Villars (Dordogne)
Villars est une commune française rurale située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Villars.
Villars | |||||
Le bourg de Villars. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Dronne et Belle | ||||
Maire Mandat |
Jacky Faye 2020-2026 |
||||
Code postal | 24530 | ||||
Code commune | 24582 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villarsais | ||||
Population municipale |
454 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 25′ 17″ nord, 0° 45′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 125 m Max. 240 m |
||||
Superficie | 27,67 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Brantôme en Périgord | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Villars est également connue sous l'appellation de « village aux trois merveilles » pour son patrimoine historique[1].
Géographie
Généralités
À environ six kilomètres du parc naturel régional Périgord-Limousin, dix kilomètres au nord-est de Brantôme et treize kilomètres à l'ouest de Thiviers, le bourg de Villars est implanté dans la vallée du Trincou, en rive droite. Il se trouve au croisement des routes départementales 3, 68, 82 et 82E1.
Raccordée aux départementales 3 à l'ouest et 68 à l'est, la route départementale 98 traverse également la commune. Le village est également situé sur la Via Lemovicensis, chemin de Compostelle.
Communes limitrophes
Villars est limitrophe de huit autres communes.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Villars est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j2-3, date du Bajocien supérieur au Bathonien inférieur, composée de calcaires oolithiques blancs à ciment cristallin et à stratifications planes, entrecroisées ou obliques, évoluant en alternance avec un calcaire bioclastique beige oolithique à pelletoïdes, calcaire blanc crayeux. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| |||||||||||||||
Pléistocène |
| |||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
| ||||||||||||||||
Éocène | non présent | |||||||||||||||||
Paléocène | non présent | |||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
| |||||||||||||||
inférieur | non présent. | |||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
Supérieur |
| ||||||||||||||||
Moyen |
| |||||||||||||||||
Jurassique inférieur | non présent | |||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | |||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 125 mètres et 240 mètres[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 27,67 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 28,77 km2[4].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Trincou et le ruisseau de l'Etang Rompu et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[15],[Carte 1].
Le Trincou, d'une longueur totale de 16,55 km, prend sa source dans la commune de Milhac-de-Nontron et se jette dans la Côle à Condat-sur-Trincou, après avoir traversé quatre communes[16].
- Le Trincou à Villars, au sud du lieu-dit Bironnaud.
- Réseaux hydrographique et routier de Villars.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[25] et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 61 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[29], à 11,4 °C pour 1981-2010[30], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[31].
Urbanisme
Typologie
Villars est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,9 %), zones agricoles hétérogènes (37,1 %), prairies (3,4 %), terres arables (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[37].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
Le nom de la commune est tiré de l'occitan vilar signifiant « hameau » ou « village », mis ici au pluriel[38].
En occitan, la commune porte donc le nom de Vilars[39].
Histoire
La grotte du Cluzeau porte témoignage d'une occupation du territoire communal à l'époque préhistorique[38]. Une hache en bronze, rare et remarquable, datant de l'époque larnaudienne, a été trouvée en 1896 au lieu de la Barbinie[40].
Au XIe siècle est bâtie l'abbaye Notre-Dame de Boschaud[38].
La première mention écrite connue du lieu apparait en 1192 sous la forme « Vilars »[38]. Le doublement de la lettre L (Villard) apparait en 1760[38] et en 1801, la commune portait le nom de « Villards »[6].
Au XIIIe siècle, Villars était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[41].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune est rattachée du canton de Champagnac-de-Belair — appelé dans un premier temps canton de Champagnac, puis de Champagnac-de-Bel-Air — qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Nontron[6].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[42]. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[43],[44].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Villars relève[46] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[48].
En 2019, la commune comptait 454 habitants[Note 10], en diminution de 4,62 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Analyse
Après avoir connu son maximum au milieu du XIXe siècle avec près de 1 800 habitants, la population communale n'a ensuite cessé de baisser, passant en dessous de 1 000 après la Seconde Guerre mondiale, et moins de 500 au XXIe siècle.
Manifestations culturelles et festivités
- Chaque , une brocante vide-greniers est organisée dans le bourg (46e édition en 2017[50]).
Économie
Emploi
En 2015[51], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 209 personnes, soit 44,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-deux) a augmenté par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,3 %.
Établissements
Au , la commune compte soixante-deux établissements[52], dont vingt-neuf au niveau des commerces, transports ou services, onze dans la construction, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, huit relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie[53].
Entreprises
Les activités primaires sont liées à la culture et à la production animale, ainsi qu'à la sylviculture et à l'exploitation forestière. La commune se trouve sur le territoire de l'appellation d'origine contrôlée « noix du Périgord ».
Tourisme
À compter du et pour une durée de cinq ans, Villars est déclarée commune touristique, en même temps que cinq autres communes de la communauté de communes Dronne et Belle : Bourdeilles, Brantôme en Périgord, La Chapelle-Faucher, Mareuil et Saint-Crépin-de-Richemont[54].
