Verdun-en-Lauragais

Verdun-en-Lauragais est une commune française située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie. Avant le décret du , la commune s'appelait Verdun.

Pour les articles homonymes, voir Verdun et Lauragais.

Verdun-en-Lauragais

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Carcassonne
Intercommunalité Communauté de communes Castelnaudary Lauragais Audois
Maire
Mandat
Monique Vidal
2020-2026
Code postal 11400
Code commune 11407
Démographie
Gentilé Verdunois
Population
municipale
280 hab. (2019 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 59″ nord, 2° 03′ 36″ est
Altitude 333 m
Min. 198 m
Max. 613 m
Superficie 20,21 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Castelnaudary
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Malepère à la Montagne Noire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Verdun-en-Lauragais
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Verdun-en-Lauragais
Géolocalisation sur la carte : Aude
Verdun-en-Lauragais
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Verdun-en-Lauragais

    Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Tenten, la Migaronne, Rec de Riplou, le ruisseau d'Ayguebelle. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Verdun-en-Lauragais est une commune rurale qui compte 280 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 770 habitants en 1841. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Verdunois ou Verdunoises.

    Géographie

    La commune est limitrophe du département du Tarn.

    Verdun-en-Lauragais est adossé au sud de la montagne noire, entre 195 et 616 m d'altitude.

    Communes limitrophes

    Climat

    L'existence de deux stations météorologiques proches, à savoir celle de Castelnaudary et de Saissac, permet d'analyser de manière précise le climat de Verdun-en-Lauragais.

    La station de Saissac, à 630 m d'altitude et sur le versant sud de la Montagne Noire, est représentative du climat de la partie nord de Verdun-Lauragais (Sanègre, le Raziguet), avec toutefois un caractère montagnard plus accentué : située au Lampy-Vieux, elle est plus à l'intérieur du massif de la Montagne Noire.

    À l'opposé, la station de Castelnaudary à 170 m d'altitude est représentative du climat de l'extrémité sud de la commune. Les températures moyennes annuelles varient ainsi de 10,4 °C (Saissac) à 13,8 °C (Castelnaudary) avec un nombre de jours de gel respectivement de 52 et 25 jours par an[2]

    Les moyennes annuelles calculées sur 10 ans, de 1988 à 1997 permettent de caractériser les deux stations. On constate un contraste important : 3° de moins à Saissac par rapport à Castelnaudary et le double de jours de gel et de hauteur de précipitations.

    Castelnaudary présente un climat à tendance méditerranéenne marquée, l'influence océanique se faisant toutefois encore sentir, notamment dans la répartition assez régulière des précipitations. La station est par ailleurs très ventée.

    Saissac présente un climat à caractère montagnard, plus froid et humide. L'importance des précipitations s'explique par le fait que la Montagne Noire est le premier relief qui arrête les fronts humides venant de la Méditerranée ; elle se trouve également sous influence océanique, influence lointaine toutefois, qui lui amène occasionnellement un surcroît d'humidité. La station est beaucoup moins ventée que celle de Castelnaudary.

    Le climat de Verdun-Lauragais est intermédiaire entre celui de ces deux stations. Le bourg de Verdun, tourné vers le Sud et dans la vallée du Tenten, bénéficie d'une situation particulièrement favorable, abritée des vents, avec un bon ensoleillement.

    Géologie

    La plus grande partie du territoire de la commune s'inscrit dans les terrains cristallins de la Montagne Noire.

    Depuis la crête sommitale, au nord de la commune, le socle cristallin s'incline vers le sud avec une pente très régulière, de 7,5 % en moyenne. Le dénivelé total est de 421 m (616 à 195 m).

    Le socle est entaillé par des vallées étroites et profondes, orientées nord-sud, dont les pentes moyennes atteignent 50-70 %.

    Au nord de la crête sommitale se développe un versant beaucoup moins étendu et de pente plus forte (10-20 % en moyenne). Il présente un dénivelé de 130 m, de la crête jusqu'au Tenten

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est drainé par 4 principaux cours d'eau[3] : le Ruisseau de Tenten et son affluent l'Ayguebelle, la Migaronne et le Riplou.

