Valay
Valay est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Valay | |||||
La mairie | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Vesoul | ||||
Intercommunalité | CC Val de Gray | ||||
Maire Mandat |
Claudie Gauthier 2020-2026 |
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Code postal | 70140 | ||||
Code commune | 70514 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
670 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 39 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 20′ 21″ nord, 5° 38′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 206 m Max. 266 m |
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Superficie | 17,4 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Besançon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Marnay | ||||
Législatives | 1re circonscription de la Haute-Saône | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Géographie
Description
Valay est situé à une dizaine de kilomètres de Pesmes.
Communes limitrophes
Arsans | Champtonnay | Venère | ||
Lieucourt Vadans Chevigney |
N | Chancey | ||
O Valay E | ||||
S | ||||
Pesmes | La Résie-Saint-Martin, Chaumercenne | Motey-Besuche Montagney |
Hydrographie
La commune située dans un vallon est traversée par un petit cours d'eau appelé la Tourouge, puis La Rèsie plus en aval, qui prend sa source au lieu-dit Petit Valay et se jette dans la rivière l'Ognon en amont du bourg de Broye-lès-Pesmes.
Urbanisme
Typologie
Valay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55 %), forêts (31,8 %), prairies (7,8 %), zones urbanisées (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Histoire
Valay était un fief du comté de Bourgogne, tenu par les sires de Pesmes qui donnent une partie de la terre à l’abbaye prémontrée de Corneux, (commune de Saint-Broing), dès sa fondation. En 1151, Guy de Pesmes lui donne une grange, des dîmes et divers droits, en 1153, Hugues de La Résie lui abandonne un alleu situé à Valay et en 1232, Guillaume sire de Pesmes, se reconnaît vassal de l’abbaye de Corneux pour un fief à Valay.
Si sa date de construction est inconnue, le château fort existe déjà en 1324[8].
Les forges sont attestées depuis 1689 (autorisation de construire un haut fourneau accordée à cette date). Elles ont produit au XVIIIe siècle des fontes réputées.
Peu avant 1825, ce haut fourneau est un des premiers du département à être équipé d'une machine à vapeur (6 ch) pour actionner la machine soufflante[9]
Au XIXe siècle, Valay était un village qui vivait grâce aux carrières de minerai de fer et aux forges.
Deux décrets de 1854 et 1857 autorisent en effet Joseph, Simon et Jean Menans, associés à Charles Bouveret, à établir deux autres hauts fourneaux, dits du Petit-Valay, dans leur propriété, à l'emplacement présumé du château. Le plan du haut-fourneau a été établi par Jean-François Bouvard géomètre à Valay le 25 Juin 1854.[document : Papier, plume, lavis, dressé par le géomètre J.F. Bouvard, Valay, le 25 juin 1854, N° de l’illustration : IVR43_19907000199X - Date : 2009 - Auteur : Jérôme Mongreville]
Ils sont édifiés dès 1855, sous la même halle, d'après des plans signés de J. Menans et Bouveret. Un logement patronal est bâti, et des logements ouvriers sont vraisemblablement reconstruits (ou aménagés) dans les dépendances situées entre les tours nord et ouest.
En 1855, les deux hauts fourneaux sont munis chacun de deux tuyères, dont la soufflerie est actionnée par deux machines à vapeur de 12 et30 ch. Leurs deux chaudières, placées à la partie supérieure des hauts fourneaux, sont chauffées avec les gaz du gueulard. Les machines à vapeur actionnent également un patouillet (machinerie qui sert à laver les minerais encroûtés de sable et d’argile), des pompes, et un monte-charge.
