Totò
Antonio Griffo Focas Flavio Angelo Ducas Comneno Porfirogenito Gagliardi De Curtis di Bisanzio[1] (couramment abrégé en Antonio De Curtis) dit Totò (prononcé : [toˈtɔ]), né Antonio Clemente le à Naples et mort le à Rome, est un acteur comique italien. D'abord actif au théâtre, il devient après-guerre l'une des plus grandes vedettes du cinéma italien. Il demeure encore aujourd'hui très populaire en Italie.
Antonio De Curtis
« Totò » redirige ici. Pour les autres significations, voir Toto.
Nom de naissance | Antonio Clemente |
---|---|
Naissance |
Naples, Campanie, Italie |
Nationalité | Italien |
Décès |
Rome, Latium, Italie |
Profession | Acteur |
Films notables |
Gendarmes et Voleurs Un turco napoletano Misère et Noblesse L'Or de Naples La loi, c'est la loi Le Pigeon Signori si nasce Des oiseaux, petits et gros |
Biographie
Le futur Totò nait à Naples sous le nom d'Antonio Clemente : il est le fils illégitime d'un aristocrate, le marquis Giuseppe De Curtis, et d'Anna Clemente. Antonio grandit dans un milieu défavorisé : Totò est son diminutif avant de devenir son nom de scène. Son père le reconnaît et épouse sa mère au début des années 1920, ce qui lui permet de porter le nom d'Antonio De Curtis. Il commence sa carrière avec des numéros d'improvisation et d'imitations dans des petits théâtres de Naples. Après être parti pour Rome vers 1922, il gagne en notoriété et en 1930 il possède sa propre compagnie de théâtre et part en tournée en Italie pour diverses revues (riviste), toutes chaleureusement accueillies du public.
En 1933, alors qu'il est déjà un acteur reconnu au théâtre, il se fait légalement adopter par un aristocrate, le marquis Francesco Maria Gagliardi Focas, ce qui lui permet ensuite, alors qu'il a grandi dans la pauvreté, de porter à l'état-civil le nom complet de Antonio Griffo Focas Flavio Angelo Ducas Comneno Porfirogenito Gagliardi De Curtis di Bisanzio. Il peut ainsi faire reconnaître une impressionnante série de titres de noblesse, hérités de son père adoptif, parmi lesquels prince, comte palatin, duc de Macédoine, exarque de Ravenne et chevalier du Saint-Empire[2].
Il apparaît pour la première fois au cinéma en 1937 avec Fermo con le mani ! (Arrête avec tes mains !) de Gero Zambuto, qui sera suivi en 1939 de Animali pazzi (Animaux fous) de Carlo Ludovico Bragaglia et en 1940 de Totò, apôtre et martyr (San Giovanni decollato) d'Amleto Palermi.
Ces films sans grand succès le poussent à continuer au théâtre où il obtient des accueils triomphaux dans des spectacles mis en scène par Antonio Galdieri et où, parfois, il donne la réplique à Anna Magnani.
En 1947, Mario Mattoli lui ouvre la voie du succès sur pellicule avec Les Deux Orphelins (I Due orfanelli). Il va, dès lors, travailler de plus en plus pour le cinéma, ce qui l'amènera à quitter petit à petit les planches.
Au cours de sa carrière il joua dans plus de cent films. Ses nombreux rôles comiques lui assurèrent une grande notoriété. Il jouera aux côtés de grands noms du cinéma italiens tels que Paolo Stoppa, Titina De Filippo, Peppino De Filippo, Aldo Fabrizi, Giovanna Ralli, Gino Cervi, Vittorio De Sica, Silvana Pampanini, Erminio Macario (un autre grand acteur burlesque de l'époque), Anna Magnani, Marisa Merlini, Sandra Milo, Alberto Sordi, Nino Manfredi, Ugo Tognazzi, Vittorio Gassman, Renato Salvatori, Carla Gravina, Claudia Cardinale, Marcello Mastroianni, Silvana Mangano ainsi que de célèbres acteurs internationaux tels que Joséphine Baker, Mistinguett, Fernandel, Louis de Funès, Jean-Claude Brialy, Jean Rochefort, Claudine Auger, Viviane Romance, Orson Welles ou Ben Gazzara. De grands réalisateurs italiens l'ont fait travailler comme Mario Monicelli, Steno, Luigi Comencini, Mario Costa, Lucio Fulci, Sergio Corbucci, Dino Risi, Alessandro Blasetti, Vittorio De Sica, Roberto Rossellini et Pier Paolo Pasolini.