    Le Tenten et l'Ayguebelle ont un cours permanent sur le territoire de la commune leur lit est de 2 à m de large. Le Riplou et la Migaronne sont de plus faibles dimensions et n'ont un cours permanent que dans la partie basse.

    L'écoulement des ruisseaux est très rapide, la pente générale du cours étant de l'ordre de 5 à 6 %, et la roche affleure partout dans le lit majeur.

    En période de crue, les ruisseaux prennent un caractère torrentiel. Toutefois, les vallées étant très encaissées, les eaux ne sortent pas ou très peu de leur lit. Seuls les quelques prés en fond de vallée du Tenten, aux Trois Moulins et à l'Obit, peuvent être inondés.

    La qualité des eaux du Tenten est excellente sur la commune, d'après la carte de l'agence de bassin.

    Les rejets dans les ruisseaux sont limités à ceux de la station d'épuration qui traite les eaux usées du village ; il s'agit d'un décanteur-digesteur géré par la Compagnie Lyonnaise des Eaux.

    Toutefois, la qualité des eaux, la faune et la flore aquatique ont pu être perturbées par la réalisation récente de nombreuses retenues d'eau destinées à l'irrigation.

    Ces retenues contribuent au réchauffement de l'eau et diminuent son oxygénation. Leur utilisation représente des prélèvements importants en période d'étiage.

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 1] est recensée sur la commune[4] : la « montagne Noire occidentale » (24 257 ha), couvrant 26 communes dont 25 dans l'Aude et 1 dans le Tarn[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Verdun-en-Lauragais est une commune rurale[Note 2],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,3 %), forêts (36,3 %), prairies (13,4 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le village doit son nom, d'origine gauloise, (Viro : tournant[Information douteuse] et Duno : colline), à son implantation sur un promontoire rocheux inscrit dans une boucle formée par deux ruisseaux : le Tenten (on prononce ici tout comme les Belges "tintin") et la Goutine.

    Histoire

    Le nom du village est d'origine gauloise, mais aucun document ne mentionne le village au XIe siècle.

    Le , les fils d’Hugues de Saissac, seigneur de Saissac, annoncent à leur suzerain, le vicomte Raymond de Trencavel, qu’ils vont construire au lieu de Verdun un castrum. Le castrum de Verdun est implanté sur un promontoire rocheux inscrit dans une boucle formée par deux ruisseaux, le Tenten et la Goutine permettant de voir toute la plaine jusqu'aux Pyrénées. Le village est ceinturé de remparts et accessible par deux portes, la porte d'aval et la porte du Cers.

    Le Lauragais est un foyer du catharisme entraînant la croisade des albigeois. Après la conquête des possessions de la maison de Trencavel, la révolte des petits seigneurs locaux vers 1240 a conduit Louis IX à faire des restitutions partielles qui se sont étendus à un grand nombre de proscrits. Jourdain de Saissac a pu récuper la 4e partie de la seigneurie de Verdun. Le , il la vend à Guillaume Pia, sénéchal de Carcassonne entre 1248 et 1252, seigneur de Ferrals depuis son achat à l'abbaye de Saint-Papoul. Entre 1327 et 1329, Guillaume Pia, chevalier, est nommé seigneur de Verdun.

    En 1305, toute la population de Verdun est déportée à Carcassonne pour interrogatoire. Parmi les 25 cathares brûlés à Toulouse entre 1308 à 1321, 5 sont originaires de Verdun.

    Pendant la guerre de Cent Ans, le Lauragais souffre des ravages du Prince Noir entraînant de la famine et des épidémies. En 1370, Verdun était une judicature qui regroupait 3 380 feux. Le recensement du diocèse de Saint-Papoul, le , ne compte que de 12 feux imposables dans la communauté de Verdun.

    Verdun faisait partie de la baronnie de Ferrals. Antoine de Toulouse-Lautrec est mentionné comme seigneur de Ferrals en 1457. Il a l'entière justice de Verdun et de nombreux droits sur les habitants.

