Allèves

Allèves est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Allèves

Vue des tours Saint-Jacques à Allèves.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Annecy
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Annecy
Maire
Mandat
Noëlle Delorme
2020-2026
Code postal 74540
Code commune 74004
Démographie
Gentilé Aléviens
Population
municipale
415 hab. (2019 )
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 10″ nord, 6° 04′ 52″ est
Altitude Min. 480 m
Max. 1 621 m
Superficie 8,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Annecy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rumilly
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Allèves
Géolocalisation sur la carte : France
Allèves
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Allèves
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Allèves
Liens
Site web alleves.fr

    Commune de l'Albanais, appartenant au Grand Annecy depuis le et précédemment à la communauté de communes du Pays d'Alby-sur-Chéran, elle comptait 415 habitants en 2019.

    Géographie

    Allèves, située dans la vallée du Chéran, est dominée au sud par la Montagne de Bange (1 217 m) et au nord par les tours Saint-Jacques (991 m).

    Communes limitrophes

    Gruffy Leschaux
    Cusy N
    O    Allèves    E
    S
    Arith (Savoie) Bellecombe-en-Bauges (Savoie)

    Urbanisme

    Typologie

    Allèves est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annecy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (79,7 %), prairies (15,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Allèves dérive du nom vernaculaire en Savoie, mais également en Dauphiné de l'arolle ou pin cembro ou pin des Alpes (alévo en patois), selon le chanoine Adolphe Gros[7],[8].

    La paroisse est mentionnée au XIVe siècle sous les formes Alleves (1318), Cura de Alleves (vers 1344) ou encore Allevis (1356)[7],[8]. On trouve également la forme Alevoz en 1696[7],[8].

    Dans son livre l'histoire d'Allèves, paru en 1929, l'abbé Coutin suggère que le mot Allèves pourrait venir du latin ad aquas. Il rappelle que, « à trois kilomètres d'Allèves, sur la commune de Bellecombe, se trouve un village construit entre deux ruisseaux et qu'on appelle Entrèves ». Eve correspond plutôt à une racine d'origine celte[9]. On la retrouve par exemple dans le nom de la commune d'Évian qui est très liée à l'eau. Avant la conquête romaine, les gaulois Allobroges qui peuplaient les Bauges parlaient une langue celte. Dans cette langue, il existe une racine Al qui signifie falaise ou rocher. On la retrouve par exemple dans le mot gaulois Alis[10] (qui a donné son nom au célèbre site d'Alesia) ou dans le vieil irlandais All qui signifie falaise[10]. Allèves pourrait donc être un mot Allobroges signifiant quelque chose comme « Les ruisseaux qui sortent des rochers ». C'est bien une caractéristique du lieu. De nombreux ruisseaux trouvent leur source dans la montagne du Semnoz et dévalent les pentes d'Allèves. Ils sont exploités depuis des centaines d'années : À Martinod, un moulin faisait aller une clouterie. Il y a une résurgence au pont de Leule (Barboillons). À Aiguebelette un beau ruisseau actionnait le moulin des Dagand dit meuniers (Le ruisseau a pratiquement disparu depuis que la source a été vendue à la commune de Rumilly).

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Alève, selon la graphie de Conflans[11].

    Histoire

    Le , les soldats allemands dynamitent le pont de Banges[12].

    Politique et administration

    Situation administrative

    Allèves appartient au canton de Rumilly, qui compte selon le redécoupage cantonal de 2014 29 communes[13]. Avant ce redécoupage, la commune appartenait au canton d'Alby-sur-Chéran, dont Alby-sur-Chéran était le chef-lieu.

    La commune appartient depuis le au Grand Annecy qui remplace la communauté de communes du Pays d'Alby-sur-Chéran, créée en 1993[14] et qui fait suite à différents syndicats communaux (Syndicat Intercommunal pour le Développement Économique du Canton d'Alby, Syndicat Intercommunal pour l'Équipement Scolaire du Canton d'Alby, Syndicat Intercommunal pour le Ramassage des Élèves du Canton d'Alby). On retrouve ainsi les onze communes de l'ancien canton d'Alby-sur-Chéran. Allèves fait néanmoins partie du SIPA (Syndicat Intercommunal du Pays d'Alby), qui œuvre pour la culture et gère l'école de musique de l'ancien canton.

    Allèves relève de l'arrondissement d'Annecy et de la deuxième circonscription de la Haute-Savoie.

    Liste des maires

    Mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Henri Navet
    mars 2001 En cours Noëlle Delorme DVD Retraitée

    Population et société

    Les habitants de la commune sont appelés les Aléviennes et les Aléviens[15].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[17].

    En 2019, la commune comptait 415 habitants[Note 3], en augmentation de 8,36 % par rapport à 2013 (Haute-Savoie : +7,33 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    258250263311358386399433434
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    436424416464406416429405376
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    338326300291260246206170171
    1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019 - -
    185209262343360409415--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune d'Allèves est située dans l'académie de Grenoble. En 2015, elle administre une école maternelle et une école élémentaire regroupant 20 élèves[20].

    Cultes

    L'ancienne paroisse d'Allèves était dédiée à saint Blaise[15]. La commune est désormais intégrée à la paroisse des Saints Philippe et Jacques du Semnoz[21], qui fait partie du doyenné de l'Albanais - les Usses, dont le siège se troue à Gruffy[22]. Elle se trouve dans le diocèse d'Annecy.

    Les pratiquants peuvent se rendre en l'église Saint-Blaise.

