Touvois

Touvois est une commune de l'Ouest de la France située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Touvois

L'église de Touvois

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Communauté de communes Sud Retz Atlantique
Maire
Mandat
Claude Le Calvez
2020-2026
Code postal 44650
Code commune 44206
Démographie
Gentilé Touvoisiens
Population
municipale
1 867 hab. (2019 )
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 54′ 12″ nord, 1° 40′ 55″ ouest
Altitude Min. 18 m
Max. 61 m
Superficie 39,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Touvois
Géolocalisation sur la carte : France
Touvois
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Touvois
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Touvois

    La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays Nantais. La commune a aussi fait partie des Marches communes de Bretagne-Poitou, entre pays de Retz et Vendée historique.

    Touvois comptait 1 746 habitants au recensement de 2014.

    Géographie

    Situation de la commune de Touvois dans le département de la Loire-Atlantique

    La commune de Touvois est située au sud du département de la Loire-Atlantique, à la limite du département voisin de la Vendée. Au XIXe siècle, le territoire communal s'est étendu sur le département voisin de la Vendée au détriment de la commune vendéenne de Grand'Landes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 841 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Palluau », sur la commune de Palluau, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 919,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Touvois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,5 %), zones agricoles hétérogènes (19,2 %), prairies (14,4 %), forêts (11,6 %), zones urbanisées (2,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Tolvei en 1119, Tolveia en 1140[21].

    Le nom de Touvois viendrait d’une forme gauloise Talavia ou du latin tollere, signifiant (enlever) et via (chemin). On peut voir dans ce nom une signification, à savoir que Touvois vient de « Toutes voies », ce qui est renforcé par le fait qu'il existe une route reliant Touvois à de nombreuses communes alentour, faisant de la commune une sorte de carrefour entre chacune d'entre elles. On pense que les pèlerins passaient à Touvois lors de leur pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle, car on a retrouvé une coquille Saint-Jacques gravée sur une cheminée d'une très ancienne maison[22].

    La commune se trouve dans le domaine linguistique du poitevin, au sud de la limite avec le gallo. En gallo elle porte le nom de Tovoéz. Cela a été traduit par Tolvez en breton[21] .

    Histoire

    En 1150, un prieuré de femmes est fondé sous le nom de « Bademorière » ou « Bademoreria » par l'abbaye de Fontevrault en Anjou[23]. L'abbaye est dirigée par Pétronille de Chemillé (1115-1150), puis par Mathilde d'Anjou, fille du comte Foulque V d'Anjou. Le couvent a disparu depuis la Révolution. À partir des années 1850, il a été construit un ensemble de bâtiments et un logis, le tout de style italisant, s'inspirant du domaine de la Garenne Lemot près de Clisson. Le logis est d'ailleurs visible depuis la D65 et depuis la D72, qui traverse le village (le domaine est une propriété privée).

    Au Moyen Âge, la châtellenie appartient à Raoul de Retz, puis elle passe entre les mains de la famille Leclerc de Juigné, seigneur de Juigné[24].

    Sous l'Ancien Régime, la châtellenie de Touvois appartient au pays de Retz.