Lieux et monuments
Patrimoine civil
- Le petit château de Villars, anciennement castel de l'Archerie[55], construit mi-XIXe siècle, maintenant maison d'hôtes (auparavant maison privée, colonie de vacances, hôtel-restaurant)
- Le château de Puyguilhem, XVIe siècle, classé au titre des monuments historiques depuis 1912, et ses abords inscrits depuis 1945[56], visitable. La construction de ce château est attribuée à Jean ou Gaston Mondot de La Marthonie, évêques de Dax. L'État est devenu propriétaire de ce château à l'abandon en 1939. Il est de style Renaissance et comporte notamment des mâchicoulis, une tour féodale et des cheminées monumentales dont l'une avec des sculptures représentant six des douze travaux d'Hercule. Le château comprend aussi une bergerie et un pigeonnier[57].
- Le repaire noble de la Barbinie et son pigeonnier, qui accueillait du XVIIe au XIXe siècle, la famille Prevost, pourvoyeuse de Gendarmes de la Garde et Gardes du corps du Roi.
- La grotte de Villars (ou grotte du Cluzeau), classée au titre des monuments historiques depuis 1958, propriété privée[58]. Ses gravures rupestres datent du Paléolithique supérieur. Jusqu'à présent, les spéléologues ont répertorié environ 13 km de galeries qui ont été creusées par une rivière souterraine (formation karstique), mais 500 m d'entre elles sont visibles au public. Elle présente un double intérêt du fait de ses innombrables concrétions mais également par ses peintures préhistoriques qui remontent à 17 000 ans[59]. On y trouve en particulier des représentations humaines et la « Rotonde des chevaux ». Cette grotte est considérée comme « vivante » : une couche de calcite protège les représentations pariétales. Une dent brûlée venant de la grotte ferait état d'une datation d'environ 18 000 ans.
Le petit château de Villars. Le château de Puyguilhem. Cheminée et haut de lucarne décorés, château de Puyguilhem. Le pigeonnier de Puyguilhem. Le repaire de la Barbinie. Le pigeonnier de la Barbinie. L'ancienne halle devant l'église.
Patrimoine religieux
- Les ruines de l'ancienne abbaye cistercienne de Boschaud[60], du XIIe siècle, classées au titre des monuments historiques depuis 1950[61]. Elles comprennent également les vestiges de l'église et d'une partie du bâtiment du cloître.
- L'église fortifiée Saint-Martial XIIe, XVIe et XIXe siècles, inscrite depuis 1950 au titre des monuments historiques[62].
- La chapelle du cimetière.
Les ruines de l'abbaye de Boschaud. Les vestiges de l'ancienne nef de Boschaud. L'église Saint-Martial. Vitrail représentant saint Martial et sainte Radegonde. La chapelle du cimetière.
Voir aussi
Bibliographie
- A. Sudeix, « Cluseau et grottes de Villars », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1944, tome 71, p. 172-173 (lire en ligne)
- Brigitte et Gilles Delluc, (avec la collaboration de Gérard Delorme, Dominique Genty, Hélène Valladas, Marylène Patou-Mathis et Sophie A. de Beaune), « La grotte de Villars (Dordogne). Révision de la décoration et apports nouveaux », Bulletin Préhistoire du Sud-Ouest, 24/2016-2, p. 97-157.
Articles connexes
Liens externes
- Villars sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Villars sur le site de la communauté de communes Dronne et Belle
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Démissionnaire.
- Décédé en fonctions.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Villars » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- Villars sur le site Dordogne-Périgord, consulté le 30 août 2012.
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Villars » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Villars », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Villars », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Villars », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- Sandre, « le Trincou »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Coquille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Villars et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villars et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 427.
- Le nom occitan des communes du Périgord - Vilars sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 septembre 2021.
- Publication de la Société Archéologique de Bordeaux, 1896, tome 21, p. 34/424.
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 17 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 8.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « La brocante de Villars », Sud Ouest édition Dordogne, 27 avril 2017, p. 20.
- Dossier complet - Commune de Villars (24582) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Villars (24582) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
- Préfecture de la Dordogne, « Arrêté no 2016-0159 du prononçant dénomination commune touristique 6 communes membres CC Dronne Belle », Recueil des actes administratifs de la Dordogne normal no 3, août 2016, p. 272-274.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 15, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
- « Château de Puyguilhem », notice no PA00083065, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 août 2012.
- Château de Puyguilhem sur le site Châteaux de France, consulté le 30 août 2012.
- « Grotte préhistorique du Cluzeau », notice no PA00083067, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 août 2012.
- Le site officiel de la grotte de Villars, consultée le 30 août 2012.
- Claude Andrault-Schmitt L'abbaye de Boschaud, pp. 105-117, dans Congrès archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1999
- « Ruines de l'abbaye cistercienne de Boschaud », notice no PA00083064, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 août 2012.
- « Église », notice no PA00083066, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 août 2012.
- Portail des communes de France
- Portail de la Dordogne