Aveugle de l'œil gauche depuis 1938 à la suite d'un décollement de rétine, Totò est victime en 1957 d'une maladie de l'œil droit. Il reste aveugle durant un an, puis récupère partiellement la vue, ce qui lui permet de recommencer à travailler. Du fait de ses problèmes de vision, il doit renoncer définitivement au théâtre, mais tourne pour le cinéma jusqu'à la fin de sa vie.
À la fin de sa vie, il tourne à trois reprises avec Pier Paolo Pasolini. La première de leurs collaborations, Des oiseaux, petits et gros (Uccellacci e uccellini), vaut à Totò une mention spéciale au Festival de Cannes 1966.
Auteur également de chansons à succès, la plus célèbre étant sûrement Malafemmena (it) (littéralement « la mauvaise femme ») en 1951, ainsi que de poésies napolitaines parues dans le recueil 'A livella[3] en 1964.
Totò est mort d'une crise cardiaque, le , à Rome, à l'âge de 69 ans.
Franc-maçon, il a été membre dès 1945 de la loge maçonnique « Fulgor » de Naples, et il a fondé la loge « Fulgor Artis », dont il a été vénérable maître, deux loges de l'obédience de la Serenissima Gran Loggia Nazionale italiana[4].
Filmographie
- 1935 : Fermo con le mani ! (Arrête avec tes mains !) de Gero Zambuto, rôle du comte Totò di Torretora
- 1937 : Animali pazzi (Animaux fous) de Carlo Ludovico Bragaglia, rôle du baron Tolomeo dei Tolomei
- 1940 : Totò, apôtre et martyr (San Giovanni decollato) d'Amleto Palermi et Giorgio Bianchi, rôle de maître Agostino Miciacio
- 1941 : L'allegro fantasma d'Amleto Palermi
- 1943 : Due cuori fra le belve de Giorgio Simonelli, Arcobaleno de Giorgio Ferroni
- 1945 : Il ratto delle sabine de Mario Bonnard
- 1947 : Les Deux Orphelins (I due orfanelli) de Mario Mattoli avec Luigi Almirante, rôle de Gasparre
- 1948 : Totò au Tour d'Italie (Totò al giro d'Italia) de Mario Mattoli
- 1948 : Arènes en folie (Fifa e arena) de Mario Mattoli
- 1949 : Yvonne la Nuit de Giuseppe Amato
- 1949 : L'Empereur de Capri (L'imperatore di Capri) de Luigi Comencini
- 1949 : I pompieri di Viggiù de Mario Mattoli
- 1949 : Totò cherche un appartement de Mario Monicelli et Steno
- 1949 : Totò le Moko de Carlo Ludovico Bragaglia
- 1950 : Naples millionnaire (Napoli milionaria) d'Eduardo De Filippo, rôle de Pasquale Miele
- 1950 : Deux Légionnaires au harem (Totò sceicco) de Mario Mattoli
- 1950 : 47 morto che parla de Carlo Ludovico Bragaglia
- 1950 : Figaro qua, Figaro là de Carlo Ludovico Bragaglia
- 1950 : Les Six Femmes de Barbe Bleue (Le sei mogli di Barbablù) de Carlo Ludovico Bragaglia
- 1950 : Totò cherche une épouse (Totò cerca moglie) de Carlo Ludovico Bragaglia
- 1950 : Totò Tarzan de Mario Mattoli
- 1951 : Gendarmes et Voleurs (Guardie e ladri) de Mario Monicelli et Steno, rôle de Ferdinando Esposito
- 1951 : Sette ore di guai de Marcello Marchesi et Vittorio Metz
- 1951 : Totò e i re di Roma de Mario Monicelli et Steno