    Radios et télévisions

    La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS radio, Radio Semnoz, etc. Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement, l'émission La Place du village expose la vie locale. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

    Presse et magazines

    La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Genevois et le Courrier savoyard.

    Économie

    Aujourd’hui, nombre d'Allévains vont travailler sur Annecy ou Aix-les-Bains.

    Autrefois, les habitants exploitaient les forêts du Semnoz, produisaient du charbon de bois et, comme d'autres villages du massif des Bauges, avaient développé une production artisanale de clous. Une verrerie utilisant le sable du Chéran a été en activité au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle[23].

    Ils cultivaient également des vignes en combe de Savoie. Avant la guerre, la cueillette des cyclamens, commercialisés sur Aix-les-Bains et Paris, procurait à ses habitants un complément de revenu.

    En 2014, la capacité d'accueil de la station, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 140 lits touristiques répartis dans 28 structures[Note 4] dont 4 meublés[24].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Les tours Saint-Jacques, vues depuis le pont de l'Abîme.
    • Les tours Saint-Jacques ou cheminées de fées sont de majestueuses tours monolithiques qui dominent le village. Le toponyme proviendrait du nom de la chapelle d'un ancien prieuré[25],[26], dont l'ancien nom est « aiguilles de Racheroche »[25], désignant ces monolithes calcaires situés sur le contrefort sud du Semnoz. Une légende raconte qu'un aigle prit un agneau dans le village pour le dévorer ; celui-ci étant trop lourd l'aigle le posa finalement sur une des tours. Plusieurs années après, un alpiniste trouva un bélier dans un cadre verdoyant ! Le 7e épisode de la série Sortie de Secours de Richard Delay a été tourné sur le site des tours Saint-Jacques[27] ;
    • Les grottes de Bange, datant du magdalénien et situées dans le massif des Bauges[28],[29] ;
    • Le Chéran, rivière où l'on trouvait, selon les dires, des paillettes d'or ;
    • Le château du Cengle, ruiné, du Xe siècle ;
    • Église placée sous le patronage de saint Blaise. Le nouvel édifice est construit dans un style néogothique selon les plans de l'architecte annécien Camille Ruphy, entre 1867 et 1870. Elle est consacrée en 1893[30].

    La commune n'est pas adhérente au Parc naturel régional du massif des Bauges, demeurant une enclave dans ce territoire.

    Personnalités liées à la commune

    • Yvonne Dubois, paysanne-romancière habitant Allèves, a écrit quatre romans se situant dans les Bauges, dont La Vallée des cyclamens (1983) et Couleur de terroir (2007) pour lequel elle a reçu le Prix spécial du parc naturel régional du Massif des Bauges en . Elle a contribué à faire découvrir les conditions de vie sur une terre limitée et ingrate.

    Héraldique

    Les Armes de " Allèves "se blasonnent ainsi :

    D'azur, à un coq hardi d'or, crété et onglé de gueules posé sur un tertre de trois pics de sinople, et accompagné en chef de deux molettes du second.


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0), p. 215-218, « Le canton d'Alby-sur-Chéran », p.229-230 « Allèves ».

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    4. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[24].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Annecy », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    7. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 25..
    8. D'après Henry Suter, « Allèves », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
    9. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Arles/impr. en Lituanie, Éditions Errance, 2018, ©2003, 440 p. (ISBN 978-2-87772-631-3 et 2-87772-631-2, OCLC 1055598056, lire en ligne).
    10. Xavier Delamarre, Dictionnaire des thèmes nominaux du gaulois : Index des thèmes de l'onomatique celtique ancienne établis d’après les noms de personnes, de dieux, de peuples, de lieu et de rivières ; approche morphologique et sémantique, vol. 1 Ab /Ixs(o), Paris, les Cent chemins, 398 p. (ISBN 978-1-7980-5040-8 et 1-7980-5040-4, OCLC 1127387694, lire en ligne).
    11. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 12
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    12. Passerelle, journal cantonal.
    13. « Décret no 2014-185 du portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté en ).
    14. « Les 11 communes membres de la Communauté de Communes du Pays d'Alby » (consulté le ).
    15. « Allèves », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    20. « Haute-Savoie (74) > Allèves > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    21. « Paroisse Saints Philippe et Jacques du Semnoz », sur le site du diocèse d'Annecy (consulté le ).
    22. « Carte du Doyenné de l'Albanais - les Usses », sur Site du diocèse d'Annecy (consulté le ).
    23. Histoire des communes savoyardes, 1981, p. _ _ _.
    24. « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune et par station : nombre de structures et nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
    25. Jean-Philippe Buord, Les Mystères de la Haute-Savoie, Éditions de Borée, , 349 p. (ISBN 978-2-84494-300-2), p. 218.
    26. Jean-Marie Jeudy, Les mots pour dire la Savoie : Et demain, j'aurai autre chose à vous raconter, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 540 p. (ISBN 978-2-84206-315-3, lire en ligne), p. 166.
    27. Richard Delay, « 7e épisode de la série Sortie de Secours », .
    28. Jehanne Affolter, La grotte de Bange (Allèves, Haute-Savoie) (Mémoire L de la Société préhistorique française), ResearchGate, , 174 p., 21 × 29,7 cm (lire en ligne [PDF]).
    29. Pierre-Jérôme Rey, Archéologie du massif des Bauges du néolithique à l’âge du bronze, Conseil départemental de la Savoie, , 101 p., 21 × 29,7 cm (lire en ligne [PDF]).
    30. Françoise Dantzer, Les Bauges : Terre d'art sacré, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 251 p. (ISBN 978-2-84206-272-9, lire en ligne), p. 80.
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