Albefeuille-Lagarde

Albefeuille-Lagarde est une commune française située dans le centre du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.

Albefeuille-Lagarde

Mairie d'Albefeuille-Lagarde.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Grand Montauban
Maire
Mandat
Francis Massimino
2020-2026
Code postal 82290
Code commune 82001
Démographie
Population
municipale
627 hab. (2019 )
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 04′ 02″ nord, 1° 16′ 42″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 102 m
Superficie 8,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montauban
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montech
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Albefeuille-Lagarde
Géolocalisation sur la carte : France
Albefeuille-Lagarde
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Albefeuille-Lagarde
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Albefeuille-Lagarde

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tarn, le ruisseau de Payrol, le ruisseau de Gaillardie, le ruisseau de Laffitte et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »), un espace protégé (le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Albefeuille-Lagarde est une commune rurale qui compte 627 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Algardois ou Algardoises.

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans l'aire d'attraction de Montauban.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Albefeuille-Lagarde[1]
    Barry-d'Islemade Villemade
    La Ville-Dieu-du-Temple Montauban
    Montbeton

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la ligne 25 du réseau TM Transports Montalbanais.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Tarn, le ruisseau de Payrol, le ruisseau de Gaillardie, le ruisseau de Laffitte, un bras du Tarn, le ruisseau de l'Espigade et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[3],[4].

    Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source dans la commune de Pont de Montvert - Sud Mont Lozère et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, après avoir traversé 98 communes[5].

    Le ruisseau de Payrol, d'une longueur totale de 11,7 km, prend sa source dans la commune de Montbeton et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir traversé 4 communes[6].

    Réseaux hydrographique et routier d'Albefeuille-Lagarde.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est, en 2010, qualifié de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats en France définie en 2010 qui compte huit types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique plus ou moins altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 738 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 711,9 mm pour la période 1981-2010[12],[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[16].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[18], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[19].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[20] : la « basse vallée du Tarn » (3 623 ha), couvrant 49 communes dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Albefeuille-Lagarde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[I 1],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54 %), terres arables (32,5 %), cultures permanentes (5,7 %), zones urbanisées (4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), eaux continentales[Note 7] (1,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    En catalan Albaful. Mentionné au XIIe siècle comme Alba folia.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1954 Fernand Carla    
    1954 1959 André Larroque    
    1959 1983 Yvan Garrigues MRG  
    1983 1995 Jean Carla PS  
    1995 2001 Joel Garrigues    
    2001 2020 Marc Bourdoncle    
    2020 En cours Francis Massimino    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2019, la commune comptait 627 habitants[Note 8], en augmentation de 2,62 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    764616768797776743731706693
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    683700673648631611562538525
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    518513465416454415460493527
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    505549578601632644631616628
    2019 - - - - - - - -
    627--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 252 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 597 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 340 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]8,5 %7 %10,3 %
    Département[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 391 personnes, parmi lesquelles on compte 74,2 % d'actifs (64 % ayant un emploi et 10,3 % de chômeurs) et 25,8 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 100 emplois en 2018, contre 102 en 2013 et 108 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 251, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,4 %[I 10].

    Sur ces 251 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    44 établissements[Note 11] sont implantés à Albefeuille-Lagarde au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble44
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    511,4 %(9,6 %)
    Construction1431,8 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    613,6 %(29,7 %)
    Activités financières et d'assurance12,3 %(3,4 %)
    Activités immobilières36,8 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    511,4 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    818,2 %(13,6 %)
    Autres activités de services24,5 %(9,3 %)

    Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,8 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 44 entreprises implantées à Albefeuille-Lagarde), contre 14,9 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[29] :

    • Duburc, boulangerie et boulangerie-pâtisserie (106 k€)
    • Mp2C Energies, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (77 k€)
    • Les Saveurs D'aubin, restauration traditionnelle (64 k€)

    Agriculture

    La commune est dans les « Vallées et Terrasses », une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations39312718
    SAU[Note 14] (ha)805767846546

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 31 en 2000 puis à 27 en 2010[32] et enfin à 18 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[33],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 805 ha en 1988 à 546 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 21 à 30 ha[32].

    Culture

    Sports

    L'US Montauban Cyclisme 82 organise chaque année au mois d'octobre un Grand Prix Cycliste de clôture de la saison pour les catégories jeunes (minimes, benjamins, poussins).
    Ulm Midi-Pyrénées, le plus grand club ULM en Tarn-et-Garonne. École de pilotage ULM paramoteur, pendulaire, multiaxe et autogire, baptême de l'air et vol d'initiation.
    Olivier Marty, né le 29/06/1969 à Montauban, a obtenu le titre de champion du Monde ULM 2012 par équipes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Pierre-ès-Liens de Lagarde.

    Il y a deux églises sur cette commune : l'église Saint-Pierre-ès-liens au lieu-dit Lagarde au centre du village et l'église dite du Tap au lieu-dit Albefeuille.

    L'église de Lagarde a été reconstruite après 1930, la précédente ayant été détruite par les inondations qui dévastèrent ce village cette année-là. Celle d'Albefeuille brûlée en 1561 fut également reconstruite au XVIIe siècle.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Montauban » (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Albefeuille-Lagarde » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Albefeuille-Lagarde » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Albefeuille-Lagarde » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Albefeuille-Lagarde » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale d'Albefeuille-Lagarde », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. « Carte hydrographique d'Albefeuille-Lagarde » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
    5. Sandre, « le Tarn »
    6. Sandre, « le Ruisseau de Payrol »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Albefeuille-Lagarde et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météofrance Montauban - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Station météofrance Montauban - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Albefeuille-Lagarde », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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