- 1951 : Totò terzo uomo de Mario Mattoli
- 1952 : Totò et les femmes de Mario Monicelli et Steno
- 1952 : Totò en couleurs (Totò a colori) de Steno
- 1953 : Il più comico spettacolo del mondo de Mario Mattoli
- 1953 : Un turco napoletano de Mario Mattoli
- 1953 : Una di quelle (Totò, Peppino e una di quelle) d'Aldo Fabrizi
- 1953 : L'uomo, la bestia e la virtù de Steno, rôle du professeur Paolino
- 1954 : L'Or de Naples (L'oro di Napoli) de Vittorio De Sica, segment La Gouape (Il Guappo), rôle de Don Saverio Petrillo
- 1954 : Où est la liberté ? (Dov'è la libertà ?) de Roberto Rossellini, rôle de Salvatore Lojacono
- 1954 : Misère et Noblesse (Miseria e nobiltà) de Mario Mattoli
- 1954 : Quelques pas dans la vie (Tempi nostri) d'Alessandro Blasetti et Paul Paviot
- 1954 : Il medico dei pazzi de Mario Mattoli
- 1954 : Questa è la vita segment La patente de Luigi Zampa
- 1954 : Totò en enfer (Totò all'inferno) de Camillo Mastrocinque
- 1954 : Totò cerca pace de Mario Mattoli
- 1954 : Les Trois Voleurs (I tre ladri) de Lionello De Felice
- 1955 : Cette folle jeunesse (Racconti romani) de Gianni Franciolini
- 1955 : Carosello del varietà d'Aldo Bonaldi et Aldo Quinti
- 1955 : Il coraggio de Domenico Paolella
- 1955 : Destinazione Piovarolo de Domenico Paolella
- 1955 : Siamo uomini o caporali de Camillo Mastrocinque
- 1955 : Totò e Carolina de Mario Monicelli
- 1956 : La Banda degli onesti de Camillo Mastrocinque
- 1956 : Totò lascia o raddoppia? de Camillo Mastrocinque
- 1956 : Totò, Peppino e i fuorilegge de Camillo Mastrocinque
- 1956 : Totò, Peppino e... la malafemmina de Camillo Mastrocinque
- 1957 : Dites 33 (Totò, Vittorio e la dottoressa) de Camillo Mastrocinque
- 1958 : La loi, c'est la loi (La Legge è legge) de Christian-Jaque, rôle de Giuseppe La Paglia
- 1958 : Le Pigeon (I Soliti ignoti) de Mario Monicelli, rôle de Dante Cruciani
- 1958 : Totò nella luna de Steno
- 1958 : Mon gosse (Totò e Marcellino) d'Antonio Musu
- 1958 : Jambes d'or (Gambe d'oro) de Turi Vasile et Antonio Margheriti
- 1958 : Parisien malgré lui (Totò a Parigi) de Camillo Mastrocinque
- 1958 : Totò, Peppino et les fanatiques (Totò, Peppino e le fanatiche) de Mario Mattoli
- 1959 : Fripouillard et Cie (I tartassati) de Steno
- 1959 : I ladri de Lucio Fulci
- 1959 : Arrangiatevi de Mauro Bolognini
- 1959 : La cambiale de Camillo Mastrocinque
- 1959 : Totò à Madrid ou Un coup fumant (Totò, Eva e il pennello proibito) de Steno
- 1960 : Totò, Fabrizi e i giovani d'oggi de Mario Mattoli
- 1960 : Chi si ferma è perduto de Sergio Corbucci
- 1960 : Le Lit pour trois (Letto a tre piazze) de Steno
- 1960 : Nous les durs ! (Noi duri) de Camillo Mastrocinque
- 1960 : Larmes de joie (Risate di gioia) de Mario Monicelli
- 1960 : Signori si nasce de Mario Mattoli
- 1960 : Totò ciak de Daniele D'Anza
- 1961 : Totò, Peppino e... la dolce vita de Sergio Corbucci