La production annuelle de fonte, évaluée à 1 400 tonnes, devait utiliser 2 400 m3 de minerai et consommer 24 000 stères de bois. En 1856, les frères Menans et Charles Bouveret adhèrent à la Société des hauts fourneaux, fonderies et forges de Franche-Comté. À partir de 1866, les fontes seront envoyées par chemin de fer à l'usine-mère de cette société, une forge à l'anglaise située à Fraisans (39). L'établissement métallurgique est acquis en 1880 par la Compagnie des forges d'Audincourt. La matrice cadastrale signale des travaux d'agrandissement et de destruction, menés sur les bâtiments du haut fourneau et des chaudières, et achevés en 1888. Ces travaux correspondent peut-être au démantèlement de l'un des hauts fourneaux. Le second, arrêté en 1905, est le dernier du département en activité. D'après la même source cadastrale, les installations techniques (grue de 2 500 kg, monte-charge, machine à vapeur, soufflerie et pompes pour les réservoirs supérieurs, forge, perceuse et tours, patouillet) ont été démolies en 1907. En 1893, le haut-fourneau employait 16 personnes, et en 1900, produisait 5 t de fonte brute en 24 h[8].
La commune a été desservie de 1866 à 1940 par une gare[10] sur la ligne de Gray à Fraisans (vers Besançon).
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Pesmes[11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Marnay.
Intercommunalité
La commune était le siège de la petite communauté de communes du val de Pesmes, créée par un arrêté préfectoral du , et qui prenait la suite du Syndicat intercommunal de développement et d’aménagement du canton de Pesmes[12].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le préfet de la Haute-Saône a présenté en un projet de révision du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit notamment la scission de cette communauté de communes et le rattachement de certaines de ses communes à la communauté de communes du val marnaysien et les autres communes à celle du val de Gray[13],[14].
Malgré l'opposition du Val de Pesmes[15], le SDCI définitif, approuvé par le préfet le , a prévu l'extension :
- du val marnaysien aux communes de Bard-lès-Pesmes, Berthelange, Brésilley, Chancey, Chaumercenne, Courcelles-Ferrières, Corcondray, Etrabonne, Ferrières-les-Bois, Malans, Mercey-le-Grand, Montagney, Motey-Besuche, Villers-Buzon, portant le nouvel ensemble à 13 784 habitants, selon le recensement de 2013 ;
- Val de Gray aux communes d'Arsans, Broye-Aubigney-Montseugny, Chevigney, La Grande-Résie, La Résie-Saint-Martin, Lieucourt, Pesmes, Sauvigney-lès-Permes, Vadans, Valay et Venère, portant le nouvel ensemble à 20 807 habitants [16].
C'est ainsi que la commune est désormais membre depuis le de la Communauté de communes Val de Gray.
Liste des maires
Politique de développement durable
Une exploitation agricole souhaite s'équiper en 2016 d'une unité de méthanisation afin de valoriser ses déchets. Cette installation est critiquée par de nombreux habitants, qui en craignent les nuisances[19].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].
En 2019, la commune comptait 670 habitants[Note 3], en diminution de 2,05 % par rapport à 2013 (Haute-Saône : −1,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Les enfants d’Arsans, Chevigney, La Grande-Résie, La Résie-St-Martin, Lieucourt, Vadans et Valay sont scolarisés au village, ainsi que ceux de Vénère, pour la petite et la moyenne section de maternelle. Pour la rentrée 2016/17, ils étaient 163[23].
Culture
La commune s'est dotée d'une bibliothèque en 2015, ouverte une demi-journée par semaine[24].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La mairie, construite entre 1859 et 1864 d'après les plans de Jean-Baptiste Bertrand par les entrepreneurs Renobert Huguet et Antoine Terra[25].
- Église Saint-Pierre
- Édifice construit entre 1840 et 1844 d'après les plans de l'architecte Fénéon d’Amotte, par l'entrepreneur Champennois, sur l'emplacement d'une ancienne chapelle, dite chapelle Mareschal, dont aucun autre détail n’est connu[26],[27]. Le presbytère a été construit entre 1821 et 1823, d'après les plans de l'architecte Mielle, par l'entrepreneur Boucheseiche[28].
- Le clocher de l’église.
