Allouville-Bellefosse
Allouville-Bellefosse est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.
Pour l’article homonyme, voir Bellefosse.
Allouville-Bellefosse | |||||
![]() La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Yvetot Normandie | ||||
Maire Mandat |
Didier Terrier 2020-2026 |
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Code postal | 76190 | ||||
Code commune | 76001 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Allouvillais | ||||
Population municipale |
1 158 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 79 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 35′ 46″ nord, 0° 40′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 114 m Max. 154 m |
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Superficie | 14,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Yvetot (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Yvetot | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Géographie
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Situation
Cette commune du pays de Caux[1] est située dans le canton d'Yvetot.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
Le village est accessible par la route. La route départementale D 34 le traverse et rejoint, un peu à l'écart, à l'ouest, la route départementale D 33, un axe nord-sud qui coupe, au nord, la route nationale N 15 et l'autoroute A29.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[8] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 933,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 44 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Allouville-Bellefosse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Yvetot, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,5 %), prairies (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones urbanisées (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), forêts (0,4 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Allouville est attestée sous les formes Terram Turstini de Adelolvilla vers 1050 (Fauroux p. 366) ; Adeloldvilla en 1050[22] ; Allovilla en 1071 (Lot 99, 86, 127) ; Ecc. Sancti Quintini de Allouvilla entre 1130 et 1164 ; Ecc. de Alouville entre 1185 et 1207 ; Decimam de Alodivilla au XIIe siècle ; Par. Sancti Quintini de Aalouvilla en 1262 (Archives S.-M. 16 H., cart. 309, v., 198, 200, 317) ; P. Cabot, unum quarterium apud Aelouvillam vers 1210 (H. Fr. XXIII, 645) ; Halovilla vers 1240, Alonvilla, Aalonvilla en 1266 (H. Fr. xxiii, 283) ; Alouvilla en 1337 ; Alouville en 1431 (Longnon 25, 84) ; Allouville en 1393 (Archives nationales P. 284, 90) ; Allouville en 1393 (Arch. nat. P. 284, 2. 142) et en 1484 (Arch. nat. P. 284.2.224) ; A Allouville en 1495 (Deville, Tancarville, 368) ; Saint Quentin d'Allouville en 1713 (Arch. S.-M. G 737) ; Alouville en 1715 (Frémont) ; Allouville en 1738 (Pouillé), en 1788 (Dict.) et en 1953 (Nom.)[23].
Bellefosse qui est citée vers 1210 sous la forme latinisée de Bellam Fossam, est une ancienne paroisse de la commune[22].
Bellefosse est attestée sous les formes Ecclesia cum decima de Pulchra fovea en 1192 (Arch. S.-M. 54 H, Bulle de Célestin III) ; Terciam partem feodi unius apud Bellam Fossam vers 1210 (H. Fr. XXIII, 642) ; Bella Fossa vers 1240 (H. Fr. XXIII, 284) ; Bellafossa en 1337 ; Bellefosse en 1431 (Longnon, 26, 84) ; Bellefosse en 1319 (Archives S.-M. G 3267) ; Bella Fossa en 1342 (Arch. S.-M. 18 H) ; Bellefosse et Raffetot en 1398 (Arch. Nat. P. 303, 73) ; Ecc. parr. de Bellafovea en 1519 (Arch. S.-M. 54 H) ; Bellefosse en 1715 (Frémont) ; Belle Fosse1757 (Cassini) ; Bellefosse en 1953 (Nom., I.G.N.)[24].
Histoire
Cette commune est née de la fusion des communes d'Allouville et de Bellefosse en 1823[25].
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2019, la commune comptait 1 158 habitants[Note 8], en diminution de 1,19 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,5 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,8 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 590 hommes pour 568 femmes, soit un taux de 50,95 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,10 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
La fête de l'Oiseau organisée par le musée de la nature d'Allouville Bellefosse a lieu du 11 au .
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Quentin du XVIIIe siècle[36] a un clocher original dit « de Médicis ».
Patrimoine naturel
- Site classé
Le chêne d'Allouville est réputé être le plus vieux de France. Il date du IXe siècle. Dans son tronc, creux, sont établies deux petites chapelles superposées. L'arbre est étayé et une partie de sa ramure est recouverte d'essentes[37] (bardeaux) pour le protéger. Il fait plus de 9 mètres de circonférence[38]. Il est visité par plus de 60 000 personnes par an[38]. ( Site classé (1932)).
- Chêne millénaire d’Allouville-Bellefosse.
- Gravure du XVIIIe siècle.
Allouville-Bellefosse et le cinéma
Le film Le Chêne d'Allouville réalisé par Serge Pénard en 1980 avec Jean Lefebvre dans le rôle de l'agriculteur et son fils missionnaire rentré depuis peu d'Afrique Bernard Menez et son second fils Henri Guybet qui s'oppose à Pierre Tornade le nouveau maire et à son farouche adjoint, François Dyrek, qui ne pensent qu'à la prospérité du village et qui par là-même risquent de détruire les fameuses racines du chêne plusieurs fois centenaire. Ce film a également été distribué sous le titre Ils sont fous ces Normands.
Associations
Le CHENE (Centre d'hébergement et d'étude de la nature et de l'environnement) accueille les animaux sauvages blessés et malades apportés par les particuliers, réalise des études environnementales, s'occupe du démazoutage des oiseaux touchés par les marées noires, soigne et relâche les animaux sauvages... Le centre est également l'un des seuls en France à pouvoir accueillir les phoques[réf. nécessaire] échoués, abandonnés par leur mère souvent effrayée par des touristes ou séparés lors d'une tempête. Le centre possède aussi la seule machine à démazouter les oiseaux. Il peut être visité par le public et comporte notamment un musée.
Cartes postales anciennes
Personnalités liées à la commune
- Pierre Belain d'Esnambuc, né à Allouville-Bellefosse le 9 mars 1585, est le fondateur de la ville de Saint-Pierre à la Martinique. Pour le quatrième centenaire de sa naissance, en 1985, un bas-relief approximativement carré de 90 cm de côté, sculpté dans de l'ardoise, a été apposé au bas de la partie sud du clocher-porche de l'église Saint-Quentin, face au chêne millénaire, au centre du village.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean Benoît Désiré Cochet, Les Églises de l'arrondissement d'Yvetot, vol. 2, Paris, , p. 381-388
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Le pays de Caux », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Allouville-Bellefosse et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Allouville-Bellefosse et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Yvetot », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime - page 27.[réf. incomplète].
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 5.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 68.
- Recueil des actes de la préfecture du Département de la Seine-Inférieure 1823 p. 214
- « Allouville-Bellefosse », sur http://seine76.fr (consulté le ).
- « Résultats municipales 2020 à Allouville-Bellefosse », sur lemonde.fr (consulté le ).
- « Municipales 2020. Le maire d’Allouville-Bellefosse se représente : Didier Terrier sera accompagné de 7 conseillers sortants et 8 nouveaux candidats », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Didier Terrier est maire d’Allouville-Bellefosse depuis 2001 et brigue un nouveau mandat ».
- « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Allouville-Bellefosse (76001) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Seine-Maritime (76) », (consulté le ).
- « Église Saint-Quentin », notice no IA00020393, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Terme dialectal de l'ouest signifiant bardeau.
- Jeroen Pater, Les Arbres remarquables, éditions du Rouergue, octobre 2006.
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