Trélon
Trélon est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Trélon | |||||
Mairie et kiosque. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Avesnes-sur-Helpe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Avesnois | ||||
Maire Mandat |
Thierry Reghem 2020-2026 |
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Code postal | 59132 | ||||
Code commune | 59601 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Trelonais | ||||
Population municipale |
2 771 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 03′ 32″ nord, 4° 06′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 170 m Max. 251 m |
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Superficie | 39,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Trélon (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Fourmies (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fourmies | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Trélon se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut) en plein cœur du parc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour ses prairies, son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».
En fait, Trélon fait partie administrativement de l'Avesnois, géologiquement des Ardennes, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.
La commune se trouve à 110 km de Lille (préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique) ou Reims (Marne), à 50 km de Valenciennes, Mons (Belgique), 45 km de Charleroi (Belgique), à 15 km d'Avesnes-sur-Helpe (sous-préfecture) et 5 km de Fourmies.
La commune est bordée par les villages suivants : Fourmies, Glageon, Ohain.
La Belgique se trouve à 8 km, le département de l'Aisne à 10 km.
Communes limitrophes
Environnement
Trélon est fortement lié à sa forêt, qui pourrait être l'un des restes de l'ancienne Haye d'Avesnes et plus largement de l'ancienne forêt charbonnière.
La forêt de Trélon semble avoir évolué depuis le haut-Moyen Âge sous l'action des sylviculteurs qui y ont probablement favorisé le chêne. Le naturaliste J. Macquart disait d'elle en 1851 qu'elle était, à cette époque, couverte de chênes alors que, ajoute-t-il, « d'après la tradition locale, c'était autrefois de hêtres, ce qui paraît être confirmé par le nom de « faijne », donné à toutes les forêts dans cette partie de la France, et qui dérive évidemment du nom de fau, fuyard, fagus, de cet arbre »[1].
La forêt a notamment alimenté en bois la verrerie blanche de Trélon située près du château de Mérode qui produisait du verre à vitre, puis qui fut rachetée en 1822 par la cristallerie de Baccarat[2], afin de produire du « verre au plomb » (cristal) ce qu'elle fera à partir de 1826, avant de finalement s'autonomiser (louée par Baccara au fils d'un de ses directeurs, qui quittera le groupe en 1874). Cette verrerie, devenue cristallerie puis à nouveau verrerie, fermera finalement ses portes en 1966.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aubenton », sur la commune d'Aubenton, mise en service en 1998[9] et qui se trouve à 26 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 999,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 69 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,3 °C pour 1981-2010[14], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Trélon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Trélon, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[19] et 4 663 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fourmies, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,7 %), prairies (13,8 %), zones urbanisées (3,8 %), terres arables (2,9 %), eaux continentales[Note 8] (1,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Toponymie - Étymologie
Dès l'époque romaine, il est fait mention du territoire trélonais sous la dénomination « Terluinum, Teloniae Castellum ». « Terluinum » signifie « terre lointaine ». Le nom actuel de la commune a subi l'influence de la langue régionale picarde. En langue picarde, « lon » signifie « loin ».
Histoire
- C'est une localité sans doute très ancienne car on y a retrouvé des tuiles, des débris d'origine romaine et des médailles d'Auguste et de Domitien. Dès l'époque romaine, il est fait mention du territoire trélonais sous la dénomination de Terluinum, Teloniae Castellum, notamment dans un acte du cartulaire de l'abbaye de Liessies. Terluinum signifie « terre lointaine ».
- 843 : avec le traité de Verdun, le partage de l'empire carolingien entre les trois petits-fils de Charlemagne octroie à Lothaire I, la Francie médiane qui comprend le Hainaut dont fait partie le village.
- 855 : avec le traité de Prüm qui partage la Francie médiane entre les trois fils de Lothaire I, le Hainaut est rattaché à la Lotharingie dont hérite Lothaire II.
- 870 : avec le traité de Meerssen après la mort de Lothaire II, une partie de la Lotharingie dont fait partie le Hainaut est rattachée à la Francie occidentale.
- 880 : avec le traité de Ribemont en 880, le Hainaut est rattaché à la Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire romain germanique en 962.
