Cet article a été coécrit par Melessa Sargent. Melissa Sargent est présidente de Scriptwriters Network, un organisme sans but lucratif qui fait appel aux professionnels du spectacle afin d’enseigner l'art et l'écriture de scénarios pour la télévision, les longs métrages et les nouveaux médias. Scriptwriters Network s’efforce de promouvoir la production de scénarios de qualité, et propose à ses membres un programme éducatif, ainsi que de nombreux contacts et possibilités grâce à ses partenariats avec les professionnels exerçant cette activité.
Il y a 15 références citées dans cet article, elles se trouvent au bas de la page.
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Vous avez une idée pour une pièce, peut-être une superbe idée. Vous voudriez l’élargir pour en faire une comédie ou une histoire dramatique, mais de quelle façon procéder ? Bien que vous puissiez être tenté de commencer automatiquement à rédiger, votre scénario sera plus réussi si vous prenez le temps nécessaire pour planifier toute l’histoire avant de commencer à rédiger votre premier brouillon. Une fois que vous avez fait un brainstorming (une réflexion poussée) sur votre récit et élaboré son plan, la rédaction de votre scénario ne sera plus qu’un jeu d’enfant.
Étapes
Partie 1
Partie 1 sur 3:Faire le brainstorming sur l’histoire
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1Choisissez le genre d’histoire que vous voulez raconter. Bien que chaque histoire soit différente, la plupart des pièces appartiennent à une catégorie donnée, ce qui permet à l’audience de comprendre comment interpréter les évènements et les relations qu’elle voit. Pensez aux personnages que vous voulez créer puis imaginez la manière dont vous voudriez que leurs histoires se développent. Posez-vous certaines questions .
- Est-ce qu’elles doivent résoudre un mystère ?
- Vont-elles traverser une série de situations difficiles afin d’atteindre un épanouissement personnel ?
- Vont-elles passer à l’âge adulte par une transition de l’innocence enfantine aux expériences du monde ?
- Est-ce qu’elles projettent d’effectuer un voyage, comme le périple d’Ulysse dans l’Odyssée d’Homère [1] ?
- Vont-elles amener de l’ordre là où il n’y avait que le chaos ?
- Vont-elles surmonter une série d’obstacles pour atteindre un but ?
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2Faites un brainstorming sur les différentes parties de l’arc narratif. L’arc narratif est la progression du début, du milieu et de la fin d’une pièce. Les termes techniques qui désignent ces parties sont : la mise en œuvre, la succession et la résolution. Ils viennent toujours dans cet ordre. Peu importe la longueur de votre pièce ou du nombre d’actes dont elle est composée, une bonne pièce doit développer ces trois pièces du puzzle. Prenez note de la direction que vous comptez donner à chaque partie avant de vous mettre à écrire votre pièce.
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3Décidez de ce que vous devez mettre dans la mise en œuvre. Cette dernière ouvre la pièce en fournissant les informations de base nécessaires pour suivre le déroulement de l’histoire : où et quand l’histoire se déroule-t-elle ? Qui est l’acteur principal ? Si vous en avez, qui sont les acteurs secondaires, ainsi que l’antagoniste (personne qui présente le personnage principal avec son propre conflit central) ? Quel est le conflit central auquel ces personnages devront faire face ? Quelle est l’atmosphère de cette pièce (comédie, théâtre romantique, tragédie) ?
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4Faites une transition entre la mise en scène et la succession. À cours de cette dernière, les évènements se déroulent d’une manière qui rend les circonstances difficiles pour les personnages. Le conflit central vient en question alors que l’on note une poussée d’adrénaline au niveau de l’audience. Ce conflit peut surgir avec un autre personnage (antagoniste), une situation extérieure (guerre, pauvreté, rupture amoureuse) ou un conflit avec soi-même (devoir surmonter ses propres insécurités). La succession se termine par le paroxysme : moment où la tension a atteint son apogée, lorsque le conflit prend le dessus [2] .
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5Décidez de la résolution du conflit. La résolution relâche la tension du paroxysme du conflit pour mettre fin à l’arc narratif. Vous pourriez avoir une fin heureuse dans laquelle le personnage principal obtient ce qu’il ou elle cherchait ou une fin tragique où l’audience tire une leçon de l’échec du personnage principal ou un dénouement dans lequel toutes les questions trouvent des réponses.
