Yermenonville

Yermenonville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Cet article possède un paronyme, voir Ermenonville.

Yermenonville

L'église Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Thierry Delarue
2020-2026
Code postal 28130
Code commune 28423
Démographie
Gentilé Yermenonvillais
Population
municipale
598 hab. (2019 )
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 25″ nord, 1° 37′ 15″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 154 m
Superficie 5,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auneau
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Yermenonville
Géolocalisation sur la carte : France
Yermenonville
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Yermenonville
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Yermenonville
Liens
Site web http://yermenonville.fr

    Géographie

    Situation

    Le village est situé entre Maintenon et Gallardon sur la départementale D 18.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Yermenonville
    Houx Gas
    Mévoisins Bailleau-Armenonville
    Saint-Piat

    Lieux-dits et écarts

    Boigneville.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 636 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Houx », sur la commune d'Houx, mise en service en 1951[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 604,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 13 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Yermenonville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72 %), forêts (17,5 %), zones urbanisées (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Yermenonville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Voise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2016[22],[20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Yermenonville.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 64,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 278 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 168 sont en en aléa moyen ou fort, soit 60 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[24].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].

    Toponymie

    Le village d'Yermenonville a vu son nom évoluer au fil des siècles.

    Quand les Francs s’installèrent, la coutume s’installa de désigner les domaines ruraux par le  nom de leur propriétaire . C’est peut-être un Germinius et un Bulinius qui donnèrent leur nom à Yermenonville et Boigneville. Ou encore un Irmino et un Bunino. On ne sait pas trop comment ces noms pouvaient être prononcés, dans le bain linguistique de l'époque mêlant le latin et les idiomes gaulois et germaniques.

    Les textes anciens, souvent rédigés en latin, donnent eux-mêmes des versions différentes de ces dénominations, parfois à quelques lignes d’intervalle…

    Citons par exemple :

    • le polyptyque de Notre-Dame de Chartres où l’on trouve Bonervilla dans un contrat du VIIIe siècle[26] ;
    • le cartulaire  de l'abbaye de Bonneval où l'on trouve Bunena Villa en 1094[27] ;
    • un pouillé  de 1250 où Lucien Merlet a trouvé  Germinionis Villa ;
    • le cartulaire de Notre-Dame de Chartres (1300) où l’on trouve Bulglainvilla et Hermenonvilla, suivis peu après de Ermenonvilla prope Hussum (Yermenonville à côté de Houx, ce qui élimine l’hypothèse qu’il s’agisse de l’actuelle Ermenonville-la-Grande)[26],
    • un acte d’échange de terres citant Boigneville  en 1230[28]. Plus tardivement, on trouve Iermenonville[29], Hiermenonville, Germenonville, Boingneville,  Baigneville et enfin Bonneville (très en usage aux XVIIe et XVIIIe siècles).

    Toujours est-il que cette désignation des deux domaines, formée à partir d’un nom germanique suivi du suffixe « ville » typique de l’époque mérovingienne, est très fréquente dans la région. André Chédeville, grand spécialiste de la région de Chartres, considère que sur 365 noms de lieux se terminant en « ville », seuls 30 ne sont pas construits sur ce modèle[30]. Plus tard, à l’époque carolingienne, c’est le suffixe « villiers » qui sera utilisé.

    Histoire

    Desserte ferroviaire

    De 1892 à 1938, cette commune bénéficiait d'une halte garde-barrière permettant aux voyageurs d'emprunter la ligne d'Auneau-Ville à Dreux via Maintenon.