    Héraldique

    Blasonnement :
    De sinople au chef pal d'or chargé en abîme d'une coquille Saint-Jacques peinte au naturel.
    Commentaires : Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mai 2020 Alain Charles[Note 5] DVG Conseiller en formation continue
    mai 2020[25] En cours Claude Le Calvez   Cadre bancaire retraité, ancien adjoint
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    Les données concernant 1793 sont perdues.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2019, la commune comptait 1 867 habitants[Note 6], en augmentation de 7,61 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +7,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    5715379261 2691 2561 3181 3501 4201 478
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 7381 7591 7871 8381 8621 9732 1162 1472 089
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 0831 9351 6761 6361 6231 5631 5831 6181 542
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019
    1 4971 4091 3621 3401 3021 4251 6951 7941 867
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 899 hommes pour 952 femmes, soit un taux de 51,43 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,2 
    90 ou +
    4,2 
    7,3 
    75-89 ans
    10,2 
    11,6 
    60-74 ans
    11,5 
    17,1 
    45-59 ans
    16,2 
    25,1 
    30-44 ans
    20,3 
    13,3 
    15-29 ans
    13,6 
    24,4 
    0-14 ans
    24,0 
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,7 
    5,8 
    75-89 ans
    8,6 
    14,7 
    60-74 ans
    16 
    19,6 
    45-59 ans
    18,9 
    20,1 
    30-44 ans
    19,2 
    19,2 
    15-29 ans
    17,5 
    20 
    0-14 ans
    18 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'ancienne demeure de la Grande-Thibaudières, disparue vers le XVIIIe siècle. Il ne subsiste que le porche daté du XVe siècle. Propriété de la famille Maistre en 1470, puis du Vendéen Henri d'Asnières, marquis d'Aizenay et baron de Palluau en Poitou.
    • L'ancienne « préfecture » des Chauffetières, comportant jadis granges pour les chevaux et bâtiments pavés. Aujourd'hui, il ne subsiste qu'un seul mur de cette « préfecture » que l'on peut apercevoir dans le virage du village, le reste ayant été rasé au cours du XXe siècle pour y construire des bâtiments agricoles.
    • La chapelle de Fréligné, visible de la D65 en direction de Falleron en Vendée et datant des XIIe et XIIIe siècles, se situe à km de Touvois. Cette route était très fréquentée à l'époque car elle était empruntée par les pèlerins qui partaient en direction des plages de Saint-Jean-de-Monts, ceux-ci pouvaient apercevoir Fréligné. La légende dit que la chapelle a été construite par deux capitaines anglais. Ils se seraient échoués au retour des Croisades et auraient fait vœu d'élever une chapelle dédiée à Notre-Dame[32]. La chapelle est bâtie en 1185 près du Falleron, cours d’eau qui marquait la frontière entre la Bretagne et le royaume de France[33]. Sa charpente est incendiée en 1793 et seuls les murs épais restent debout[32]. Elle est restaurée en 1821[33]. La chapelle est un vaste rectangle de 24 × 8 m et dont les murs ont une épaisseur de 1,05 m et une hauteur de 5,50 m. Sa façade ouest est flanquée de deux contreforts plats sur les côtés; au centre, une porte en arc brisé à trois voussures est percée dans un massif surmonté de deux contreforts qui encadrent une étroite fenêtre en meurtrière. L’intérieur est couvert d’un voûte en bois[32]. La nef unique s’achève par un chevet plat où sont percées deux petites fenêtres de plein cintre très ébrasées. Les vitraux, réalisés par F. Gérard, datent de 1885. La crédence trilobée et les fonts baptismaux datent du XIIIe siècle[34]. Ces derniers proviennent de l'ancien prieuré du Val de Morière[32]. Les pèlerins viennent à Fréligné surtout en septembre et les dimanches. Mais le grand pèlerinage est le dimanche le plus près du , qui est la fête de la nativité de la Vierge.

    Personnalités liées à la commune

    Compléments

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Réélu en 2008 et 2014.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Palluau - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Touvois et Palluau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Palluau - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Touvois et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    22. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Touvois ».
    23. Historique de Touvois
    24. Origine de la seigneurie Leclerc de Juigné
    25. « Touvois. Claude Le Calvez est le nouveau maire », Ouest-France, (lire en ligne).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Touvois (44206) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    32. « Touvois (44650) », sur lafrancedesclochers.clicforum.com (consulté le ).
    33. « Patrimoine à Falleron. L'histoire de la chapelle de Fréligné. », sur ouest-france.fr (consulté le ).
    34. « Touvois », sur infobretagne.com (consulté le ).
    35. « Vieillevigne », Canton d'Aigrefeuille-sur-Maine, sur www.infobretagne.com (consulté le ).
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