Saint-Piat
Saint-Piat est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Pour les articles homonymes, voir Piat (homonymie).
Saint-Piat | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France | ||||
Maire Mandat |
Michael Blanchet 2020-2026 |
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Code postal | 28130 | ||||
Code commune | 28357 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Piatais | ||||
Population municipale |
1 059 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 94 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 32′ 55″ nord, 1° 35′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 101 m Max. 162 m |
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Superficie | 11,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Épernon | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.saint-piat.fr | ||||
Géographie
Situation
Saint-Piat est situé en vallée de l'Eure entre Maintenon (5,5 km) et Chartres (16 km).
- Saint-Piat dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Saint-Piat.
Communes limitrophes
Lieux-dits et écarts
Changé, Grogneul, Dionval.
Desserte ferroviaire
La gare SNCF de Saint-Piat se situe sur la ligne de Paris-Montparnasse à Brest, entre la gare de Maintenon et celle de Jouy.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Houx », sur la commune d'Houx, mise en service en 1951[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 604,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 11 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Piat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,6 %), forêts (27,1 %), prairies (8,1 %), zones urbanisées (5,2 %), eaux continentales[Note 8] (3,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Piat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment l'Eure et la Vallée aux Loups. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1999 et 2016[22],[20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 590 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 589 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Piatus en 1087[25] (martyr local)[26], Sanctus Piatus super Auduram vers 1130 (cart. de Josaphat, p. 49)[27].
Saint-Piat est un hagiotoponyme. Selon la légende, saint Piat, né au IIIe siècle à Bénévent en Italie, tente d'évangéliser en pays chartrain mais ne rencontre que des « cœurs endurcis ». Ses reliques seront cependant recueillies, peut-être à l'abbaye de Coulombs, lors des invasions normandes[28],[29].
Pendant la Révolution française le village, débaptisé, s'appela Martel-les-Vaux[30].
Le hameau de Grogneul, ancien village, attesté sous les formes Groynellum en 1300 (polypt. de Chartres), Grongneul en 1334 (ch. du pr. d’Épernon), Groigneul en 1480 (navig. de l’Eure)[31], doit probablement son nom au gaulois grunna, d'où l'ancien français gronne désignant une dépression herbeuse et humide, voire marécageuse.
Histoire
Ancien Régime
Le , en sonnant les vêpres, le battant de la grosse cloche s'est détaché, tuant Marie Anne Girard âgée de 50 ans, femme d'Emmanuel Mouton, vigneron à Grogneul[32].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2019, la commune comptait 1 059 habitants[Note 9], en diminution de 2,67 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Équipements publics
- Un bureau de Poste
- Une école maternelle (avec cantine)
- Une école primaire (avec cantine)
- Un centre aéré indépendant des écoles, géré par la communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France.
Économie
On trouve à Saint-Piat les commerces suivants :
- Pharmacie
- Boulangerie pâtisserie
- Coiffeur
- Épicerie générale
- Boucherie
- Restaurant proposant une cuisine française
- Bar-tabac
Culture locale et patrimoine
Le site mégalithique de Changé
Ce site du Néolithique s'étend à la fois sur les communes de Saint-Piat et Maintenon, réunit trois dolmens et un menhir. Il a été notamment fouillé de 1983 à 2000 par Dominique Jagu[37] et son équipe.
Le camp de César
Sur le plateau dominant le site archéologique de Changé, le site dit du Camp de César, qui n'est probablement pas un camp romain, est un éperon naturel du type éperon barré qui a été fortifié par le creusement d'un fossé long de 250 m sur 6 m de profondeur renforcé d'un rempart de plus de 7 m de hauteur[38]. L'ensemble couvre une superficie de 5,5 ha[38]. Le site n'a pas été fouillé mais il date probablement du début de l'époque gallo-romaine[39].
L'église Saint-Piat et le monument aux morts
Cette église du XVIe siècle abrite plusieurs objets classés au titre de monuments historiques, dont un sarcophage du IVe siècle ou Ve siècle, peut-être d'origine provençale, dans lequel auraient été déposés les restes de saint Piat avant d'être transférés à la cathédrale de Chartres dans la chapelle du même nom. D'autres œuvres classées sont cependant portées disparues, détruites ou non localisées[40].
À droite du monument aux morts surmonté du coq français, une stèle rend hommage « A la mémoire des 21 soldats du 26e régiment de tirailleurs sénégalais tombés pour la défense de notre sol en ».
La maison du XVIe siècle
Cette maison est située 11 rue de la République, anciennement rue Bourgeois. Sa particularité est de présenter, au premier étage, deux fenêtres du XVIe siècle.
La briqueterie Lambert
Ce patrimoine industriel figure parmi les quatre sites retenus en Eure-et-Loir dans le plan de sauvegarde du patrimoine par la mission Bern[43].
Le moulin
Personnalités liées à la commune
- Esprit-Aimé Libour (1784-1846), peintre et portraitiste. Ses parents, tous deux originaires de Chartres, se sont mariés à Saint-Piat le .
- Constant Duval (1877-1956), artiste peintre, dessinateur et affichiste, y a vécu et y est décédé ;
- Bernard Friot, auteur pour la jeunesse, y est né en 1951.
Blasonnement
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Les armoiries de Saint-Piat se blasonnent ainsi :
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Patrimoine et histoire de Saint-Piat
- Saint-Piat sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Houx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Piat et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Houx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Piat et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Piat », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- ch. du pr. de Nottonville
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Droz, , p. 1570.
- Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- « Saint Piat ou Piaton, prêtre, évangélisateur », sur https://nominis.cef.fr (consulté le ).
- « Sarcophage, fonts baptismaux : les apôtres », notice no PM28000543, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Archives départementales d'Eure-et-Loir, registre des Baptêmes Mariages Sépultures, année 1783, vue 69
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Menhir dit Le But de Gargantua et dolmen dit Le Berceau », notice no PA00097147, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Dominique Jagu Archéo
- Fatima De Castro et Dominique Jagu, « Le Camp de César de Changé, commune de Saint-Piat », dans 1989-2014 : 25 ans d'activités, Comité archéologique d'Eure-et-Loir, (lire en ligne [PDF]).
- Dominique Jagu, Bernard Blum et Jean-Marc Mourain, Dolmens et menhirs de Changé à Saint-Piat (Eure-et-Loir), Lèves, ARCHÉA, , 24 p. (ISBN 2-912610-00-1), p. 17.
- Les objets classés de l'église.
- « Maison 11 rue de la République », notice no PA00097204, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Briqueterie Lambert », notice no PA28000005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Patrimoine : quatre sites d'Eure-et-Loir parmi les 250 monuments qui vont bénéficier du loto du patrimoine de Stéphane Bern », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
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