Flûte traversière baroque

La flûte traversière baroque, dite flûte allemande ou traverso[1], est une flûte en usage en Europe au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle[2].

Charles Théodore de Bavière avec une flûte traversière baroque.

Historique

Tableau des doigtés de la flûte à une clé (méthode de flûte de François Devienne vers 1795).

Jean-Baptiste Lully est le premier compositeur de premier plan utilisant la flûte traversière dans son ensemble.

À la fin du XVIIe siècle, des flûtistes tels que Jacques-Martin Hotteterre (1674-1743), membre d'une famille de facteurs de flûtes, et Johann Joachim Quantz, apportent des améliorations à l'instrument, encore perfectionné à la fin du XVIIIe siècle avant d'être supplanté au milieu du XIXe siècle par la flûte traversière que nous connaissons. La perce de la flûte devient conique et l'instrument est divisé en 3 morceaux : la tête (avec l'embouchure), le corps (qui comporte les trous joués directement avec les doigts) et le pied (qui reçoit la clé). C'est une quasi-certitude que la famille Hotteterre est à l'origine de la clé de ré dièse, inventée vers les années 1660-1670, qui permet à la flûte traversière de produire tous les sons de l'échelle chromatique. Le la des flûtes signées Hotteterre conservées aujourd'hui est à environ 392 Hertz[3]. Par ailleurs Jacques-Martin Hotteterre écrit en 1707 le premier livre à propos de la flûte traversière : Les Principes de la Flûte Traversière.

La flûte connait dans la première moitié du XVIIIe siècle de nouvelles évolutions. Elle comprend à présent quatre parties, et le diapason du la le plus courant est à 415 Hz. Ce modèle est appelé modèle Quantz, ou modèle Stanesby en Angleterre et modèle Bizey ou Scherer en France[3].

Ces flûtes ne disposaient que de cette unique clé de ré#. Quantz en ajoute une deuxième pour distinguer le ré dièse du mi bémol, mais cette innovation n'est pas adoptée. À l'exception du ré#, les altérations à la gamme de base de ré majeur de l'instrument étaient produites par des doigtés de fourche. Le jeu dans la tonalité de ré ou celles proches (de do à mi majeur et tons relatifs mineurs) était plus aisé que dans les tonalités comportant des bémols, rarement utilisées dans les œuvres où la flûte est soliste, telles que concertos ou pièces de musique de chambre, où l'instrument est mis en valeur [4]. Cette flûte à une clé est celle pour laquelle ont composé les musiciens de l'époque baroque et du début du classicisme, notamment Bach et Mozart.

Des clés supplémentaires sont ajoutées vers 1790, le modèle le plus courant de la première moitié du XIXe siècle étant la flûte à cinq clés permettant un jeu chromatique aisé, certaines notes restant cependant d'une justesse imparfaite ou d'un timbre inégal. Certains facteurs ajoutent une «patte d'ut» étendant la tessiture d'un ton dans le grave (do et do#) et d'autres clés pour faciliter certains trilles, portant ce nombre jusqu'à neuf. Cet instrument était celui des compositeurs de la première période romantique avant la création de la forme actuelle de l'instrument par Theobald Boehm dans les années 1830. Cette flûte en bois à plusieurs clés, certains modèles comportant des trous larges donnant une sonorité plus puissante, correspond à la flûte irlandaise et ne peut être assimilée au traverso baroque.

La redécouverte du traverso au milieu du XXe siècle est liée au renouveau de la musique baroque. Son timbre voilé et la sonorité particulière de certaines notes mise en valeur par certains compositeurs, notamment Jean-Sébastien Bach dans l'accompagnement de plusieurs cantates, permet une interprétation plus authentique.

Facture

Matériaux

Avant l'introduction du métal, les flûtes étaient construites en bois (généralement buis ou ébène pour celles de l'époque baroque), ou en ivoire pour des instruments plus prestigieux. Les viroles (ou bagues) étaient en ivoire, en métal, en os ou en corne, et les clés en argent, en cuivre ou en laiton. Beaucoup plus exceptionnelles, quelques flûtes à une clé ont été réalisées en porcelaine de Saxe[5],[6].