- Forges du Grand-Valay
- Le haut fourneau est construit en vertu de lettres patentes accordées à Joseph-François Pétremand de Valay le . Il utilise l'énergie hydraulique de la Tourouge pour actionner ses soufflets. L'établissement métallurgique ferme ses portes en 1875 et est transformée en scierie en 1905, afin de produire des pièces pour le bâtiment et des traverses de chemin de fer, pour une capacité de production annuelle de 1 500 tonnes.
- La maison du directeur des forges et les logements ouvriers datent du XVIIIe siècle[9],[29].
- Le château fort dit le Vieux Château, puis haut fourneau du Petit-Valay
- Lorsqu'il est acquis par les frères Menans en 1854, le "Vieux château" se compose de bâtiments ordonnés autour d'une cour rectangulaire, délimitée aux angles par trois tours rondes, dont l'une est à demi arasée.
- Les bâtiments ont été utilisés jusqu'en 1952 comme entrepôts commerciaux par un négociant en vins.
- En 1949, un incendie détruit la presque totalité des entrepôts et magasins situés contre les murs d'enceinte sud et est. Le bâtiment des hauts fourneaux, vidé de ces installations, est encore en place.
- Le site est aujourd'hui habité par un particulier[8].
- Château Petremand de Valay, du XVIIIe siècle[30].
- Lavoir du XIXe siècle[31].
- Ermitage Sainte-Cécile
- Au hameau de Sainte-Cécile (entre Valay et Chaumercenne), existent les ruines d'une ancienne chapelle à fenêtres ogivales. Cet ermitage est attesté dès la fin du XIIe siècle. La chapelle était une annexe de la Maison du Temple de Montseugny, dépendante des templiers de l'ordre de Malte. On y remarque encore leur emblème sculpté dans la pierre. Vendue comme bien national à la Révolution, elle a été transformée en exploitation agricole au XIXe siècle puis abandonnée et ruinée pendant le XXe siècle[32],[33].
- Il semblerait que cette chapelle ait été construite sur l'emplacement d'une source miraculeuse et d'un ancien cimetière. À quelques mètres du hameau se situe cette source réputée guérir la cécité.
- L’entrée de l’ermitage Sainte-Cécile.
- La porte ogivale de l’entrée de l’ermitage.
- Les armoiries des Templiers au-dessus de l’entrée de l’ermitage Sainte-Cécile.
- Croix de chemin à Vigny, édifiée en 1820[34].
- Maisons et fermes des XVIe au XIXe siècle[35].
- Jardin des Vieilles vignes, labellisé Jardin remarquable (propriété privée)[36].
Personnalités liées à la commune
- Désiré-Adrien Pétremand, né au château de Valay le et décédé le . Bienfaiteur de la commune.
- Madame de Valay, née de Salignac de Lamothe Fénelon, le à la Martinique. Elle est une arrière-petite-nièce de Fénelon, qui fut précepteur du duc de Bourgogne et archevêque de Cambrai. Elle épousa M. Pétremand de Valay en 1798. Elle est décédée le à Besançon.
- La commune a élevé un monument à la mémoire de son ancien seigneur et maire Désiré-Adrien Pétremand de Valay et à son épouse qui furent les bienfaiteurs de la commune et des pauvres.
- Le monument Pétremand de Valay a été inauguré le .
- Le monument qui s'élève sur la place est l'œuvre de trois artistes de Besançon : MM. Piguet, sculpteur, Saint-Eve aîné, fondeur et Jean-Paul-Paschal Franceschi, élève de François Rude, chargé des moules[37]. Initialement appelée place du Mont-Ruchot, la place a pris le nom, le , jour de l'inauguration du monument, de place Fénelon.
