Alette
Alette est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Pour les autres significations, voir Alette (architecture).
Alette | |||||
L'église Saint-Laurent. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois | ||||
Maire Mandat |
Constant Vasseur 2020-2026 |
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Code postal | 62650 | ||||
Code commune | 62021 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Alettois | ||||
Population municipale |
383 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 31′ 07″ nord, 1° 49′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 26 m Max. 162 m |
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Superficie | 13,87 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lumbres | ||||
Législatives | 4e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Les habitants de la commune sont appelés les Alettois.
La commune fait partie de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois qui regroupe 49 communes et compte 15 747 habitants en 2018.
Géographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Hydrographie
La commune est traversée par la Bimoise, d'une longueur de 8,7 km, un affluent de la Course, la Course qui est un affluent droit du fleuve côtier la Canche[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[2].
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Paysages
La commune est située dans le paysage montreuillois tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[3]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [4].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :
- la vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon. Le périmètre de la ZNIEFF présente un réseau hydrographique complexe associant plusieurs cours d’eau (Course, Bimoise, Baillons, rivière des Fontaines…) et de nombreuses sources, ainsi que des plans d’eau d’origine artificielle (ballastières, cressonnières, piscicultures, mares de chasse)[5] ;
- la forêt et pelouse de Montcavrel. C'est l’un des rares grands massifs forestiers du Montreuillois. Il se situe dans le haut Pays d’Artois, dans un secteur de plateau densément disséqué par un réseau de vallées pérennes et de vallées sèches, à la charnière de trois bassins versants : la Baillonne au nord, la Course à l’ouest et la Bimoise au sud/sud-est[6].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[7].
Urbanisme
Typologie
Alette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,5 %), prairies (25,6 %), forêts (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), zones urbanisées (2,4 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Alestei (1127), Alesta (1140), Alestes (1156-1157), Alesto (1171), Aleste (1194-1195), Alesth et Halista (XIIe siècle), Halletes (XIIIe siècle), Alestez (1375), Alesque (XIVe siècle), Alette-en-Artois (1507), Aleste (v. 1512), Allestes (1515), Alettes (XVIIIe siècle)[15].
Le nom Alette vient du latin alettis qui signifie « la vallée des oiseaux ».
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Lumbres.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[20].
Population et société
Les habitants de la commune sont appelés les Alettois[21].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].
En 2019, la commune comptait 383 habitants[Note 6], en stagnation par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 212 hommes pour 174 femmes, soit un taux de 54,92 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Culture locale et patrimoine
Site classé
Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[30].
Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du : les ruines du château de Montcavrel avec ses anciens fossés[31].
Monuments
- L'église Saint-Laurent. À sa construction au XIIe siècle, le clocher, qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [32], comprenait quatre fenêtres en tiers point séparées par des petites baies. Il subit des dommages en 1544 et il a fallu reconstruire trois faces aveugles. La flèche date de 1585. Dans l'église se trouvent les statues en bois du XVe siècle de saint Laurent, saint Josse, saint Jean l'Évangéliste et saint Lambert[33].
- Le monument aux morts[34].
- L'ancien château de Montcavrel[35] était une forteresse dont les origines remontaient, traditionnellement, au moins au XIe siècle. Il se composait d'une enceinte défendue par des courtines, des tours, à laquelle on accédait par une poterne pourvue d'un pont-levis. À l'intérieur, se trouvaient un donjon, une chapelle et l'habitation du seigneur. Cette enceinte jouxtait une basse-cour plus vaste entourée de dépendances[36]. Le château se transmit au Moyen Âge, du XIe au XVe siècle, dans la famille de Montcavrel, dont les derniers représentants, Jean III et Rasse de Montcavrel, son frère, sont tués à la bataille d'Azincourt, en 1415[37]. Jeanne de Montcavrel, fille de Jean III de Montcavrel, épouse en 1431 Aymon de Monchy, seigneur des Planques, et fait entrer par ce mariage, la seigneurie de Montcavrel dans la maison de Monchy[38]. La maison de Monchy se transmet la seigneurie et le château de Montcavrel jusqu'à Jean-Baptiste de Monchy, qui les vend en 1666 à son beau-frère Louis Charles de Mailly, marquis de Nesle, époux de Jeanne de Monchy-Montcavrel[39]. En , leur petit-fils, Louis III de Mailly, marquis de Nesle, reçoit pendant une nuit à Montcavrel l'empereur Pierre Ier de Russie, qu'il est chargé par le régent d'accompagner de Calais à Versailles. La maison de Mailly se transmet Montcavrel jusqu'à la Révolution, où le château est vendu comme bien national en 1795[40]. Converti en exploitation agricole, le château de Montcavrel est démoli une quinzaine d'années plus tard. Il n'en subsiste aujourd'hui que des éléments ruinés de tours et de murailles[41] (propriété privée).
- L'église.
Héraldique
Blason | De gueules à trois quintefeuilles d'or; au chef d'argent chargé de trois maillets de sinople. |
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Détails | Les trois quintefeuilles viennent des armes de la famille de Montcavrel, premiers seigneurs de l'endroit, et les maillets rappellent que les De Mailly prirent possession du territoire en 1648 lorsque Charles de Mailly épousa Jeanne de Monchy. Adopté par la municipalité le 8 décembre 1995. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Abbé B.-J. Thobois, Le Château et les seigneurs de Mont-Cavrel, commune d'Alette, 1901, Arras, Imprimerie Repessé-Crépel, IV+435 pp..
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Alette », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Alette » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Course ou Canche (E5410640) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007269 - La vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007273 - Forêt et Pelouse de Montcavrel », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 8.
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Alette : Constant Vasseur débute son troisième mandat de maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Alette (62021) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- Articles L. 341-1 à 22 du code de l'environnement
- « Bilans annuel de la politique de classement des sites », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Le clocher de l'église Saint-Laurent », notice no PA00107954, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Statues de l'église Saint-Laurent », notice no PM62000038, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Château de Montcavrel », sur Wiki Pas de Calais (consulté le ).
- Abbé B.-J. Thobois, Le château et les seigneurs de Mont-Cavrel, commune d'Alette, Arras, Imprimerie Repessé-Crépel, , IV+435, p. 1-18.
- Abbé B.-J. Thobois, Le château et les seigneurs de Mont-Cavrel, commune d'Alette, Arras, Imprimerie Repéssé-Crépel, , IV+435, p. 19-56.
- Abbé B.-J. Thobois, Le Château et les seigneurs de Mont-Cavrel, commune d'Alette, Arras, Imprimerie Répessé-Crépel, , IV+435, p. 57-68.
- Abbé B.-J. Thobois, Le Château et les seigneurs de Mont-Cavrel, commune d'Alette, Arras, Imprimerie Répessé-Crépel, , IV+435, p. 57-177.
- Abbé B.-J. Thobois, Le Château et les seigneurs de Mont-Cavrel, commune d'Alette, Arras, Imprimerie Repéssé-Crépel, , IV+435, p. 178-301.
- Philippe Seydoux, Gentilhommières d'Artois et du Boulonnais, tome 2, Paris, Editions de la Morande, , 346 p. (ISBN 2 902091 36 2), p. 130-132 & 280.
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