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6Comprenez la différence entre intrigue et histoire. Le récit de votre pièce est composé de l’intrigue et de l’histoire. Il s’agit de deux éléments distincts qui doivent être développés ensemble pour créer une pièce qui attire l’attention de l’audience. E.M. Forster définit l’histoire comme ce qui se passe dans la pièce, c’est-à-dire le déroulement chronologique des évènements. Quant à l’intrigue, elle peut être définie comme la logique qui lie les évènements qui se déroulent à travers l’intrigue et qui leur donnent une force émotionnelle [3] . Voici un exemple de cette différence.
- L’histoire : la petite amie du protagoniste a rompu avec lui. Ensuite ce dernier perd son travail.
- L’intrigue : la petite amie du protagoniste a rompu avec lui. Chagriné, il fait une dépression émotionnelle au travail, ce qui a conduit à son licenciement.
- Vous devez développer une histoire fascinante qui bouge l’action de votre pièce assez rapidement pour retenir l’attention de l’audience. Dans le même temps, vous devez montrer le lien superficiel des actions à travers le développement de votre pièce. C’est ainsi qu’on suscite l’intérêt chez l’audience sur les évènements qui ont lieu sur scène.
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7Développez votre histoire. Vous ne pourrez pas approfondir la résonance émotionnelle d’une pièce si vous ne mettez pas en place une bonne histoire. Faites un brainstorming sur les éléments de base de l’histoire avant de les étoffer avec votre écrit tout en répondant aux questions suivantes [4] .
- Où se déroule votre histoire ?
- Qui est votre protagoniste (personnage principal) et qui sont les personnages secondaires importants ?
- Quel est le conflit central que devront affronter ces personnages ?
- Quel est l’élément déclencheur qui a commencé l’action principale de la pièce et conduit à ce conflit central [5] ?
- Qu’est-ce qui se passe avec vos personnages au moment où ils font face au conflit ?
- Comment le conflit est-il résolu à la fin de l’histoire ? À quel point cela impacte-t-il les personnages ?
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8Approfondissez l’histoire avec le développement de l’intrigue. Souvenez-vous que l’intrigue est le développement de la relation entre les éléments de l’histoire qui étaient énumérés dans l’étape précédente. En pensant à l’intrigue, vous devez essayer de trouver des réponses aux questions suivantes [6] .
- Quelles relations entretiennent les personnages entre eux ?
- Comment les personnages interagissent-ils avec le conflit central ? Qui sont les plus affectés et à quel point le sont-ils ?
- Comment pouvez-vous façonner l’histoire (les évènements) afin de mettre les personnages qu’il faut en contact avec le conflit central ?
- Quelle est la succession logique et désinvolte qui conduit chaque évènement au suivant, en construisant un flux continuel vers le paroxysme et la résolution de l’histoire ?
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Partie 2
Partie 2 sur 3:Décider de la structure de sa pièce
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1Commencez avec une pièce en un acte si vous êtes un débutant. Avant de rédiger la pièce, vous devriez avoir une idée de la façon dont vous désirez la structurer. La pièce en un acte se déroule sans interruption et représente un bon point de départ pour les débutants en dramaturgie. Comme exemple de pièce en un acte, nous avons The Bond de Robert Frost et Amy Lowell et Gettysburg de Percy Mackaye [7] [8] ou « La Chance du mari [9] », G. A. de Caillavet et Robert de Flers (1906). Même si la pièce en un acte a la structure la plus simple, souvenez-vous que toute histoire a besoin d’un arc narratif avec une mise en scène, une succession et une résolution.
- Étant donné que les pièces en un acte ne subissent aucune interruption, elles requièrent moins de décor et de changements de costume. Rendez vos besoins techniques plutôt simples.
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2Ne limitez pas la durée de votre pièce en un acte. Sa structure n’a rien à avoir avec la durée du spectacle. Ces pièces peuvent varier grandement en durée, avec des productions aussi courtes que dix minutes et d’autres qui vont jusqu’à une heure.
- Les drames flash sont des pièces en un acte qui peuvent aller de quelques secondes à dix minutes. Elles sont géniales pour les spectacles de théâtre à l’école ou dans la communauté, ainsi que pour des compétitions spéciales de théâtre flash. Pour un exemple de drame flash, allez voir A time of Green d’Anna Stillaman.