Flûte en trois parties d'après Bressan (c.1700) en buis et ivoire, clé en argent
Deux flûtes traversières en quatre parties : en ivoire ; en bois (notez la déformation)
Flûte à une clé de Léonard Clapisson en ébène, bagues en ivoire (c.1775/1790)

La facture moderne utilise également le buis, mais surtout la grenadille (ébène du Mozambique) et le palissandre, plus rarement le bois de rose, le cocobolo, le mopane ou d'autres essences exotiques. La plupart sont des bois tropicaux inscrits sur les listes des espèces menacées d'extinction, ce qui en rend l'approvisionnement difficile et onéreux. Les viroles peuvent être en ivoirine.

Des instruments en résine ABS sont également disponibles depuis 1985[7].

Facteurs

La facture instrumentale était très souvent à l'époque baroque une affaire de famille ; les techniques et les secrets de fabrication se transmettaient de père en fils, ou de père en gendre, les mariages étant souvent arrangés entre familles de la même corporation[8]. En France, il y a eu notamment, originaires de La Couture, village réputé pour la qualité et l'abondance de son buis, la dynastie des Hotteterre[9], d'une quinzaine de membres et active sur deux siècles, dont le représentant le plus illustre est Jacques-Martin Hotteterre, et la dynastie Lot, active jusqu'en 1950[10].

Par leur qualité de fabrication, la noblesse des matériaux, les innovations techniques, mais aussi le nombre d'instruments retrouvés de nos jours (infime par rapport aux quantités produites), quelques facteurs ont eu leurs noms retenus par la postérité. D'autres éléments ont pu jouer, comme la réputation acquise auprès de musiciens célèbres, ou le privilège d'être fournisseur d'une cour princière ou royale, comme, entre autres, Scherer pour les flûtes en ivoire de Frédéric le Grand, ou la firme dirigée par Barbe Naust (veuve de Pierre Naust), distinguée en 1715 comme « maitre faiseur d'instruments de la maison du Roy »[11].

Parmi les nombreux facteurs de flûtes actifs aux XVIIe et XVIIIe siècles, on peut citer :

Alors que la fabrication de copies de flûtes à bec XVIIIe siècle avait commencé dès 1920, celle des flûtes traversières de type baroque n'intervient que beaucoup plus tard, dans les années 1960, avec Rudolf Tutz (1940-2017) et Andreas Glatt (1945-2013), qui reproduisent les rares instruments historiques mis à leur disposition. Dans la continuation de ces deux pionniers, d'autres artisans créent leurs propres ateliers, chacun ajoutant sa touche personnelle et sa signature : Guido M. Klemisch (1974), Alain Weemaels (1975), Claire Soubeyran (1949-2018) en 1976, Stefan Beck (1977), Alain J.W. Winkelman (1978)… Les instruments les plus souvent copiés sont ceux de J.H. et G.A. Rottenburgh, A. Grenser, J. Denner, Carlo Palanca, Hotteterre, Stanesby, Quantz et Bressan.

Contrairement aux flûtes à bec, qui font dès 1930 l'objet d'une production semi-industrielle, la fabrication de flûtes baroques en bois reste un domaine exclusivement artisanal[alpha 1], et les instruments ne sont joués que par des professionnels, des étudiants spécialisés ou des amateurs passionnés. Cependant, la firme japonaise Toyama et le facteur français Vincent Bernolin fabriquent désormais des traversos de qualité en résine pouvant contribuer à la démocratisation du marché.

La reproduction d'un traverso en polymère de résine époxy par impression 3D a pu être réalisée en 2020[12].

Compositeurs

Compositeurs flûtistes

Autres compositeurs

La plupart des grands compositeurs de la période baroque et du premier classicisme ont écrit des œuvres pour flûte traversière : concertos, musique de chambre et solos.

Époque baroque

Après avoir été longtemps jouées sur des flûtes modernes, ces œuvres sont de plus en plus souvent interprétées sur instruments historiques ou copies d'originaux.