- 1961 : Les Deux Brigadiers (I due marescialli) de Sergio Corbucci
- 1961 : Son Excellence est restée dîner (Sua Eccellenza si fermò a mangiare) de Mario Mattoli
- 1961 : Totòtruffa 62 de Camillo Mastrocinque
- 1962 : Les Deux Colonels (I due colonnelli) de Steno
- 1962 : Le Jour le plus court (Il Giorno più corto) de Sergio Corbucci
- 1962 : L'Amnésique de Collegno (Lo smemorato di Collegno) de Sergio Corbucci
- 1962 : Totò contro Maciste de Fernando Cerchio
- 1962 : Totò diabolique (Totò diabolicus) de Steno
- 1962 : Totò di notte n. 1 de Mario Amendola
- 1962 : Totò e Peppino divisi a Berlino de Giorgio Bianchi
- 1963 : Il Comandante de Paolo Heusch
- 1963 : Le Religieux de Monza (Il monaco di Monza) de Sergio Corbucci
- 1963 : Les Motorisées (Le Motorizzate) de Marino Girolami
- 1963 : Gli onorevoli de Sergio Corbucci
- 1963 : Totò contre les quatre (Totò contro i quattro) de Steno
- 1963 : Totò e Cleopatra de Fernando Cerchio
- 1963 : Totò sexy de Mario Amendola
- 1964 : Ah ! Les Belles Familles (Le belle famiglie) d'Ugo Gregoretti
- 1964 : Che fine ha fatto Totò baby? d'Ottavio Alessi
- 1964 : Totò contro il pirata nero de Fernando Cerchio
- 1964 : Totò d'Arabia de José Antonio de la Loma
- 1965 : Gli amanti latini de Mario Costa
- 1965 : La Mandragore (La Mandragola) d'Alberto Lattuada
- 1965 : Rita, la figlia americana de Piero Vivarelli
- 1966 : Des oiseaux, petits et gros (Uccellacci e uccellini) de Pier Paolo Pasolini, rôle d'Innocenti Totò / frère Cicillo
- 1966 : Les Sorcières (Le Streghe), segment La Terre vue de la Lune (La Terra vista dalla luna) de Pier Paolo Pasolini, rôle de Ciancicato Miao
- 1966 : Caprice à l'italienne, segment Che cosa sono le nuvole, de Pier Paolo Pasolini
- 1966 : Opération San Gennaro (Operazione San Gennaro) de Dino Risi
- 1967 : Il Latitante (TV) de Daniele D'Anza
- 1967 : Don Giovannini (TV) de Bruno Corbucci
- 1967 : Il Grande maestro de Daniele D'Anza
- 1967 : La Scommessa (TV) de Daniele D'Anza
- 1967 : Totò a Napoli (TV) de Daniele D'Anza
- 1967 : Totò Ye Ye (TV) de Daniele D'Anza
- 1967 : Il Tuttofare (TV) de Daniele D'Anza
- 1968 : Caprice à l'italienne (Capriccio all'italiana), segment Le Monstre du dimanche (Il Mostro della domenica) de Steno, rôle d'Anziano père, et segment Que sont les nuages ? (Che cosa sono le nuvole ?) de Pier Paolo Pasolini, rôle de Iago
Récompenses
- 1952 : Ruban d'argent du meilleur acteur pour Gendarmes et voleurs (Guardie e ladri) de Mario Monicelli
- 1966 : Mention spéciale au Festival de Cannes pour sa performance d'acteur
- 1967 : Ruban d'argent du meilleur acteur pour Des oiseaux, petits et gros (Uccellacci e Uccellini) de Pier Paolo Pasolini
Anecdotes
- À l'école primaire Totò fut puni par son professeur par un coup de poing à la mâchoire. Ce coup la lui déboîta jusqu'à sa mort, ce qui explique sa mâchoire de travers tout au long de sa carrière[5].