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3Laissez la place pour des décors plus complexes avec une pièce en deux actes. La pièce en deux actes est la plus fréquente dans le théâtre contemporain. Bien qu’il n’existe pas de règle établie quant à la durée, en général, les actes durent à peu près une demi-heure, donnant à l’audience une pause entre eux. La pause donne à l’audience le temps d’aller aux toilettes, de se détendre, de penser à ce qui s’est passé et de discuter du conflit présenté dans le premier acte. Cependant, elle donne aussi le temps à l’équipe d’apporter de grosses modifications au décor, aux costumes et au maquillage. Généralement, les pauses durent environ 15 minutes et pendant ce temps planifiez donc les rôles de votre équipe compte tenu de ce temps [10] .
- Pour des exemples de pièces en deux actes, consultez Hölderlin de Peter Weiss ou Le Retour de Harold Pinter.
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4Ajustez l’intrigue pour avoir la structure d’une pièce en deux actes. La structure de la pièce en deux actes change plus que le nombre de fois que votre équipe doit faire des ajustements techniques. Étant donné que l’audience a pris une pause au milieu de la pièce, vous ne pouvez plus traiter l’histoire comme si elle se déroulait sous la forme d’un récit. Vous devez structurer votre histoire autour de la pause afin de laisser l’audience se détendre et de songer à la fin du premier acte. Du retour de la pause, elle doit être ramenée immédiatement à la succession de l’histoire.
- L’élément déclencheur devrait se produire environ à mi-chemin du premier acte, après la mise en scène de départ.
- Accompagnez l’élément déclencheur de plusieurs scènes pour attirer l’attention de l’audience. Elles peuvent être dramatiques, tragiques ou de la comédie. Ces scènes doivent être construites dans le sens d’un point de conflit qui achèvera l’acte premier.
- Mettez fin au premier acte juste après le point culminant de la tension dans l’histoire à ce point. L’audience restera sur sa faim à la pause et reviendra impatiente de suivre le second acte.
- Commencez le second acte avec un niveau de tension plus bas que la fin du premier acte. Vous devrez ramener l’audience en douceur dans l’histoire et dans son conflit.
- Présentez plusieurs scènes du second acte qui élèveront l’enjeu dans le conflit vers le paroxysme de l’histoire ou le point de tension et de conflit le plus élevé, juste avant la fin de la pièce.
- Détendez le public vers la fin avec le dénouement et la résolution. Bien que toutes les pièces ne connaissent pas une fin heureuse, l’audience doit avoir l’impression que toute la tension que vous avez accumulée au cours de la pièce a été libérée.
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5Essayez une structure de trois actes. Pour cela, optez pour une intrigue plus longue et plus complexe. Si vous êtes nouveau dans la dramaturgie, vous pouvez commencer avec une pièce d’un ou de deux actes, car une longue pièce de trois actes pourrait maintenir l’engouement de l’audience pendant deux heures [11] ! Il faut beaucoup d’expérience et de savoir-faire pour composer une production qui puisse attirer l’audience pendant toute cette durée. Vous devriez donc au départ revoir vos ambitions à la baisse. Cependant, si l’histoire que vous comptez raconter est assez complexe, une pièce en trois actes pourrait être votre meilleure option. Tout comme la pièce en deux actes, elle permet des changements importants au niveau du décor, des costumes, etc. au cours des pauses entre les actes. Chaque acte de la pièce théâtrale doit atteindre son propre objectif de narration [12] .
- Le premier acte est la mise en scène : prenez le temps de présenter les personnages ainsi que des informations générales. Amenez l’audience à se préoccuper du personnage principal (protagoniste) et de sa situation pour assurer une forte réaction émotionnelle lorsque la situation commencera à mal tourner. Le premier acte devrait aussi annoncer le problème qui sera développé tout au long de la pièce.
- Le 2e est la complication : les enjeux deviennent plus élevés pour le protagoniste étant donné que le problème devient plus difficile à gérer. Une bonne manière d’élever les enjeux dans le second acte, c’est de révéler une information importante non loin du paroxysme de l’histoire [14] . Cette révélation devrait semer le doute dans l’esprit du protagoniste avant qu’il ou elle ne trouve la force de résister à travers le conflit pour en arriver à la résolution. L’acte 2 devrait prendre fin d’un air abattu, où les plans du protagoniste se présentent comme un désastre.