    En 1790, Verdun fait partie du district de Castelnaudary dans le département de l'Aude[9].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1849   Honoré Dulignon    
    avant 1995  ? Jacques Bizou    
    mars 2001 mars 2014 Christian Pélissier    
    mars 2014 2020 Armand d'Agrain    
    25/05/2020 En cours Monique Vidal[10]    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[12].

    En 2019, la commune comptait 280 habitants[Note 4], en augmentation de 2,56 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    742645667678742731770756751
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    700695672622589608611576570
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    526547530391391378380316272
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    265233219216212231249251274
    2017 2019 - - - - - - -
    273280-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 125 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 275 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 230 [I 4] (19 240  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 6]8 %7,3 %11,9 %
    Département[I 7]10,2 %12,8 %12,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 179 personnes, parmi lesquelles on compte 81,2 % d'actifs (69,3 % ayant un emploi et 11,9 % de chômeurs) et 18,7 % d'inactifs[Note 6],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 61 emplois en 2018, contre 61 en 2013 et 52 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 128, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,8 %[I 10].

    Sur ces 128 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 39 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 13,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    24 établissements[Note 7] sont implantés à Verdun-en-Lauragais au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 24 entreprises implantées à Verdun-en-Lauragais), contre 32,3 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude[15],[Carte 3]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est l'élevage d'équidés et/oud' autres herbivores[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations34241913
    SAU[Note 10] (ha)1 4591542nd[Note 11]1160

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 24 en 2000 puis à 19 en 2010[17] et enfin à 13 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[18],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 459 ha en 1988 à 1 160 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 43 à 89 ha[17].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Sainte-Marie-Madeleine.
    • Église Sainte-Marie-Madeleine de Verdun-en-Lauragais, église paroissiale construite entre 1300 et 1380. L'église est mentionnée en 1317 et dépendait alors de l'évêché de Saint-Papoul qui venait d'être formé aux dépens du diocèse de Pamiers. À la différence des églises de Lauragais, l'église n'a pas de clocher-mur. Son clocher surmonte un passage voûté, probablement une ancienne porte de la ville. L'église faisait partie de la première enceinte du castrum. L'église a été modifiée entre le XVIIe siècle et le XIXe siècle. L'église possède six chapelles latérales. Des changements ont été faits en 1898 avec le déplacement de l'entrée et la construction d'un porche latéral et de deux sacristies entre les contreforts, la restauration de la toiture et l'achat d'un harmonium. La cloche a été remplacée en 1944 et baptisée sous le vocable de Jeanne d'Arc[19].
    • D'autres églises ou chapelles existaient sur le territoire de la commune : Notre-Dame de Ferrals, Saint-Pierre de Rupe, Saint-Sauveur de l'Obit[20].

    Personnalités liées à la commune

    Paul Sibra (1889-1951), peintre et dessinateur.

    Héraldique

    Blason
    D'argent, à trois fusées de gueules posées en fasce.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    11. nd : donnée non disponible.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[16].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. [PDF]« Carte des petites régions agricoles(PRA) dans l’Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Verdun-en-Lauragais » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Verdun-en-Lauragais » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Verdun-en-Lauragais » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Verdun-en-Lauragais » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Étude menée par "Études Conseils Environnements Paysages, 7 rue du Moulin 31450 Montgiscard
    3. (cf. carte de l'hydrologie)
    4. « Liste des ZNIEFF de la commune de Verdun-en-Lauragais », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « ZNIEFF la « montagne Noire occidentale » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. Marie de Verdun-en-Lauragais : Histoire
    10. https://www.ladepeche.fr/2020/06/03/monique-vidal-maire-pour-les-6-ans-a-venir,8914621.php
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    15. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    16. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    17. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Verdun-en-Lauragais - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aude » (consulté le ).
    19. Fondation du patrimoine : église Sainte-Marie-Madeleine de Verdun-en-Lauragais
    20. M.-C. Marandet, « Les lieux de culte du diocèse de Saint-Papoul à la fin du Moyen Âge », dans Archéologie du Midi Médiéval, 1990-1991, tome 8-9, p. 99-120 (lire en ligne)
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