Tournous-Darré

Tournous-Darré est une commune française située dans le nord-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Darré.

Tournous-Darré

Paysage dans les environs du village
de Tournous-Darré

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac
Maire
Mandat
Joël Dazet
2020-2026
Code postal 65220
Code commune 65448
Démographie
Population
municipale
92 hab. (2019 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 18″ nord, 0° 21′ 43″ est
Altitude Min. 249 m
Max. 355 m
Superficie 5,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Tournous-Darré
Géolocalisation sur la carte : France
Tournous-Darré
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Tournous-Darré
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Tournous-Darré

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse, le Lizon et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Tournous-Darré est une commune rurale qui compte 92 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 258 habitants en 1836. .

    Géographie

    Localisation

    La commune de Tournous-Darré se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 24 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à km de Trie-sur-Baïse[2], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Trie-sur-Baïse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Puydarrieux (2,0 km), Sentous (2,9 km), Lustar (2,9 km), Lalanne-Trie (3,2 km), Vidou (3,3 km), Trie-sur-Baïse (3,9 km), Villembits (3,9 km), Bonnefont (4,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Tournous-Darré fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

    Carte de la commune de Tournous-Darré et des proches communes.
    Communes limitrophes de Tournous-Darré[5]
    Vidou Trie-sur-Baïse
    Villembits Puydarrieux
    Lustar Sentous

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Baïse, le Lizon, le ruisseau des Coumes et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[8].

    Le Lizon, d'une longueur totale de 13,7 km, prend sa source dans la commune de Bernadets-Dessus et s'écoule vers le nord. Il se jette dans la Baïse sur le territoire communal, après avoir traversé 11 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 943 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[15] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 861,3 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 33 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[22] :

    • le « coteau de la Baïse de Montastruc à Trie-sur-Baïse » (830 ha), couvrant 6 communes du département[23] ;
    • le « coteau en rive droite du Lizon de Burg à Lustar » (778 ha), couvrant 9 communes du département[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Tournous-Darré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[I 2],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (81 %), forêts (18,8 %), terres arables (0,2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 40[I 5].
    Parmi ces logements, 86,9 % sont des résidences principales, 7,9 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes départementales D17 et D39.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Tournous-Darré au sud de Trie-sur-Baïse.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[28] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Nom occitan : Tornons Darrèr.

    Histoire

    Cadastre napoléonien de Tournous-Darré

    Le plan cadastral napoléonien de Tournous-Darré est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[29].

    Politique et administration

    La mairie en 2019.
    Le foyer rural en 2019.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 en cours Joël Dazet    

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Toulouse, élection d'Astarac, baronnie de Barbazan, canton de Trie (depuis 1790)[30].

    Intercommunalité

    Tournous-Darré appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en et qui réunit 50 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33]. En 2019, la commune comptait 92 habitants[Note 7], en augmentation de 12,2 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    183173140171237258231243235
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    226234241211192207198185180
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    168159153151133140112115103
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019
    102102102787680808392
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école élémentaire en 2019.

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2016[36].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]4,8 %4,8 %7,1 %
    Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 45 personnes, parmi lesquelles on compte 81 % d'actifs (73,8 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 19 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte emplois en 2018, contre 8 en 2013 et 11 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 33, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 10].

    Sur ces 33 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 4 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2 % les transports en commun, 6,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    L'église de l'Assomption en 2019.
    La chapelle Saint-Lizier.
    Le monument aux morts municipal.

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent à la fasce ondée de sable, au chef d'azur chargé d'une lettre T capitale cousue aussi de sable[37].
    Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Tournous-Darré » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Tournous-Darré et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Tournous-Darré et Trie-sur-Baïse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Tournous-Darré », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale de Tournous-Darré », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Sandre, « la Baïse »
    9. Sandre, « le Lizon »
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Tournous-Darré et Castelnau-Magnoac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Tournous-Darré et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Tournous-Darré », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « coteau de la Baïse de Montastruc à Trie-sur-Baïse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « coteau en rive droite du Lizon de Burg à Lustar » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
    29. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Tournous-Darré en 1826
    30. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    31. « Liste des juridictions compétentes pour Tournous-Darré », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    37. Passion Bigorre
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