- Le 3e acte est la résolution : le protagoniste surmonte les obstacles du second acte et trouve un moyen d’atteindre la conclusion de la pièce. Notez que toutes les pièces ne connaissent pas une fin heureuse. Il se peut que le héros meure dans la résolution, mais l’audience devra en tirer une leçon [14] .
- Voici des exemples de pièces en trois actes : Mercadet le faiseur de Honoré de Balzac et Pigeon : A Fantasy in Three Acts, de John Galsworthy.
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Partie 3
Partie 3 sur 3:Écrire sa pièce théâtrale
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1Passez en revue les actes et les scènes. Dans les deux premières sections de cet article, vous avez fait un brainstorming sur les idées de base concernant l’arc narratif, l’élaboration de l’histoire et de l’intrigue et la structure de la pièce. À présent, avant de vous assoir et écrire la pièce, vous devriez ordonner toutes ces idées en de grandes lignes. Pour chaque acte, exposez ce qui se passe dans chaque scène.
- À quel moment les personnages principaux sont-ils présentés ?
- Combien de différentes scènes avez-vous et quel évènement spécifique a lieu dans chaque scène ?
- Veillez à ce que les évènements de chaque scène se construisent en direction de la prochaine scène pour assurer le développement de l’intrigue.
- À quel moment aurez-vous besoin de faire des changements de décor ou de costume ? Prenez en considération ces genres de détails techniques pour développer les grandes lignes de la mise au point de votre histoire.
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2Développez vos grandes lignes en écrivant votre pièce. Quand vous aurez défini vos grandes lignes, vous pouvez à présent rédiger la pièce théâtrale. Vous n’avez qu’à commencer par mettre votre dialogue de base, sans vous soucier du fait que le dialogue soit naturel ou pas ou de la façon dont les acteurs se débrouilleront une fois sur scène. Sur le premier brouillon, vous devrez juste mettre noir sur blanc comme le disait Guy de Maupassant.
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3Travaillez à créer des dialogues naturels. Vous devez donner à vos acteurs un scénario assez solide, pour qu’ils puissent passer les répliques de façon humaine, réelle et émotionnellement puissante. Lisez à haute voix et enregistrez votre premier brouillon puis écoutez-le. Prenez note des points qui semblent être robotiques ou trop grand. Souvenez-vous que même dans les pièces littéraires, vos acteurs doivent avoir le ton des gens normaux et non le ton de ceux qui donnent un bon discours, en se plaignant de leur boulot au diner autour d’une table.
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4Laissez les conversations prendre des tangentes. Lorsque vous discutez avec vos amis, il est rare que vous vous en teniez à un seul sujet avec une attention particulière. Dans une pièce, la conversation doit guider les personnages vers le prochain conflit. Vous devez permettre de petites diversions pour la rendre plus réaliste. Par exemple, au cours d’une discussion sur la raison pour laquelle la petite amie du protagoniste a rompu avec lui, il doit y avoir au préalable une séquence de deux ou trois répliques qui mentionne depuis quand ils sont ensemble.
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5Insérez des pauses dans le dialogue. Même si ce n’est pas méchant, les gens s’interrompent dans les conversations tout le temps, même si c’est pour dire leur approbation avec un C’est bon, j’ai compris ! ou un Non, tu as carrément raison ! Les gens s’interrompent aussi souvent en changeant de sujet dans leurs phrases : Je veux juste… Tu sais, ça ne me gêne pas de t’emmener là-bas le samedi, le truc c’est que, écoute, j’ai bossé pas mal dernièrement.
- N’ayez pas peur d’utiliser des fragments de phrases. Bien qu’on ait été formé à ne jamais utiliser des fragments à l’écrit, on les utilise tout le temps lorsqu’on parle : J’ai horreur des chiens, eux tous.