- Son histoire est liée à l'histoire tourmentée de son château. Trélon appartient dès le XIe siècle à la famille d'Avesnes. Le château fut construit par Nicolas d'Avesnes en 1150. Le château est, à l'origine, une forteresse garnie d'un pont-levis, de larges douves et de grands remparts. Des dates se succèdent, long inventaire de sièges, de destructions, de reconstructions ; tour à tour français, bourguignon, espagnol, le château et les environs sont bien malmenés. Les habitants qui survivent aux destructions, aux pillages, doivent faire face aux famines et à la peste.
- 1478 : Le château est assiégé par Jean de Luxembourg.
- 1543 : assiégé par François 1er.
- 1552 : Henri II reprend le château tombé entretemps aux mains de brigands.
- 1637 : assiégé par Turenne.
- 1651 : assiégé par le général Rose.
- Au XVIe siècle, Louis baron de Merode épouse Louise de Blois, dame de Trélon.
- 1604 : Le roi d'Espagne Philippe IV fait de Trélon un marquisat rattachant les villes de Willies, Baives, Trélon, Ohain, Wallers, Moustier et Eppe-Sauvage.
- 1620 - 1625 : Un nouveau château est érigé sur l'emplacement de l'ancienne forteresse.
- 1625 : fondation du couvent des Carmes
- 1678 : Trélon devient français après le traité de Nimègue.
- 1704 : Le château est reconstruit, détruit en partie lors de la Révolution.
- 1806 : Verrerie "blanche" : Création d'une gobeleterie qui devient une cristallerie neuf ans plus tard. La verrerie, installée près du château de Mérode, est rachetée en 1825 par les célèbres cristalleries de Baccarat. Elle cesse toute activité en 1932.
- 1823 : Verrerie "Noire" : Création par Pailla et Collignon d'une verrerie à bouteilles pour le vin de champagne. Elle deviendra la société "Collignon Clavon" qui donnera son nom à la rue de l'atelier-musée du verre. En 1925, elle est vendue à Parant qui développa la verrerie vers le flaconnage de haut de gamme et ce jusqu'à sa fermeture en 1977.
- 1830 : Le château est une nouvelle fois profondément remodelé dans le style Louis XIII, ne gardant que ses deux bâtiments centraux. C'est à cette époque qu'il devient un domaine de plaisance, ouvert sur son jardin à l'anglaise. Le château actuel est toujours habité par la famille de Merode.
- 1860 : Au niveau du château, une tour renfermant une chapelle est bâtie.
- Plans du cadastre napoléonien (1822 et 1882)[26].
- 1885 : Le , la ligne de chemin de fer Maubeuge - Fourmies est inaugurée. Le tracé passe par Rousies, Ferrière-la-Grande, Ferrière-la-Petite, Sars-Poteries, Solre-le-Château, Liessies, Trélon-Glageon.
- Première guerre mondiale : Trélon se trouvera en zone occupée par les troupes Allemandes d' jusqu'au , date où le village est libéré par des troupes Françaises, 2 jours donc avant l'armistice. Après la guerre, des prisonniers de guerre allemands sont mis à disposition de nombre de communes de la région pour faciliter les opérations de déblaiement, reconstruction. Le , 250 prisonniers de guerre allemands se révoltent à Trélon[27].
- 1929 : La famille de Mérode acquiert son titre princier en 1929 par le roi Albert 1er pour ses services rendus à la Belgique.
- Seconde Guerre mondiale : Trélon est libéré le par des troupes américaines.
- 1980 : création de l'atelier-musée du verre dans le cadre de l'écomusée de l'Avesnois dans la Grande Halle aux fours de l'ancienne verrerie Parant.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2010 de la troisième circonscription du Nord.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Trélon[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton de Fourmies.
Intercommunalité
La commune était le siège de la communauté de communes Guide du pays de Trélon, créée fin 1992.
Celle-ci fusionne avec sa voisine pour créer, le , la communauté de communes du Sud Avesnois, dont la commune est désormais membre.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].
En 2019, la commune comptait 2 771 habitants[Note 9], en diminution de 4,97 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 338 hommes pour 1 460 femmes, soit un taux de 52,18 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Trélon XVIIe - XIXe siècle. Appartient à la famille de Merode.
- Musée-atelier du verre de Trélon. Antenne de l'Ecomusée de Fourmies, est consacré à l'activité verrière. Il est installé dans l'ancienne verrerie Parant, sont à voir : un four circulaire Boetius du XIXe siècle, un four Stein de 1920, des bouteilles, des flacons et des démonstrations.