- Seigneurs et co-seigneurs identifiés de Valay
Liste des seigneurs et co-seigneurs identifiés de Valay | ||
Année | Nom | Observations |
---|---|---|
1327 | Guiot de Montbozon | [38] |
avant 1508 | Marc de la Baume | [39] |
1508 | Odo Desmoulins | [40] |
1532 | Philippe de Main/de Malain et ses fils Gui et Georges de Malain |
[41] |
1546 | Pierre de Vadans/d'Avadans | [42] |
vers 1530 | Catherin Mairot/Mayrot | [43] |
1553 | Girard de Rye | [44] |
1601 - 1611 | Pierre Mayrot époux de Geneviève de Champagne | [45] |
1601 | Denis-Grégoire Pétremand | [45] |
1630 | Henri Mairot | |
avant 1667 | Charles-Guillaume de Mesmay les héritiers de Claude-Antoine de Saint-Moris, Philippe Jacquinot |
|
1667 | Françoise Béreur, veuve de Charles Pétremand et leurs enfants : Joseph Pétremand, François Pétremand, Denis-Grégoire Pétremand |
[46] |
1675 | Claude-Antoine de Saint Mauris, Françoise Béreur, veuve de Charles Pétremand, Charles-Guillaume de Mesmay |
[47] |
1697 | Joseph Pétremand | [48],[49] |
1722 | Charles Pétremand | [50] |
avant 1771 | Charles-François Pétremand | |
1771 | Philippe-Désiré Pétremand | [51] |
Sources des données : Archives départementales du Doubs et de la Haute-Saône et Monographie de Champtonnay de Didier Krackenberger, Besançon,1995, pages 19–43 |
Bernard Bouvard, né le 18 Janvier 1924 à Valay et mort le 21 Juillet 2009 à Valay, est un coureur cycliste français spécialiste du demi-fond.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Besançon », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Château fort, puis haut fourneau de Petit Valay, actuellement logement », notice no IA00016652, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Haut fourneau de Grand Valay, puis scierie », notice no IA00016651, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La gare », notice no IA00016645, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « C.C.V.P., E.P.C.I. et autres sigles », Vie communautaire, sur http://www.ccvaldepesmes.fr (consulté le ).
- « Présentation du projet de SDCI révisé » [PDF], Intercommunalité, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
- Guillaume Minaux, « Haute-Saône : le projet de redécoupage », L'Est républicain, (lire en ligne).
- Maxime Chevrier, « Fusion : les élus du Val de Pesmes sonnent la charge : Les élus de la Communauté de communes du Val de Pesmes avaient préparé leur affaire. Hier après-midi, ils ont débarqué devant la préfecture pour acter le refus de voir leurs intérêts bafoués, dans un principe d’éclatement de ce territoire », L'Est républicain, édition de Vesoul, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Intercommunalité, Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 3.
- Maxime Chevrier, « Valay, la tête a changé : La commune de Valay, qui n’a pas reconduit Joseph Magaud, son maire de 25 ans, a connu un autre changement de leader, dans l’équipe d’en face, que dirige officiellement depuis samedi Claudie Gauthier », L'Est républicain, (lire en ligne).
- « Claudie Gauthier pour un second mandat », La Presse de Gray, (lire en ligne, consulté le ).
- « Valay ne sent pas bien le coup… : Au village, le projet de méthanisation d’un exploitant cristallise appréhension et ressentiment », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « C’est reparti pour une année », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Lire et faire lire à Valay : ça marche ! », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « La mairie », notice no IA00016649, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église », notice no PA00102280, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00016646, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Presbytère », notice no IA00016657, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Anciennes forges de Grand-Valay », notice no PA70000020, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château Petremand de Valay », notice no IA00016650, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le lavoir », notice no IA00016648, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ermitage Sainte-Cécile », notice no PA00132865, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ermitage de chevaliers de Malte Sainte-Cécile », notice no IA00016644, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin », notice no IA00016647, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maisons et fermes », notice no IA00016643, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Maxime Chevrier, « Valay : elle met sa vie dans son jardin : Arrivée à Valay en 2004, la Néerlandaise Rina van Gelder est devenue une reine au village. Son jardin, qu’elle dévoilera au public les 4 et 5 juin, est une petite merveille », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- La Haute-Saône, Dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département. L. Suchaux. T. II, p. 281, Vesoul, 1866.
