Armbouts-Cappel

Armbouts-Cappel [aʁmbuts kapɛl] est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Armbouts-Cappel

Pont-levis du Grand-Millebrugghe.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté urbaine de Dunkerque
Maire
Mandat
Jean-Luc Darcourt
2020-2026
Code postal 59380
Code commune 59016
Démographie
Gentilé Armbouts-Cappellois
Population
municipale
2 200 hab. (2019 )
Densité 217 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 58′ 42″ nord, 2° 21′ 15″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 6 m
Superficie 10,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coudekerque-Branche
Législatives Quatorzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Armbouts-Cappel
Géolocalisation sur la carte : France
Armbouts-Cappel
Géolocalisation sur la carte : Nord
Armbouts-Cappel
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Armbouts-Cappel

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Armbouts-Cappel partage avec sa voisine Steene le hameau du Grand-Millebrugghe, coupé en deux par le canal de la Haute Colme.

    Elle se situe à 7 kilomètres de Bergues, à 9 kilomètres de Dunkerque.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le canal de la Haute-Colme passe à Grand-Millebrugghe. Le canal de Bourbourg à Dunkerque passe à l'extrémité nord de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 726 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dunkerque », sur la commune de Dunkerque, mise en service en 1917[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 697,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Boulogne-sur-Mer », sur la commune de Boulogne-sur-Mer, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1947 et à 59 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[13].

    Voie de communication et transport

    Le village est située à proximité de l'Autoroute A25 (France). La commune est également desservie par les lignes 14 et 19 du réseau DK'Bus.

    Urbanisme

    Typologie

    Armbouts-Cappel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    La commune comprend les hameaux et lieux-dits suivants : le Grand-Millebrugghe, le Kromenhouck, le Pont de Petite-Synthe[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,9 %), zones urbanisées (7,9 %), prairies (4,7 %), eaux continentales[Note 8] (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Erembaldi Capella en 1067 (Dans une charte qui indiquait les us et coutumes de la châtellenie de Bergues), Armboutscapel en 1793, Arembout-Cappel en 1801.

    Il signifie la « chapelle d'Erembaud » (Erembaud étant le nom du seigneur de Bruges)[22].

    Histoire

    Armbouts-Cappel signifie Chapelle d’Erembaud, Erembaud étant le seigneur de Bruges, (de arnu = aigle et baltha = hardi, méchant). La commune Capella Erembaldi, est citée en 1067 dans une charte de Baudouin, comte de Flandre, en faveur de l'abbaye de Saint-Winoc de Bergues[24]. En 1191, la comtesse de Flandre Mathilde de Portugal approuve un accord passé entre l'abbaye et un dénommé Eustache le Grand au sujet de la dîme d'Arembouts Cappel[25].

    Armbouts-Cappel dépendait de la châtellenie de Bergues et du diocèse d'Ypres, doyenné de Dunkerque[26], après avoir fait partie du diocèse de Thérouanne.

    En 1658, après la bataille des Dunes remportée par Turenne, Dunkerque devient anglaise. La possession anglaise recouvre non seulement la ville de Dunkerque mais aussi des territoires dont certains jusque là relevaient de la châtellenie de Bergues : Mardyck, Grande Synthe, Petite Synthe, une partie d'Armbouts-Cappel, Cappelle la Grande, une partie de Coudekerque, Téteghem, Uxem, Ghyvelde, Leffrinckoucke, Zuydcoote. En 1662, Louis XIV rachète ce territoire aux Anglais, une partie d'Armbouts-Cappel devient donc française, le reste est espagnol jusqu'en 1668 et le traité d'Aix la Chapelle où la France récupère la Flandre[27].