    Politique et administration

    Avant la révolution

    En application de l'édit royal de 1787, l'assemblée de ceux qui payent au moins dix livres d'impôt élit, parmi ceux qui en payent au moins trente, un corps municipal de 6 membres et un syndic. Le curé et le seigneur sont membres de droit. Louis Jacques Launay est élu syndic. C'est lui qui sera élu maire lors des premières élections de la Révolution, en 1790[31].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1792 Louis Jacques Launay   élu au suffrage censitaire
    1792 1795 Jean Pierre Gabriel   élu au suffrage universel masculin
    1796 1797 Louis Jacques Launay   élu au suffrage censitaire
    1797 1800 Jean Pierre Gabriel    
    1800 1826 Louis Jacques Launay   nommé par le préfet
    1826 1860 Jacques Michard   Tantôt élu au suffrage censitaire, tantôt nommé par le préfet
    1860 1870 Simon Zacharie Georgeon   nommé par le préfet
    1870 1871 Henri Ferdinand Michard   nommé par le préfet sur proposition du conseil municipal
    1871 1875 Henri Cléophas Zacharie Georgeon   élu, puis nommé par le préfet
    1875 1876 Henri Ferdinand Michard    
    1876 1881 Jules Victor Godard    
    1881 1884 Jean Louis David    
    1884 1888 Henri Ferdinand Michard    
    1888 1892 Alphonse Coudray    
    1892 1896 Pierre Alphonse Désiré Blin    
    1896 1904 Albert Grege    
    1904 1912 Marcel Rabourdin    
    1912 1912 Hippolyte Bouquet    
    1912 1923 Marcel Rabourdin    
    1923 1932 Oscar Fourmilleau    
    1932 1944 Celestin Legrand    
    1944 1945 Paul Rabourdin    
    1945 1953 Charles Buisson    
    1953 1957 Pierre Buisson    
    1957 1977 Bernard Cailleaux    
    1977 1980 Georges Rouschemeyer    
    1980 1995 Gérard Perrin    
    1995 2001 Jean Bouvet    
    2001 2010 Michel Chantepie    
    Juin 2010 Mai 2020 Bernard Martin    
    Mai 2020 En cours Thierry Delarue    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2019, la commune comptait 598 habitants[Note 8], en augmentation de 5,1 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    377422385358378355359363347
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    355336306348312298319307331
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    301287278281264252266277264
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    230240262401492511577588571
    2015 2019 - - - - - - -
    590598-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Sépulture d'Hélène Boucher, cimetière d'Yermenonville.
    Espace muséal Hélène Boucher.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin restaurée ;
    • Le manoir des seigneurs d'Yermenonville, situé sur l'emplacement de l'ancienne villa gallo-romaine ; on y trouve les ruines du four banal de l'ancien régime ;
    • Le dolmen de la Pierre Fritte (néolithique) a fait l'objet de campagnes de fouilles entre 2001 et 2007 ;
    • Le manoir des seigneurs de Boigneville[37].
    • Espace muséal Hélène Boucher

    Personnalités liées à la commune

    • Hélène Boucher (1908-1934), célèbre aviatrice du début du XXe siècle, y est enterrée.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Un site Internet relate l'histoire d'Yermenonville et de son hameau Boigneville : Histoire d'Yermenonville, village sans histoire[31].

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Houx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Yermenonville et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Houx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Yermenonville et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune d'Yermenonville », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    26. E. de Lépinois et Lucien Merlet, Polyptyque de Notre-Dame de Chartres (lire en ligne).
    27. Thiroux et Lambert, continuée par Beaupère et  Lambert, L'histoire abrégée de l'abbaye de Saint Florentin de Bonneval, Société Dunoise (lire en ligne).
    28. Un parchemin conservé aux Archives départementales d'Eure-et-Loir relate un achat de terre à « Boigneville » en 1230 par Joscelin d'Ecrosnes. Cote : 60 J NC 457
    29. « Carte détaillée d'Yermenonville au XVIIe siècle », sur Archives départementales des Yvelines..
    30. André Chédeville, Chartres et ses campagnes, GARNIER, .
    31. « Histoire d'Yermenonville, village sans histoire » (consulté le ).
    32. Sources : archives communales d'Yermenonville et archives départementales d'Eure-et-Loir.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. « Une randonnée pédestre autour de Houx, dimanche, ça vous tente ? », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
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