Vouneuil-sous-Biard
Vouneuil-sous-Biard est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans la banlieue ouest de Poitiers, dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Vouneuillois[1].
Pour les articles homonymes, voir Vouneuil.
Vouneuil-sous-Biard | |||||
![]() La Boivre à l'est de Vouneuil-sous-Biard. | |||||
![]() Héraldique |
![]() Logo |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine du Grand Poitiers | ||||
Maire Mandat |
Jean-Charles Auzanneau 2020-2026 |
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Code postal | 86580 | ||||
Code commune | 86297 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vouneuillois | ||||
Population municipale |
6 060 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 233 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 34′ 27″ nord, 0° 16′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 77 m Max. 149 m |
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Superficie | 25,98 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Poitiers (banlieue) |
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Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vouneuil-sous-Biard (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.vouneuil-sous-biard.fr/ | ||||
La commune comprend trois unités distinctes, Pouzioux-la-Jarrie (au nord), le Centre Bourg et Précharaux (au sud).
Géographie
Géologie et relief
La région de Vouneuil-sous-Biard présente un paysage complexe composé de plaines de champs ouverts, de plaines vallonnées plus ou moins boisées, de vallées et de zones urbanisées. Vouneuil-centre et Pouzioux-la-Jarrie appartiennent à deux ''unités paysagères'' différentes et bien distinctes. La première est caractérisée par un paysage de vallée, boisé, la seconde par un paysage de plaines et de champs ouverts.
Le terroir se compose :
- de groies moyennement profondes pour 25 % sur les plaines calcaires situés sur les plateaux du seuil du Poitou. Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines, et donc propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite ;
- d'argile à silex et de bornais pour respectivement 58 % et 9 % situés sur les plateaux du seuil du Poitou. Les bornais sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse ;
- de 8 % de calcaire qui se trouve dans les vallées alluviales[2].
En 2006, 57 % de la superficie de la commune étaient occupés par l'agriculture, 27 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 15 % par des zones construites et aménagées par l'homme (ville, voirie, zones artisanales, entrepôts)[3].
La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.
La forêt privée, en 2007, représente 365 hectares soit 14 % du territoire communal[4].Les espaces boisés contribuent à assurer des fonctions de production (bois d’œuvre mais aussi bois énergie), de protection (espèces, qualité des eaux) et sociales (accueil du public). Les forêts les plus anciennes ou implantées dans des conditions écologiques particulières (pentes, bords de cours d'eau...) abritent en général la biodiversité la plus forte. Mais, au cours de l’histoire, pour répondre aux besoins d'une population rurale importante, la forêt poitevine a été intensément défrichée et surexploitée jusqu’à la révolution industrielle. Environ la moitié des forêts actuelles du Poitou n'existait pas il y a 200 ans[5].
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est traversée par 14 km de cours d'eau, avec comme rivière principale l'Auxance sur une longueur de 1 km et la Boivre sur une longueur de 7 km[3]. La commune se situe en zone de répartition des eaux, où l'on observe une insuffisance chronique des ressources en eau par rapport aux besoins. Par ailleurs, elle est concernée par le classement en zones sensibles, où une élimination plus poussée des paramètres azote et/ou phosphore présents dans les eaux usées est nécessaire pour lutter contre les phénomènes d’eutrophisation[3].
84 mares ont été répertoriées sur l’ensemble du territoire communal. Elles ont été créées par l'homme, notamment pour répondre aux besoins en eau des habitants (mares communautaires), du cheptel ou à la suite d'activités extractives (argile, marne, pierres meulières). Très riches au niveau botanique, elles jouent un rôle majeur pour les batraciens (tritons, grenouilles), les reptiles (couleuvres) et les libellules. Elles sont un élément symbolique du patrimoine rural et du maintien de la biodiversité en zone de plaine et de bocage[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921[13] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[15] à 11,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[17].
Voies de communication et transports

La commune est desservie par les lignes de bus 20, 29 et 31 du réseau de transports en commun Vitalis[18].