    En août , Armbouts Cappel se retrouva prise pendant quelques jours dans les combats opposant les ennemis coalisés à la République française. L'ennemi voulait prendre Dunkerque et dans cet objectif assiégeait également Bergues. Les combats et/ou présence de troupes concernèrent les villages environnants dont Armbouts-Cappel. Le village fut également touché par l'inondation du pays en eau de mer, provoquée par les Français afin de mieux résister en gênant les mouvements des armées assaillantes. L'affaire prit fin avec la Bataille d'Hondschoote, victoire française qui amena l'ennemi à quitter la région[28].

    En 1806, l'annuaire statistique départemental attribue à la commune deux hameaux : Millebreugghe, et Cleen Synthe-Brugge (pont de petite synthe)[29].

    En 1862, un tremblement de terre, rapporté par le curé du village et autres chroniques paroissiales, a lieu à Armbouts Cappel et les environs[24].

    Première guerre mondiale

    Pendant la première guerre mondiale, en 1917, Spycker est le siège d'un commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. Armbouts-Cappel fait partie des communes dépendant de ce commandement d'étapes, de même que Steene, Looberghe, Mardyck[30]. En début décembre 1917, le commandement d'étapes transféré à Steene depuis juillet 1917, est de nouveau transféré à Armbouts-Cappelle avant de revenir à Spycker[31].

    En 1916, la commune relève du commandement d'étapes de Grand-Millebrugghe et en 1917-1918, de celui de Téteghem[30]ainsi que de celui de Petite-Synthe[32].

    Le 4 juin 1916, est signalé la présence sur la commune d'Armbouts-Cappel d'un obus pouvant ne pas avoir éclaté. Des instructions sont attendues pour le faire exploser[33].

    Le 25 février 1917, un soldat, Adriensen Henri, de l'arme du génie, en congé de convalescence de 45 jours sur la commune, s'est suicidé. Ses effets ont été transportés au centre de Dunkerque[34].

    Le 24 mars 1917, vers 21 heures, un avion allemand a lâché une bombe sur le territoire de la commune à proximité de Petite-Synthe, dans un champ situé à environ 200 m d'une voie de grande communication. Elle a causé des dégâts matériels insignifiants, vitres cassées d'une maison du hameau du Pont de Petite-Synthe. Elle n'a pas fait de victimes[35].

    Le , des artilleurs présents sur la commune ont trouvé dans un fossé à proximité de la ferme de la veuve Adriansen, le corps du garçon de cette ferme, dénommé Deconninck, porté disparu depuis le 13 janvier. La gendarmerie de Bergues mène l'enquête[36]

    Seconde guerre mondiale

    Le village, situé sur la ligne de défense sud du port de Dunkerque, a été détruit pendant la seconde guerre mondiale de même que l'église avec sa tour carrée d'époque et de style roman avec ses chaire et confessionnal datant du XVIIIe siècle. Ces destructions valurent au village de recevoir la croix de guerre 1939-1945[19].

    Depuis 1945

    Dans les années 1970, il était desservi par la ligne d'autobus Dunkerque à Saint-Omer.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Armbouts-Cappel est membre de la communauté urbaine de Dunkerque (Dunkerque Grand littoral) créée en 1968.

    Armbouts-Cappel dans son canton et son arrondissement.

    Liste des maires

    Maire en 1802-1803 : Pierre Debril[37].

    1831-1879 : Pierre Hilst[24].

    1879-1888 : Auguste Dewaele[24].

    1888-1892 : Elie Delabaere[24].

    1892-1896 : Aimé Stevenoot, officier du Mérite Agricole[24],[38].

    1896-1904 : Elie Delabaere[24].

    1904-1905 : Arsène Wemaere[39].

    1905-1912 : Elie Delabaere[24].