- En 1933, Totò, alors âgé de 35 ans, est adopté par le marquis Francesco Maria Gagliardi Focas, qui lui transmet ses titres nobiliaires.
- En 1937, alors qu'il a presque 40 ans, son père, le marquis Giuseppe De Curtis le reconnaît légalement en lui donnant la possibilité d'utiliser son nom et de s'enorgueillir des titres nobiliaires dus à son ascendance et à son adoption : le nom que Totò arborera fièrement sera :
- Antonio Griffo Focas Flavio Dicas Commeno Porfirogenito Gagliardi De Curtis di Bisanzio, altezza imperiale, conte palatino, cavaliere del sacro Romano Impero, esarca di Ravenna, duca di Macedonia e di Illiria, principe di Costantinopoli, di Sicilia, di Tessaglia, di Ponte, di Moldavia, di Dardania, del Peloponneso, conte di Cipro e di Epiro, conte e duca di Drivasto e Durazzo.
- (Antonio Griffo Focas Flavio Dicas Commeno Porfirogenito Gagliardi De Curtis de Byzance, altesse impériale, comte palatin, chevalier du Saint-Empire romain, exarque de Ravenne, duc de Macédoine et d'Illyrie, prince de Constantinople, de Sicile, de Thessalie, du Pont, de Moldavie, de Dardanie, du Péloponnèse, comte de Chypre et d'Épire, comte et duc de Drivasto et de Durazzo.)[6]
- Fred Pasquali le doublait généralement dans les versions françaises de ses films.
- Louis de Funès, avant d'être connu, l'a doublé pour le film L'Or de Naples. Totò jouera cinq ans plus tard avec lui dans Toto à Madrid. Neuf ans plus tard, ce film n'étant (d'après l'absence de statistiques d'exploitation du film) jamais sorti en France, un distributeur veut profiter de la popularité de Louis de Funès en sortant le film et en mettant De Funès en tête d'affiche et reléguant Totò au second rôle (du moins sur l'affiche) et en le renommant Un coup fumant. De Funès, par respect pour Totò, lance un procès contre le distributeur et obtient que le film ne sorte pas. Les Français ne découvriront ce film qu'en DVD, en 2005[7].
Notes et références
- René MARX, Toto, Le rire de Naples, Editions Henri Berger, , 116 p. (ISBN 2909776018).
- Site antoniodecurtis.com, rubrique biographie.
- littéralement « le niveau », l'outil du maçon, métaphore de la mort, qui « nivelle » les différences sociales.
- (it) Vittorio gnocchini, L'Italia dei Liberi Muratori, Roma-Milano, Mimesis-Erasmo, 2005, p. 95-96.
- La Loi, c'est la loi dans les Intégrales de Fernandel.
- Les villes de Drivasto (Drisht) et Durazzo (Durrës) sont des villes fortifiées situées en Albanie.
- Bertrand Dicale, Louis de Funès, de A à Z, Paris, Tana, , 456 p. (ISBN 2845677855).
Liens externes
- Notices d'autorité :
- Fichier d’autorité international virtuel
- International Standard Name Identifier
- CiNii
- Bibliothèque nationale de France (données)
- Système universitaire de documentation
- Bibliothèque du Congrès
- Gemeinsame Normdatei
- Service bibliothécaire national
- Bibliothèque nationale d’Espagne
- Bibliothèque royale des Pays-Bas
- Bibliothèque nationale d’Israël
- Bibliothèque universitaire de Pologne
- Bibliothèque nationale de Catalogne
- Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale
- Bibliothèque nationale d’Australie
- Base de bibliothèque norvégienne
- Bibliothèque universitaire de Zagreb
- Bibliothèque nationale tchèque
- WorldCat
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Ciné-Ressources
- (en) AllMovie
- (de + en) Filmportal
- (en) Internet Movie Database
- L'encinémathèque
- (it) Totò, Antonio De Curtis
- (it) Site en hommage à Totò
- Portail du cinéma italien
- Portail de la réalisation audiovisuelle
- Portail du théâtre
- Portail de l’humour