Démographie
Population
municipale
285 hab. (2019 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 34″ nord, 0° 16′ 35″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 264 m
Superficie 12,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pardiac-Rivière-Basse
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Tillac
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Tillac
Géolocalisation sur la carte : Gers
Tillac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Tillac

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Bouès, le ruisseau de Cassagnau et par divers autres petits cours d'eau.

    Tillac est une commune rurale qui compte 285 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 838 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Tillacais ou Tillacaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : la Tour de l'Horloge, inscrite en 1925, les remparts, inscrits en 1925, la maison de la bastide, inscrite en 1926, et l'église Saint-Jacques-le-Majeur, inscrite en 2014.

    Géographie

    Localisation

    À l'ouest d'une barre boisée, la vallée du Bouès s'ouvre sur une grande plaine étalée vers Marciac. Le petit village de Tillac, anciennement fortifié et situé à 39 km au sud-ouest d'Auch, commande un grand territoire agricole demeuré très actif.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Tillac[1]
    Monlezun Pallanne
    Troncens Laas
    Monpardiac Aux-Aussat Miélan

    Géologie et relief

    Tillac se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Bouès, le ruisseau de Cassagnau, l'Esclotte, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[4],[Carte 1].

    Le Bouès, d'une longueur totale de 62,5 km, prend sa source dans la commune de Burg et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Arros à Beaumarchés, après avoir traversé 32 communes[5].

    Réseaux hydrographique et routier de Tillac.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 883 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mirande », sur la commune de Mirande, mise en service en 1971[11] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 791,1 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 31 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] à 13,5 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Tillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[I 1],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54,5 %), terres arables (20,5 %), prairies (11,8 %), forêts (7,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Albert Dauzat[23] et Ernest Nègre[24] ne mentionnent pas de formes anciennes pour Tillac.

    L'un comme l'autre l'expliquent cependant. Pour le premier, l'élément -ac est le suffixe -acum, précédé du nom d'homme latin Tilius. Pour le second, il s'agit du même suffixe, composé avec le nom d'homme romain Tillius (OTL).

    L'origine du suffixe -acum a été étudiée par les linguistes et les toponymistes[25]. Il est d'origine gauloise *-āko / *-(i)āko- et sert à localiser des dieux où des personnes à l'origine, avant de devenir un suffixe marquant la propriété à l'époque gallo-romaine[26]. Il a donné -ac dans le Sud de la France (et parfois en Bretagne) et -(a)y / -(e)y /-é, etc. dans le Nord.

    Tillac doit remonter au gallo-roman *TILIACU ou *TILLIACU comme certains Tilly du nord de la France, ainsi Tilly-sur-Meuse, riche en formes anciennes : Tilliacus fiscus IXe siècle ; Tiliacum (952, 962, 973, 1011, 1015, 1047, 1049, 1060, 1061). Un rapport avec le nom du tilleul (occitan telh) est plus problématique.

    Homonymie avec plusieurs autres Tillac, notamment Grand- et Petit-Tillac sur la commune de Rorthais (Deux-Sèvres).

    Le nom commun tillac « pont supérieur d'un navire » a une tout autre origine. Il s'agit d'un mot normand attesté pour la première fois dans un rapport du Clos des galées de Rouen en 1369[27].

    Histoire

    La création de Tillac s’étend entre le XIe et XIVe siècles[réf. souhaitée]. Le village, doté de fortifications élevées par Bernard VII, comte d'Armagnac, se présente à l’époque sous la forme d’un quadrilatère fortifié, dont chaque angle est orienté vers un des points cardinaux, établi autour d’un château. Celui-ci, appartenant aux comtes de Pardiac, n’existe plus aujourd’hui, mais ses vestiges sont toujours visibles dans l’angle nord-est du village.

    Le système défensif de Tillac comporte deux tours : la tour de Mirande à l’est, et la tour de Rabastens à l’ouest, soulignant l’importance du castelnau d’alors. La tour de Rabastens présente une particularité rare dans la région, celle de posséder seulement deux murs et pas de toit. Il s’agit d’une tour ouverte à la gorge, conçue pour empêcher les ennemis de s’y installer si elle venait à être prise.

    Le village est traversé d'une ruelle encadrée de deux galeries couvertes, dont les encorbellements, reposant sur de gros piliers de bois, sont rehaussés de briques ou de torchis. Les maisons actuelles du village datent de la fin du XVIIe siècle, et l’on retrouve sur des piliers du presbytère une mesure à grain en pierre, scellée pour répondre à une ordonnance royale de 1613. Elle oblige en effet les Tillacois à « tenir mesure d’airain ou de pierre pour que le public y mesure ses grains ».

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Jean Lapoutge PCF  
    mars 2001 2008 Pierre-Max Tenet    
    mars 2008 En cours Alain Audirac[28] DVD Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30]. En 2019, la commune comptait 285 habitants[Note 5], en augmentation de 8,78 % par rapport à 2013 (Gers : +0,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    626491638719804818838810788
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    736750690673669634569535503
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    513498370388377374377319327
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019
    346315320302295260254280285
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie, commerces et artisans

    - 1 gîte rural : CAP de BOUEOU (bouéou = bœuf en gascon) - Location de vacances dans une ferme du XVIIIe siècle - km de Tillac.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La tour de Mirande, située à l'entrée Est de Tillac.
    • La tour de Rabastens, située à l'entrée Ouest de Tillac.
    • L’église Saint-Jacques-le-Majeur est un édifice gothique du XVe siècle. Son retable du XVIIIe siècle est classé monument historique. En 1855-1856, la nef est refaite et de nouvelles ouvertures sont alors percées pour éclairer chaque côté. Alors qu’en 1840, l’église ne comporte aucune statue, elle compte aujourd’hui quelques œuvres parmi lesquelles une vierge pèlerine, un saint Jacques en bois sculpté, inspiré d’une statue du portail principal de la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle. On y trouve encore des trésors liturgiques : antiphonaires, ciboires, vêtements liturgiques et bannières de procession. L'église est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 2014[33]. Plusieurs objets (cloche, tableau) sont référencer dans la base Palissy (voir les notices liées)[33].
    • Le château de Pallanne, à la sortie de Tillac, est l'un des plus beaux châteaux du XVIIIe siècle de la région. Il a été construit pour Audirac, médecin à la mode à la cour de Louis XVI.

    Galerie de photos

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)
    • Alfred Gardey de Soos, Tillac-en-Pardiac à travers les âges, Carcassonne, Bonnafous-Thomas, [1905], 106 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Tillac » sur Géoportail (consulté le 13 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Tillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « le Bouès »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Mirande - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Tillac et Mirande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Mirande - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Tillac et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Tillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Tillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Liste des espaces protégés sur la commune de Tillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p. 678.
    24. Toponymie générale de la France, Volume 1. Librairie Droz 1991. p. 480.
    25. Pierre-Yves Lambert, La langue Gauloise, édition errance 1994. p. 39
    26. P-Y Lambert, Op. cité.
    27. Site du cnrtl : étymologie de Tillac
    28. Site de la préfecture - Fiche de Tillac
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. « Eglise Saint-Jacques-le-Majeur, située au village », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
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