Rabastens-de-Bigorre

Rabastens-de-Bigorre [ʁabastɛ̃s də biɡɔʁə] est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Rabastens.

Rabastens-de-Bigorre

Paysage dans les environs du village de Rabastens-de-Bigorre

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes Adour Madiran
Maire
Mandat
Véronique Thirault
2020-2026
Code postal 65140
Code commune 65375
Démographie
Gentilé Rabastenais
Population
municipale
1 447 hab. (2019 )
Densité 162 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 16″ nord, 0° 09′ 05″ est
Altitude Min. 191 m
Max. 280 m
Superficie 8,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Rabastens-de-Bigorre
Géolocalisation sur la carte : France
Rabastens-de-Bigorre
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Rabastens-de-Bigorre
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Rabastens-de-Bigorre
Liens
Site web http://www.rabastensdebigorre.fr/

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le canal d'Alaric, l'Estéous et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Rabastens-de-Bigorre est une commune rurale qui compte 1 447 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes. Ses habitants sont appelés les Rabastenais ou Rabastenaises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Rabastens-de-Bigorre se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 19 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 13 km de Maubourguet[2], bureau centralisateur du canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Vic-en-Bigorre[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Sarriac-Bigorre (1,9 km), Mingot (2,3 km), Lacassagne (3,3 km), Haget (3,7 km), Ségalas (3,7 km), Villecomtal-sur-Arros (4,3 km), Sénac (4,3 km), Beccas (4,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Rabastens-de-Bigorre fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

    Carte de la commune de Rabastens-de-Bigorre et des proches communes.

    Hydrographie

    Le ruisseau de l'Estéouxou traverse la commune du sud au nord et forme la limite est avec la commune de Mingot avant de rejoindre l'Estéous au lieu-dit Pécost de Haget.
    Le ruisseau de l'Estéous, affluent droit de l'Adour, traverse la commune du sud au nord et forme la limite est avec la commune d'Haget (Gers).
    Le ruisseau de l'Ayguevive traverse la commune du sud au nord et forme la limite ouest avec la commune de Sarriac-Bigorre.
    Les canaux d'Alaric et de la Galotte traversent[Quoi ?] la commune au centre bourg.

    Climat

    Le climat est tempéré de type océanique, dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

    Données climatiques à Rabastens-de-Bigorre.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
    Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[6].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 2] est recensée sur la commune[7] : les « coteaux de Haget à Lhez » (4 261 ha), couvrant 32 communes dont quatre dans le Gers et 28 dans les Hautes-Pyrénées[8].

    Urbanisme

    La fontaine sur la place du village.

    Typologie

    Rabastens-de-Bigorre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[I 2],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

    Clocher de l'église Saint-Louis et hôtel Le Richelieu.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), zones agricoles hétérogènes (25,7 %), zones urbanisées (14,8 %), forêts (12,1 %), prairies (0,3 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 722[I 5].
    Parmi ces logements, 83,9 % sont des résidences principales, 1,0 % des résidences secondaires et 15,1 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route nationale N21 et la route départementale D934 et par les routes départementales D5 et D6.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Rabastens-de-Bigorre.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[12] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Étymologie : transfert de Rabastens (Tarn).

    Nom occitan : Rabastens.

    Histoire

    La bastide de Rabastens est fondée par le sénéchal Guillaume de Rabastens le . L'église gothique construite dans les décennies suivantes, est un des rares éléments architecturaux de l'époque qui soit encore visible à Rabastens.

    En juillet 1570, Blaise de Montluc, lieutenant du roi, fait le siège de Rabastens alors occupé par les protestants de la reine de Navarre. Défiguré par un tir d'arquebuse, Montluc demande une trêve et promet la vie sauve aux habitants de Rabastens, parole qu’il trahit en les massacrant sitôt introduit dans le château le . Il garde le surnom de lou nase de Rabastens.

    En 1594, le château et les fortifications sont détruits.

    Le , Rabastens devient Rabastens-de-Bigorre.