Époque pré-classique et classique

Dans ce répertoire, surtout pour Mozart, la plupart des interprètes choisissent encore la flûte Boehm en métal tandis que quelques-uns préfèrent des copies d'instruments d'époque, une voie médiane de plus en plus utilisée étant la flûte Boehm en bois.

Les interprètes

À l'ère baroque et pré-classique

Les plus grands virtuoses étaient presque tous compositeurs, quelquefois facteurs, ou auteurs d'ouvrages didactiques :

Les femmes flûtistes sont trop rares à cette époque - et jusqu'au milieu du XXe siècle - pour qu'on ne cite pas les deux qui sont apparues en soliste au Concert Spirituel entre 1725 et 1791[15], et une troisième, plus célèbre, mais qui ne jouait pas en public :

  • Mlle Taillart, d'une famille de flûtistes connue surtout par Pierre Évrard Taillart (1719 ou 1720-1782, successeur en 1749 de Blavet au Concert Spirituel, compositeur d'un recueil de sonates), au concert du 1er novembre 1735.
  • Johanne Sophie Mudrich (c.1760-?), jeune prodige multi-instrumentiste et chanteuse originaire de Saint-Pétersbourg, dont le critique et compositeur Schubart écrit qu'elle joue « merveilleusement bien » de la flûte, et qui se produit notamment à Leipzig, Gotha et Liège avant d'être au Concert Spirituel en 1779 et 1780.
  • Princesse Anne-Amélie de Prusse (1723-1787), sœur de Frédéric II, flûtiste et compositrice, dont une des sonates, celle en fa majeur (1771), fait partie du répertoire flûtistique[16].

Au XIXe siècle

Balayée par la Révolution française et le mouvement romantique, la musique écrite pour la flûte à une clé disparaît de la scène musicale. Quatre décennies plus tard, la nouvelle flûte de Boehm supplante progressivement les anciens systèmes. La flûte baroque n'est alors plus qu'un objet relégué dans les musées, dont celui de La Couture-Boussey, fondé en 1888, présente les modèles emblématiques, mais que plus personne ne joue.

Quelques essais de résurrection ont néanmoins lieu dans les années 1880-1890. En Belgique, à l'instigation de François-Auguste Gevaert et Victor-Charles Mahillon, respectivement directeur et conservateur du Conservatoire royal de Bruxelles, les professeurs de l'établissement donnent de 1879 à 1890 plusieurs concerts de musique ancienne en utilisant les instruments de leur Musée ; Jean Dumon (1829-1889), accompagné au clavecin, joue sur une flûte en ivoire à une clé du milieu du XVIIIe siècle des œuvres de Quantz, J.S. Bach et Haendel ; les trois concerts de juillet 1885 à l'Exposition internationale des Inventions de Londres sont particulièrement remarqués, notamment par George Bernard Shaw[17],[18], et le groupe se produit également en Italie du Nord en 1888.

À l'occasion des concerts historiques de l'exposition « Internationale Auffstellung für Musik und Theaterwesen » de Vienne en 1892, et en Allemagne en 1893, Maximilian Schwedler (de) (1853-1940), l'un des derniers réfractaires au système Boehm, auteur de Flöte und Flötenspiel, Leipzig, J.J. Weber, , présente un instrument baroque, dont son propre modèle de flûte est un lointain descendant[18].

Les pionniers du renouveau au XXe siècle

La flûte baroque reste la grande oubliée du regain d'intérêt pour les instruments anciens dont jouissent, grâce à des personnalités comme Louis Diémer, Arnold Dolmetsch et Wanda Landowska, les violes, le clavecin et la flûte à bec. En France, les divers ensembles de musique ancienne n'ont pas de flûtiste, hormis la « Société des Concerts d'autrefois » (1907), où Louis Fleury utilise une flûte Boehm. « Ars Rediviva », fondé à Paris en 1935 par la claveciniste Claude Crussard (1893-1947), est un ensemble exclusivement dévolu à la musique baroque, qui recourt occasionnellement aux flûtistes René Le Roy et Fernand Caratgé, jouant eux aussi sur flûte moderne ; la flûte baroque a disparu du paysage musical français.