- Ancien moulin fin XVIIIe siècle (rue du Fourneau).
- Maison de maître, 1786, brique et pierre bleue (rue du Maréchal-Foch).
- Maison Thénard, 1936, style Art déco (rue de la Liberté).
- L'église souvent remaniée mais dont les premières pierres datent de 1578. L'escalier « royal » qui donne à Trélon une allure médiévale.
- Le couvent des Carmes fondé en 1625 par Philippe-Eugène de Merode, il est devenu hospice et maison de retraite en 1933.
- Un kiosque à danser.
- Château.
- Animation Epouvantail, été 2022
- Église Saint-Léger.
- Kiosque à musique.
- La Poupée de Cosette, tableau de Léon Comerre, natif de Trélon et conservé à la mairie.
Personnalités liées à la commune
- Félix de Merode (1791-1857), homme d'État belge.
- Werner de Merode (1816-1905) est un homme politique français, fils de Félix de Merode.
- Léon Comerre (1850-1916), Grand Prix de Rome de peinture d'histoire en 1875.
- Ernest Dimnet (1866-1954), prêtre et écrivain.
- Paul de Maleingreau (1887-1956) compositeur.
- Michel Crucis (1922-2012), sénateur, député, président de la Vendée de 1970 à 1988.
- Denis Saurat (1890-1958), universitaire, directeur de l'Institut Francais du Royaume-Uni (1924-1945).
Héraldique
Plus que jamais Trelon. |
Les armes de Trélon se blasonnent ainsi : De gueules à deux fasces bretessées d’argent ; au franc-canton senestre d’hermine au chef d’argent.
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Trélon sur le site de l'Institut géographique national
- Trélon sur le site de l'Insee
- carte ancienne (Atlas de Trudaine pour la généralité de Hainaut-Cambrésis. « Chapitre 52 : chemin de traverse de la ville d'Avesnes à celle de Mariembourg toutes deux de ce département par Chimay terre étrangère ». Portion du chemin à partir de « Trelon » jusque bien au-delà du pont de « Moreri » proche de Wallers (« Walers »), en limite de la terre de Chimay. Carte réalisée entre 1745 et 1780.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- , Arbres et arbrisseaux d'Europe et leurs insectes, par J. Macquart, Membre résident dans les Mémoires de la Société des sciences de l'agriculture et des arts de Lille, 1851 (page 192-193)
- Marc Nikitin, La naissance de la comptabilité industrielle en France, Université de Paris IX Dauphine, , 541 p. (lire en ligne [PDF]), p. 297-335 — Thèse d'état.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Aubenton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Trélon et Aubenton », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Aubenton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Trélon et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Trélon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fourmies », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- site internet des Archives départementales du Nord
- Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 41
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Mathieu GILLION, "Descendance de la famille Gillion, magistrats et bourgeois de la ville de Trélon (Nord) du XVe au XVIIIe siècle", Le Parchemin n°421, Jan-Fev 2016, pp. 1-45. Mathieu GILLION, "Testament de maître Jehan Gillion, chanoine de Sainte-Waudru à Mons (1496), compléments à la généalogie de la famille Gillion de Trélon", Le Parchemin n°427, Jan-Fev 2017, pp. 77-86.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 70, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le )
- Notice DEGOUY Achille par Yves Le Maner, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
- Notice DEMAGNY, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
- « D'ailleurs en 1962 le canton de Trélon avait lui aussi une majorité gaulliste [...] avec M. Beaumez qui devint maire de la commune en 1965 (et le resta jusqu’en 1989). »
- Lionel Maréchal, « Trélon : le maire depuis 1989 s'en va avec "le sentiment du travail accompli" : Nous poursuivons notre série « Le bilan des maires » avec celui de la commune de Trélon, François Louvegnies. Qui revient sur les réalisations de son mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- Lisa Barbet (CLP), « Trélon : François Louvegnies, le maire sortant, a présenté les membres de sa liste », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Sophie Rabot, « Déjà des divergences au sein de l’opposition à Trélon », Le Courrier de Fourmies, no 3340, , p. 3 (ISSN 0183-8415).
- « Trélon : l’ancien premier adjoint, Thierry Reghem, a été élu nouveau maire », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Trélon (59601) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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