emm
: Emm
Français
Forme de verbe
emm orthographe invariable
- Abréviation polie pour dire « emmerder », ou une de ses formes conjuguées.
- Elle dit encore, tout en vrac, que la vie est courte, qu’on n’est pas sur la terre pour s’emm…, que la mort, elle s’en fout… — (Le Nouvel Adam, 1967)
- Elle dit encore, tout en vrac, que la vie est courte, qu’on n’est pas sur la terre pour s’emmerder, que la mort, elle s’en fout…
- Et moi je t’emm…, t’as compris ? Ordure ! Salopard, va ! — (Daniel Biyaoula, Agonies, 1998)
- Et moi je t’emmerde, t’as compris ? Ordure ! Salopard, va !
- Je suis peut-être un amour, mais Kimberley tu m’emm. — (Jocelyne Guillon, Le Yankee en bois de Séquoia, 2008)
- Je suis peut-être un amour, mais Kimberley tu m’emmerdes.
- Elle dit encore, tout en vrac, que la vie est courte, qu’on n’est pas sur la terre pour s’emm…, que la mort, elle s’en fout… — (Le Nouvel Adam, 1967)
Forme de nom commun
emm orthographe invariable
- Abréviation polie pour dire « emmerdeur, emmerdeurs, emmerdeuse » ou « emmerdeuses ».
- De Monzie rétorqua : « Ici, à l’Éducation nationale, les enseignants sont l’élite des emm… ! » — (Centre d’études culturelles, économiques et sociales, Bureau international de liaison et de documentation, 1973)
- De Monzie rétorqua : « Ici, à l’Éducation nationale, les enseignants sont l’élite des emmerdeurs ! »
- De Monzie rétorqua : « Ici, à l’Éducation nationale, les enseignants sont l’élite des emm… ! » — (Centre d’études culturelles, économiques et sociales, Bureau international de liaison et de documentation, 1973)
- Abréviation polie pour dire « emmerdement, emmerdements, emmerde » ou « emmerdes ».
- Dis donc, Guy ! Vous voulez avoir des emm… ou quoi ? — (Daniel Biyaoula, Agonies, 1998)
- Dis donc, Guy ! Vous voulez avoir des emmerdements ou quoi ?
- Dis donc, Guy ! Vous voulez avoir des emmerdes ou quoi ?
- Dis donc, Guy ! Vous voulez avoir des emm… ou quoi ? — (Daniel Biyaoula, Agonies, 1998)
Forme d’adjectif
emm orthographe invariable
- Abréviation polie pour dire « emmerdant, emmerdants, emmerdante » ou « emmerdantes ».
- Ça, mon vieux, déclare sentencieusement Pierrot, c’est emm… ! — (Rémy, Mémoires d’un agent secret de la France Libre, 1998)
- Ça, mon vieux, déclare sentencieusement Pierrot, c’est emmerdant !
- Ça, mon vieux, déclare sentencieusement Pierrot, c’est emm… ! — (Rémy, Mémoires d’un agent secret de la France Libre, 1998)
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