En Allemagne, le mécène collectionneur d'instruments anciens Hans Eberhard Hoesch (1891-1972) anime de 1930 à 1935 son ensemble « Kabeler Kammermusikreihe » à Hagen, comprenant dans ses rangs August Wenzinger et le flûtiste Gustav Scheck, qui joue un instrument historique (c.1770) de F.G.A. Kirst en buis à une clé[19],[20]. À la dissolution de cet ensemble en opposition avec la politique culturelle nationale-socialiste, une formation réduite se reconstitue avec le claveciniste Fritz Neumeyer sous le nom de « Kammermusikkreis Scheck-Wenzinger »[18], qui donne des concerts en Allemagne, en Suisse et en Italie jusque dans les années 1960, avec seulement une interruption dans les dernières années de la Seconde Guerre mondiale[20].

De 1931 à 1944, le flûtiste berlinois Georg Müller (1882-1956), grand connaisseur et éditeur de la musique de Frédéric II de Prusse[21], donne à Potsdam plus de 200 concerts en utilisant une flûte baroque de F.G.A. Kirst ayant appartenu au monarque. Avec cet instrument, il enregistre en 1931-32 sous étiquette Grammophon-Die Stimme seines Herrn quelques-uns de ses propres arrangements d'œuvres du roi compositeur. La destruction de tous ses biens (bibliothèque, collection d'instruments, portraits de flûtistes, travaux de recherche) par les bombardements de Berlin met une fin définitive à cette entreprise[18].

Ces quelques initiatives n'ont touché qu'un public restreint, et il faut attendre les années 1950 et l'enregistrement sonore sur disque microsillon pour que soit révélée aux mélomanes du monde entier l'interprétation du répertoire baroque sur instruments d'époque. À la flûte traversière, les pionniers sont :

  • Gustav Scheck (de) (1901-1984) : bien qu'interprétant Bach parfois sur flûte moderne de Louis Lot ou Johannes Hammig, il détient toujours l'instrument historique de F.G.A. Kirst en buis à une clé de l'ancienne collection Hoesch[20]. De 1950 à 1954, il enregistre sur cette flûte Kirst des œuvres de Bach, Telemann, Haendel, De La Barre et Hotteterre pour Archiv Produktion (de)[22]. Il est l'auteur de Die Flöte und ihre Musik, Mayence, Schott, , 264 p. (ISBN 978-3795727659).
  • Frans Vester (nl) (1922-1987) : dès 1948, il interprète à la flûte baroque la Partita pour flûte seule de Bach sur les ondes de la radio hollandaise. Parmi ses enregistrements figure notamment l'œuvre intégral pour flûte et orchestre de Mozart en 1971 sur des instruments de Grenser, Rottenburgh et un anonyme londonien (2 LP Seon, ABC Classics AX-67040/2, 1972, ou Philips 6675 060, 1973)[23]. Il est l'auteur de Flute Music of the 18th century, Monteux (Vaucluse), Musica Rara, , 573 p. (ISBN 978-2950064615).
  • Leopold Stastny (1927-2007) : flûtiste de la première heure du Concentus Musicus de Vienne en 1953, il participe aux enregistrements de l'ensemble dès le début des années 1960 pour Amadeo (Vienne) et Telefunken ; il enregistre en 1976 les sonates de J.S. Bach sur une copie de Hotteterre et sur une flûte en buis de A. Grenser, propriété de Nikolaus Harnoncourt et ayant appartenu à Frédéric II (2 LP Telefunken “Das Alte Werk” 6.35339EX, 1976)[24],[25].
Frans Brüggen
  • Hans-Martin Linde (en) (né en 1930) : à partir de 1960, il enregistre, pour les labels Archiv, Deutsche Grammophon, EMI et d'autres, une grande partie des répertoires baroque, rococo et pré-classique, sur des instruments originaux ou des copies de Metzler, J. Denner, A. Grenser, Prudent et Hotteterre, ainsi que Mozart sur des copies de J.H. et G.A. Rottenburgh, et Schubert sur une flûte romantique de 1830. Il pratique encore plus la flûte à bec, et, à partir de 1983, la direction d'orchestre[26].
  • Frans Brüggen (1934-2014), virtuose de la flûte à bec et de la traversière, figure majeure de l'interprétation historiquement informée, y compris comme chef d'orchestre. En 1973, il débute son intégrale des sonates et Partita de Bach sur une flûte en ivoire de G.H. Scherer de 1773 et une Grenser en ébène de 1780 (2 LP Seon Philips 6575 068, 1976) et enregistre 4 sonates de Haendel sur une flûte de Thomas Stanesby Jr (3 LP Seon, Philips 6747 096, 1974) ; en 1976, tout l'œuvre de Hotteterre, partagé entre la flûte à bec et le traverso (3 LP Seon Philips 6776 002, 1977)[27].