Au nord de la commune, les quartiers de Pouzioux-la-Jarrie et d'Actiparc sont desservie par la ligne 20 avec possibilité de correspondance pour rejoindre le centre ville de Poitiers. Au centre la ligne 31 Béruges-Poitiers-centre permet la desserte du quartier de Chanteloup. La ligne 29 quant à elle dessert le centre et le sud de la commune (Vouneuil bourg, Précharaux, la Nougeraie). La ligne 17 a une fréquence plus élevée et a pour terminus l'arrêt Vouneuil-Nougeraie, aux portes de la commune.
La commune est aussi desservie par de nombreux bus scolaires permettant de rejoindre les différents collèges et lycées de la ville de Poitiers.
Cependant la commune demeure peu desservie les week-end et plus du tout pendant l'été (mois de juillet et août).
Urbanisme
Typologie
Vouneuil-sous-Biard est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Poitiers, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[22] et 131 499 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[25],[26].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,2 %), forêts (23,7 %), zones urbanisées (15,7 %), prairies (9,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Urbanisme et habitat
Les deux noyaux de peuplement principaux sont Vouneuil-Bourg et Pouzioux-la-Jarrie.
L'urbanisation, l’extension urbaine n'a cessé de se développer . La commune présente toutes les caractéristiques d'une commune périurbaine.
Histoire
Vouneuil-sous-Biard accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, comme la levée en masse fin 1793, ou la fête célébrant la reprise de Toulon aux Anglais[28].
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2019, la commune comptait 6 060 habitants[Note 7], en augmentation de 11,73 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 138 hab./km2, contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
La commune appartient à la communauté d’agglomération de Poitiers, qui connaît un certain dynamisme démographique puisque sa population s’est accrue de 1,32 % par an en moyenne sur la période 1999-2006 (ce taux est de 0,7 % pour le département). Ceci illustre le constat démographique suivant : des zones rurales qui perdent de plus en plus d’habitants au profit d’une zone périurbaine autour de Poitiers et de Châtellerault. Cette vaste zone concentre 70 % de la population du département (soit environ 300 000 personnes) et 25 % des moins de 20 ans. En outre, en supposant le maintien des tendances démographiques depuis 1990, entre 2006 et 2020, la population de l’aire urbaine de Poitiers devrait s’accroître de + 16,5 % et celle de Châtellerault de + 5,0 %[36]. La population de la commune devrait donc continuer à croître.
Enseignement
La commune dispose de 2 groupes scolaires (maternelle et primaire), l'un situé à Vouneuil bourg (groupe scolaire Camille Desmoulins) et l'autre à Pouzioux-la-Jarrie (groupe scolaire Jacques-Yves Cousteau).
Le collège Joséphine Baker, en construction au nord de la commune, doit ouvrir ses portes en mai 2022. Il sera le 35ème collège de la Vienne[37].
Sport
Depuis 1945 la commune abrite un Centre de ressources, d'expertise et de performance sportives ou CREPS. Le site, fort de ses 51 552 m2 d'installations sportives, est spécialisé dans le tennis, le basket et l'athlétisme. Le tennisman Jo-Wilfried Tsonga à notamment passé 2 ans au pôle espoir du CREPS[38].
En 2018, Grand Poitiers devient la première collectivité à sponsoriser une équipe esport. À la suite de cette décision, un an plus tard le CREPS accueille pour la toute première fois une équipe dans une nouvelle salle dediée à l'esport.
Dans le cadre des Jeux olympiques d'été de 2024 à Paris, le CREPS a mis en œuvre une série de travaux de modernisation[39],[40].
Économie
Agriculture
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[41], il n'y a plus que 14 exploitations agricoles en 2010 contre 18 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté de 7 % et sont passées de 1 054 hectares en 2000 à 1 129 hectares en 2010 dont 185 sont irrigables[41]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[42].
42 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement et orges), 18 % pour les oléagineux (colza et navette), 32 % pour le fourrage et 3 % restent en herbe. En 2000, un hectare (0 en 2010) était consacré à la vigne[41].
Six exploitations en 2010 (contre quatre en 2000) abritent un élevage de bovins (629 têtes en 2010 contre 504 têtes en 2000). Trois exploitations en 2010 (contre cinq en 2000) abritent un élevage d'ovins (554 têtes en 2010 contre 585 têtes têtes en 2000). L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie[41].