    Cadastre napoléonien de Rabastens-de-Bigorre

    Le plan cadastral napoléonien de Rabastens-de-Bigorre est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[13].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    La mairie en 2016.
    La Poste en 2016.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1971 mars 1989 Jean-Bernard Gissot RPR  
    mars 1989 mars 2008 Pierre Lalanne PS Conseiller général de 1998 à 2008
    mars 2008 mai 2020 Alain Guillouet SE  
    mai 2020 en cours Véronique Thirault[16] SE Conseillère départementale depuis 2021

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Rabastens, chef-lieu de canton (depuis 1790).Escondeaux, quartier de Rabastens, commune en 1790, est rattachée à Rabastens entre 1791 et 1801, puis érigée en commune en 1845. Rabastens prend en 1962 le nom de Rabastens-de-Bigorre[17].

    Intercommunalité

    Rabastens-de-Bigorre aappartient à la communauté de communes Adour Madiran créée en qui a la particularité de réunir 72 communes de Bigorre et Béarn.

    Services publics

    La commune de Rabastens-de-Bigorre dispose d'une agence postale.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20]. En 2019, la commune comptait 1 447 habitants[Note 5], en diminution de 2,1 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6228737961 3801 3741 5051 5821 3101 320
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 3211 2661 3251 2821 2901 2411 2011 1561 108
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 1021 0899529589449119549181 050
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    1 0831 0821 2991 2841 3361 3981 4151 4781 444
    2019 - - - - - - - -
    1 447--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    L’école maternelle en 2016.

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[23].

    Sports

    Le stade de rugby en 2016.
    •  : Rabastens-de-Bigorre possède un club de rugby à XV : le Rabastens XV.
      • champion de France de 2e série en 2015 ;
      • champion Armagnac Bigorre Promotion d'Honneur : 1997, 2009, 2018 ;
      • champion Armagnac Bigorre 2e série : 1959, 2015 ;
      • champion Armagnac Bigorre 3e série : 2004 ;
      • champion Armagnac Bigorre 4e série : 1966, 2006.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 598 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 1 272 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 160 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 8]9,2 %10,1 %11,3 %
    Département[I 9]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 10]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 772 personnes, parmi lesquelles on compte 74 % d'actifs (62,7 % ayant un emploi et 11,3 % de chômeurs) et 26 % d'inactifs[Note 7],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 478 emplois en 2018, contre 535 en 2013 et 605 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 488, soit un indicateur de concentration d'emploi de 98 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,9 %[I 12].

    Sur ces 488 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 134 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 86,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 7,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

    Activités

    Halle de Rabastens-de-Bigorre.

    Rabastens accueille un important marché aux bestiaux, le quatrième au niveau national et le premier pour la région, spécialisé dans les répoupés (veaux élevés sous la mère).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Louis est le seul vestige de la bastide originelle.

    Personnalités liées à la commune

    Patrie d'Yvette Horner, originaire de Tarbes, qui y a vécu et qui y a reçu ses premières leçons de musique.

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules au chevron d'or accompagné de trois raves d'argent feuillées de sinople, à la fleur de lys d'or brochant en abîme sur le chevron[24].
    Commentaires : Ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Rabastens-de-Bigorre » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes » (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Rabastens-de-Bigorre
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Rabastens-de-Bigorre » (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Rabastens-de-Bigorre » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Rabastens-de-Bigorre » (consulté le ).
    13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Rabastens-de-Bigorre et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Rabastens-de-Bigorre et Maubourguet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Rabastens-de-Bigorre », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
    7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Rabastens-de-Bigorre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « ZNIEFF les « coteaux de Haget à Lhez » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
    13. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Rabastens-de-Bigorre en 1811
    14. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Rabastens-de-Bigorre » (consulté le ).
    15. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Rabastens-de-Bigorre » (consulté le ).
    16. Francis Abadie, « Rabastens-de-Bigorre. Le nouveau conseil municipal en place », sur La Dépêche du Midi, (consulté le ).
    17. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    18. « Liste des juridictions compétentes pour Rabastens-de-Bigorre », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    23. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    24. Passion Bigorre
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