Avec un délai par rapport à l'Europe, les pionniers du renouveau de la flûte baroque aux États-Unis sont :

  • Robert Willoughby (en) (1921-2018) : formé à Amsterdam en 1970 auprès de Vester et Brüggen, il est le premier à enseigner l'instrument aux États-Unis. Professeur de Janet See et de Jed Wentz.
  • John Solum (en) (né en 1935) : il enregistre les baroques et Mozart au traverso dans les années 1980-90. Il est l'auteur de The Early Flute, Oxford, Clarendon Press, coll. « Early Music Series n° 15 », , 164 p. (ISBN 978-0198162537), dont le chapitre 2 (p.34-49) est consacré à la flûte baroque.

Les contemporains

À partir des années 1970, le concept d'interprétation historiquement informée est de plus en plus prégnant et amène un retour aux instruments d'époque dans l'éxécution du répertoire baroque et pré-classique. Cette évolution pousse de nombreux flûtistes à apprendre et utiliser l'instrument désormais nommé "traverso", pour bien le différencier de la flûte Boehm qu'ils pratiquaient exclusivement jusque-là. Les premiers convertis se forment auprès des pionniers Vester, Brüggen et Kuijken, puis les master classes se développent, et des enseignements spécifiques de flûte baroque sont créés dans les conservatoires. Les ensembles spécialisés se multiplient et ceux qui intègrent des bois ont souvent une ou deux flûtes traversières. Parallèlement, la facture instrumentale pourvoit à cette nouvelle demande avec des copies de qualité. Qu'ils soient solistes, musiciens d'orchestre ou de chambre, et aussi enseignants, les professionnels pratiquant le traverso sont devenus si nombreux dans le monde qu'on ne peut en citer ici qu'une toute petite partie ; alors que presque tous les flûtistes des siècles passés étaient des hommes, la féminisation actuelle de la profession touche également, et peut-être encore plus, la spécialisation en flûte baroque :

Diana Baroni
Claire Guimond
Jana Semerádová

Notes et références

Notes

  1. En Europe, Amérique du Nord et Japon ; on connaît mal les conditions de fabrication au Pakistan ou dans d'autres pays d'Asie proposant des instruments à faible coût.