- A.D. du Doubs, BTC : B 3035, « VALAY », concession de la terre de Valay par Eudes IV et sa femme à Guiot de Montbozon, maître de leurs écuries, pour tous ses bons services (ils l’avaient acquise du seigneur de Dampierre-sur-Salon), année 1327.
- Nouveau Dictionnaire des Communes « Haute-Saône », tome V, p. 339, « Valay », mention de la vente de la terre et seigneurie.
- Nouveau Dictionnaire des Communes « Haute-Saône », tome V, p. 339, « Valay », mention de l’achat de la terre et seigneurie par Odo Desmoulins, avocat fiscal au bailliage d’Amont, 1508.
- A.D. du Doubs, BTC : B 635, folio 72, reprise de fief par Philippe de Main, seigneur de Champvans, pour un fief à Apremont et Valay, le 24 septembre 1532.
- A.D. du Doubs, BTC : B 3035, « Valay », reprise de Valay et de Brotte par Pierre d'Avadans, de Gray, les ayant achetés pour 675 F de Philippe de Malain, année 1546.
- Nouveau Dictionnaire des Communes « Haute-Saône », tome V, p. 339, « Valay », rétrocession de la seigneurie de Valay qu’il venait d’acheter de Gui de Malain, seigneur de Champvans, à Girard de Rye, seigneur de Balançon, par Catherin Mairot, de Pesmes, seigneur de Mutigney et de Valay, année 1553.
- A.D. du Doubs, BTC : B 3035, « Valay », rétrocession de la seigneurie de Valay qu’il venait d’acheter de Gui de Malain, seigneur de Champvans, à Girard de Rye, seigneur de Balançon, par Catherin Mairot, de Pesmes, seigneur de Mutigney et de Valay, année 1553.
- A.D. du Doubs, BTC : B 648, folio 70 verso, dénombrement de la seigneurie de Valay, donné par Pierre Mairot et Denis-Grégoire Pétremand, coseigneurs, le 22 décembre 1601.
- A.D. du Doubs, BTC : B 649, folio 1, achat des deux tiers de la seigneurie de Valay, par Françoise Béreur, veuve de Charles Pétremand, par Joseph, François et Denis-Gregoire Pétremand, ses enfants, de Charles-Guillaume De Mesmay, des héritiers de Claude-Antoine de Saint-Moris et de Philippe Jacquinot, le 12 février 1667.
- A.D. du Doubs, BTC : B 3035, « Valay », dénombrement de Valay par Claude-Antoine de Saint-Mauris, seigneur de Falletans, par Françoise Béreur, veuve de Charles Pétremand, seigneur de Vaudrey, par Charles-Guillaume de Mesmay, écuyer, seigneur de Mesmay, acheteurs de la seigneurie de Valay, au décret de Pierre Mairot, de Geneviève de Champagne, sa femme, de Henri et Philippe-Louis de Mairot, ses fils, année 1675.
- dans ANTONY (Daniel) et HUMBERT (Monique), Un grand ministre de Charles Quint : Nicolas Perrenot de Granvelle, garde des sceaux et premier conseiller d'état ... et les Comtois au service de l'Empire, Centre Régional de Documentation Pédagogique de Besançon, 1983
- A.D. de la Haute-Saône, B 2650, folio 126 verso - mention de l’achat à Jean de Poupet et son épouse Antoine de Montmartin des terres et seigneuries dont Venère, le 16 janvier 1544.
- A.D. du Doubs, BTC : B 655, folio 255, reprise de fief par Charles Pétremand, pour Valay, le 14 août 1722.
- A.D. du Doubs, BTC : B 3035, « Valay », dénombrement de la terre de Valay, par Philippe-Désiré Pétremand, année 1771.
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