Commerce
Un marché a lieu une fois par semaine, le mercredi, depuis la rue de l'église Saint-Joseph jusqu'à Pouzioux-la-Jarrie.
Culture locale et patrimoine
- Église Notre-Dame-des-Sept-Douleurs de Vouneuil-sous-Biard.
Lieux et monuments
La partie classée de la vallée de la Boivre : la partie de la vallée classée comme zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) [43] est située en périphérie ouest de Poitiers. La zone englobe le cours inférieur du cours d'eau la Boivre, un petit affluent de la rive gauche du Clain. Le nom de Boivre vient du vieux français "bièvre" qui signifie "castor". Les castors devaient donc, manifestement, être abondant dans la vallée pour avoir laissé en mémoire leur nom. Dans ce secteur, la Boivre décrit de profonds méandres. Ils sont bordés de versants pentus d'exposition très variable, encadrant un fond de vallée plat et large de 100 à 200 mètres.
Cette zone est couverte de chênes, de charmes, d'érables sur les pentes fortes exposées plutôt vers le nord. En fond de vallée, les espèces d'arbres les plus représentées sont les frênes et les aulnes.
Les sous-bois frais situés sur les pentes exposées au nord abritent des végétaux à la belle floraison au printemps : jacinthes des bois bleues, anémones blanches et lamiers jaunes ainsi que quelques espèces rares comme la Lathrée écailleuse qui est une curieuse plante dépourvue de chlorophylle et qui parasitent les racines de certains arbres, le Corydale à bulbe plein ou l'Isopyre faux-pigamon.
Les versants exposés au sud sont occupés essentiellement par les chênes pubescents et quelques chênes verts qui ont la propriété de ne pas perdent leur feuillage en hiver. À leurs pieds, s'est installée la Tulipe sauvage qui est une plante rare et qui est protégée sur l'ensemble du territoire français.
En fond de vallée, sur les rives, la grande douve qui est le plus grand des "boutons d'or" de la flore française, a trouvé un biotope favorable. La Grande Douve est protégée sur l'ensemble du territoire français tout comme une sorte de tulipe sauvage ne fleurissant que dans les prairies humides. Ces fleurs sont voisines de la fritillaire pintade.
La vallée abrite les oiseaux que l'on rencontre habituellement dans les milieux forestiers du département de la Vienne, à l’exception du Bouvreuil, qui est une espèce peu commune et très dispersée dans le département.
Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[44], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un érable de Montpellier.
Personnalités liées à la commune
- Charles Philippe Durant de La Pastellière, 1760, Château de La Sablonière.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 27/09/2008.
- Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
- Observatoire Régional de l'Environnement de Poitou-Charente
- Centre Régional de la Propriété Forestière de Poitou-Charente
- IFEN-BD CORINE Land Cover® 2006, toutes couches « Forêt », hors espace vert artificialisé non agricole
- Mares répertoriées par maille, d’après cartes IGN, dans l’Inventaire des mares de Poitou-Charentes - Poitou-Charentes Nature 2003
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Poitiers-Biard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Vouneuil-sous-Biard et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « lignes et horaires - Vitalis » (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Poitiers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 208-209.
- Site de la préfecture de la Vienne (consulté le 10 mai 2008)
- « Alain Tanguy conserve la mairie de Vouneuil-sous-Biard », sur 7apoitiers.fr, (consulté le ).
- « Vouneuil-sous-Biard : un nouveau maire lancé à 200% », sur La nouvelle république (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic – novembre 2009
- « Vouneuil-sous-Biard: la première pierre du futur collège a été posée », sur France Bleu, (consulté le ).
- « Le CREPS », sur CREPS de POITIERS (consulté le ).
- « Le CREPS », sur CREPS de POITIERS (consulté le ).
- « https://www.lanouvellerepublique.fr/vienne/commune/vouneuil-sous-biard/le-creps-deja-en-mode-olympique », sur lanouvellerepublique.fr (consulté le ).
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Site agreste.agriculture.gouv.fr.
- Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011
- Poitou-Charentes Nature, 2000
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