Références

  1. Voir sur festesdethalie.org.
  2. Voir sur flutehistory.com.
  3. Quantz 2011, p. 8 (Réflexions sur l'Essai de J. J. Quantz et sur la flûte traversière à une clef)
  4. « doigtés de fourche », sur symphozik.info
  5. « flûte en porcelaine de Saxe 1760-1790 », sur www.metmuseum.org (consulté le )
  6. « 3 flûtes en porcelaine », sur collectionsdumusee.philharmoniedeparis.fr (consulté le )
  7. (en) « Aulos History », sur www.aulos.jp (consulté le )
  8. Jean-Yves Rauline et François Camboulive, « Regards sur la facture instrumentale normande : La Couture-Boussey et ses environs », sur www.persée.fr, Études normandes, (consulté le ), p. 53-68
  9. « Famille Hotteterre », sur collectionsdumusee.philharmoniedeparis.fr (consulté le )
  10. (en) Tula Giannini, Great Flute Makers of France : The Lot and Godfroy Families, 1650-1900, Londres, Tony Bingham, , 2e éd. (1re éd. 1993), 271 p. (ISBN 978-0946113088)
  11. (en) « Naust », sur www.oxfordmusiconline.com (consulté le )
  12. « Une flûte baroque clonée en 3D », sur www.telerama.fr (consulté le )
  13. [vidéo] « Badinerie : Ana Benić, traverso, Ensemble baroque croate, Zagreb, 2010 », sur youtube.com (consulté le )
  14. « François Philidor » [PDF], sur data.bnf.fr (consulté le )
  15. Imyra Santana (dir. Raphaëlle Legrand), Les femmes instrumentistes au Concert Spirituel (1725-1790) : le regard de la presse, Université Paris-Sorbonne (mémoire de maîtrise en musique et musicologie), 2014, 143 p. « Imyra Santana : thèse » [PDF], sur paris-sorbonne.academia.edu
  16. [vidéo] « Sonate d'Anne Amélie de Prusse par Alexa Raine-Smith, traverso, 2019 », sur youtube.com (consulté le )
  17. « Nouvelles diverses », Le Guide musical : revue hebdomadaire des nouvelles musicales de la Belgique et de l'étranger, Bruxelles, Schott, vol. 31, nos 31-32, , p. 213-214 (lire en ligne, consulté le )
  18. (en) Ardal Powell, The Flute, New Haven and London, Yale University Press, coll. « Yale Musical Instrument Series », , 360 p. (ISBN 978-0300094985, lire en ligne), « The flute in the early music revival », p. 249-251
  19. (de) August Wenzinger, « Hans Eberhard Hoesch und die Kabeler Kammermusik », Basler Jahrbuch, vol. 16, no 2, , p. 75-78 (lire en ligne [PDF])
  20. (de) Dieter Gutknecht, Studien zur Geschichte des Aufführungpraxis Alter Musik. Ein Überblick von Beginn des 19. Jahrhunderts bis zum Zweiten Weltkrieg, Köln, Schott Campus-Concerto Verlag, , 344 p. (ISBN 3-9803578-9-9, lire en ligne [PDF]), p. 222-241
  21. (de) Georg Müller, Friedrich der Große, seine Flöten und sein Flötenspiel, Berlin, A. Parrhysius,
  22. « Discographie de Gustav Scheck », sur www.discogs.com (consulté le )
  23. « Discographie de Frans Vester », sur www.discogs.com (consulté le )
  24. « Discographie de Leopold Stastny », sur www.discogs.com (consulté le )
  25. « Discographie de Leopold Stastny », sur www.allmusic.com (consulté le )
  26. « Discographie de Hans-Martin Linde », sur www.discogs.com (consulté le )
  27. « Discographie de Frans Brüggen », sur www.discogs.com (consulté le )
  28. « Discographie de Masahiro Arita », sur data.bnf.fr (consulté le )
  29. « Discographie de Valérie Balssa », sur www.discogs.com (consulté le )
  30. « Discographie de Penelope Evison », sur www.discogs.com (consulté le )
  31. « Discographie d'Amélie Michel », sur app.idagio.com (consulté le )
  32. « Discographie de Jean-Pierre Pinet », sur www.discogs.com (consulté le )
  33. « Discographie de Laura Pontecorvo », sur www.laurapontecorvo.it (consulté le )
  34. « Discographie de Jana Semerádová », sur www.allmusic.com (consulté le )
  35. « Discographie de Stefanie Troffaes », sur stefanietroffaes.com (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Joseph Bodin de Boismortier: 1689-1755 : un musicien lorrain-catalan à la cour des Lumières, Stéphan Perreau, 2001 (ISBN 285998237X)
  • Principes de la Flute Traversiere, ou Flute d'Allemagne. De la Flute à Bec, ou Flute Douce, et du Haut-Bois, Divisez par Traitez. Par le Sieur Hotteterre-le-Romain, ordinaire de la Musique du Roy. Estienne Roger, Amsterdam, 1701 (rééd. Bärenreiter 1956) sur books.google.fr
  • Johann Joachim Quantz : Versuch einer Anweisung die Flöte traversiere zu spielen (1752) : Le traité de Quantz sur le site IMSLP (de)
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