    1912-1923 : Paul Tanche[24].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1923 1925 Arsène Wemaere[40]    
    1925 1929 Abel Baert[40]    
    1929 1935 Paul Wemaere URD Agriculteur,
    Conseiller général du Canton de Bergues de 1931 à 1940[41].
    1935 1945 Gaston Desmyttère   Agriculteur.
    1945 1953 Raymond Francke    
    1953 1955 André David    
    1955 1959 Edouard Wemaere   Agriculteur.
    1959 1971 Raymond Best    
    1971 1983 Emile Cabaret   Comptable.
    1983 1984 André Vandenbroucke    
    1984 1989 Emile Cabaret   Comptable.
    1989 mars 2001 Claude Cornelis PS Conseiller général du Canton de Bergues de 1998 à 2004[42].
    En cours Jean-Luc Darcourt
    Réélu pour le mandat 2020-2026[43]
    PS Conseiller communautaire à la Communauté urbaine de Dunkerque depuis 2001[44].
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    MINSTER - Royaume Uni

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].

    En 2019, la commune comptait 2 200 habitants[Note 9], en diminution de 8,26 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    404453469540613696798833850
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8649221 0051 0521 1001 1591 1621 1461 227
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1641 2061 2061 1591 1531 1371 0928281 033
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 0491 0481 1782 5622 6562 6772 5002 4582 497
    2015 2019 - - - - - - -
    2 3212 200-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 111 hommes pour 1 129 femmes, soit un taux de 50,4 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[49]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    0,7 
    5,2 
    75-89 ans
    5,1 
    22,8 
    60-74 ans
    27,7 
    23,3 
    45-59 ans
    23,5 
    16,7 
    30-44 ans
    15,6 
    15,0 
    15-29 ans
    12,8 
    16,5 
    0-14 ans
    14,5 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[50]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Enseignement

    Armbouts-Cappel fait partie de l'académie de Lille.

    Sports

    Le ministère des sports a décompté 22 équipements sportifs sur le territoire de la commune en 2013[51]. On y trouve notamment le club de football de l'U.S.F.A.C

    Culture et patrimoine

    Les fêtes communales ont lieu le 2e dimanche avant la Pentecôte et le dimanche précédant le [19].

    Lieux et monuments

    • La tombe du Baron Coppens au cimetière communal (le Baron Laurent Coppens fut maire de Steene en 1790).

    Personnalités liées à la commune

    • Jules Nempon, (1890-1974), cycliste sur route français ayant participé à huit reprises au Tour de France, est né dans la commune.
    • Jean Neuville, symbole de la résistance durant la Seconde Guerre Mondiale.[réf. nécessaire]
    • Victor Engrand, écrivain juif réfugié chez monsieur Jean Neuville de 1941 à 1943 d'où il correspondait avec Hannah Arendt.[réf. nécessaire]
    • Grégoire Kedziora, personnalité politique qui aura permis à la ville de se développer et d'acquérir une certaine reconnaissance locale dans les années 1960.
    • Edmond-Louis Blomme (1828-1910), écrivain de langue française et flamande, y fut instituteur a écrit une Monographie d'Armbouts-Cappel, présentée au concours de Lettres en 1894 de la Société dunkerquoise.

    Héraldique

    Les armes d'Armbouts-Cappel se blasonnent ainsi : « D'hermines au chevron de sable. »


    Folklore

    Bienaimé en parade à Ham (Somme) en 2007.

    Médiathèque

    Construite en 2007, la médiathèque Le Petit Prince se situe au cœur du village. Aménagée sur 400 m², elle dispose d'un fonds de 8 500 livres adulte et jeunesse, 14 revues, plus de 1 600 CD et environ un millier de DVD.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Dunkerque - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Armbouts-Cappel et Dunkerque », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Dunkerque - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Armbouts-Cappel et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Dunkerque », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Arrondissement de Dunkerque 1979
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Dominique Drapie / Généalogie et histoire du Dunkerquois / G.H.Dk.
    23. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    24. « Historique | Village Armbouts-Cappel 59380 Nord », sur www.armbouts-cappel.fr (consulté le ).
    25. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 1re partie, Année 1191.
    26. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
    27. Louis de Baecker, Recherches historiques sur la ville de Bergues (lire en ligne), p. 83 et 87.
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