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6Ajoutez des indications scéniques [15] . Les mises en scène permettent aux acteurs de comprendre votre vision de ce qui se passe sur scène. Utilisez l’écriture en italique ou les parenthèses pour faire la différence entre votre mise en scène et les paroles dites. Même si les acteurs doivent faire preuve de leur propre créativité pour donner vie à vos mots, vous pouvez donner quelques directions spécifiques comme :
- répliques : [silence long et gênant] ;
- actions physiques : [Silas se lève et marche avec nervosité]. [Marguerite ronge ses ongles] ;
- états émotionnels : [anxieuse], [enthousiaste], [prend la jupe sale comme si elle la dégoutait].
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7Récrivez votre brouillon autant de fois que possible. Vous n’allez pas achever votre pièce au premier brouillon. Même les écrivains expérimentés ont besoin de faire plusieurs brouillons pour une pièce avant d’être satisfaits du produit fini. Ne vous mettez pas la pression ! À chaque passe, ajoutez plus de détails qui donneront vie à votre production.
- Même en ajoutant des détails, souvenez-vous que la touche d’effacement peut être votre meilleur ami. Comme le dit Donald Murray, vous devez enlever le mauvais, pour que le bon se révèle. Supprimez tous les dialogues et évènements qui n’apportent rien à la résonnance émotionnelle de la pièce.
- Les conseils du romancier Leonard Elmore s’appliquent aussi aux pièces de théâtre : essayez de laisser les parties que les lecteurs ont tendance à éviter [16] .
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Conseils
- La plupart des pièces ont lieu à des endroits et des lieux spécifiques, soyez donc cohérent. Un personnage des années 30 pourrait passer un appel ou envoyer un télégraphe, mais il ne regarderait pas la télévision.
- À la fin de cet article, vérifiez les sources des vrais formats de pièce et suivez les règles établies.
- Persévérez toujours et improvisez si vous oubliez une réplique pendant le spectacle. Parfois, vous trouverez une meilleure réplique !
- Lisez le scénario à haute voix pour une petite audience. Les pièces sont basées sur des mots, et ce pouvoir ou son absence se remarque très vite à l’oral.
- Ne laissez pas votre pièce dans un lieu secret, faites plutôt savoir que vous êtes un écrivain !
- Écrivez de nombreuses versions de votre pièce, même si la première vous a donné entière satisfaction.
Avertissements
- L’univers du théâtre est plein d’idées, mais le traitement qu’on donne à chaque histoire doit relever de l’originalité. Le fait de voler l’histoire d’autrui ne constitue pas seulement une indifférence cruelle à la morale, c’est aussi un acte répressif passible de sanction juridique.
- Le rejet surpasse grandement l’acceptation, mais ne vous découragez pas. Si vous êtes ratatiné par l’indifférence d’une pièce, écrivez-en une autre.
- Protégez votre œuvre. Veillez à ce que la page de garde de votre pièce théâtrale contienne votre nom et l’année de parution de l’œuvre, précédés du symbole de droit d’auteur : ©.
Références
- ↑ http://classics.mit.edu/Homer/odyssey.html
- ↑ http://literarydevices.net/climax/
- ↑ http://www2.anglistik.uni-freiburg.de/intranet/englishbasics/Plot01.htm
- ↑ http://thecinematheque.ca/education/wp-content/uploads/2012/02/LanguageofFilm01.pdf
- ↑ http://narrativefirst.com/articles/plot-points-and-the-inciting-incident
- ↑ http://thecinematheque.ca/education/wp-content/uploads/2012/02/LanguageofFilm01.pdf
- ↑ http://www.theatrehistory.com/plays/bond.html
- ↑ http://www.one-act-plays.com/dramas/gettysburg.html
- ↑ https://books.openedition.org/editionscnrs/9284?lang=fr
- ↑ http://www.nytix.com/Links/Broadway/Articles/intermission.html
- ↑ http://www.playwriting101.com/chapter01
- ↑ http://www.writerswrite.com/screenwriting/lecture4.htm
- ↑ Cowgill, Linda J. Writing Short Films: Structure and Content for Screenwriters. New York: Watson-Guptil Publications, 2005.
- ↑ http://www.writerswrite.com/screenwriting/lecture4.htm
- ↑ http://www.lazybeescripts.co.uk/Publishing/StagePub/PlayDirections.aspx
- ↑ http://www.theguardian.com/books/2010/feb/24/elmore-leonard-rules-for-writers