Varen (Tarn-et-Garonne)
Varen est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue.
Ne doit pas être confondu avec Varennes.
Pour les articles homonymes, voir Varen.
Varen | |||||
L'église Saint-Pierre. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Montauban | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron | ||||
Maire Mandat |
Pierre Hébrard 2020-2026 |
||||
Code postal | 82330 | ||||
Code commune | 82187 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Varennois | ||||
Population municipale |
654 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 09′ 33″ nord, 1° 53′ 42″ est | ||||
Altitude | 160 m Min. 118 m Max. 372 m |
||||
Superficie | 23,13 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Quercy-Rouergue | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.varen.fr/ | ||||
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aveyron, la Baye, la Seye et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »), un espace protégé (le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Varen est une commune rurale qui compte 654 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 913 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Varennois ou Varennoises.
Géographie
Localisation
La commune de Varen est située à l'extrémité nord-est du Tarn-et-Garonne, à 60 km de Montauban, 45 km d'Albi, 35 km de Villefranche-de-Rouergue. Elle est limitrophe des départements de l'Aveyron et du Tarn.
Communes limitrophes
Hameaux et lieux-dits
La population à dominante agricole est dispersée sur les hameaux d'Arnac, de Lexos et sur le bourg de Varen.
Voies de communication et transports
Elle est desservie par les CD 115 ainsi que la RD 658 et la voie ferrée Toulouse-Paris via Capdenac.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Aveyron, la Baye, la Seye, le Rieu Sec, le ruisseau de Couty, le ruisseau de la nauque, le ruisseau de Rieucord, le ruisseau d'Orlan et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[3],[Carte 1].
L'Aveyron, d'une longueur totale de 291 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir traversé 60 communes[4].
La Baye, d'une longueur totale de 15 km, prend sa source dans la commune de Castanet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron sur le territoire communal, après avoir traversé 6 communes[5].
La Seye, d'une longueur totale de 18,6 km, prend sa source dans la commune de Parisot et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron sur le territoire communal, après avoir traversé 5 communes[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ginals », sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[13] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 914 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 46 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[17] à 14 °C pour 1991-2020[18].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[19],[20].
Un espace protégé est présent sur la commune : le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[21].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[23], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[25] :
- la « forêt de puech Mignon » (204 ha), couvrant 3 communes dont une dans l'Aveyron et deux dans le Tarn-et-Garonne[26] ;
- la « rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[27] ;
- les « vallées de la Baye, du Jouyre, du Ferran et de Fargues et puechs de Genibrous et Mourtayrol » (2 797 ha), couvrant 8 communes dont trois dans l'Aveyron et cinq dans le Tarn-et-Garonne[28] ;
et deux ZNIEFF de type 2[Note 7],[25] :
- la « vallée de l' Aveyron » (14 644 ha), couvrant 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[29] ;
- la « vallée de la Bonnette et vallée de la Seye » (6 289 ha), couvrant 12 communes du département[30].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Varen est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[31],[I 1],[32]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,7 %), zones agricoles hétérogènes (26,4 %), prairies (26,1 %), terres arables (6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %), zones urbanisées (1,5 %)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Histoire
Le doyenné de Varen fut fondé par le comte Géraud d'Aurillac (855-918) qui y passa lorsqu'il alla rencontrer le comte de Toulouse, rencontre qui eut lieu sur les bords de l'Aveyron.
Vers 972, Garsinde, comtesse de Toulouse, fait un legs au doyenné. En 1046, un moine portant la lettre annonçant la mort d'Oliba, abbé de N.D. de Ripoll et Saint Michel de Cuxa, passe par Santa Maria Varignensé. D'après cette lettre, le couvent détient le corps de saint Serge.
Vers 1050, l'espérance d'un grand pèlerinage justifie les vastes proportions de l'église Saint-Pierre obtenue par le voûtement d'un édifice antérieur (M. Duriat).
Vers 1350, les temps sont devenus moins sûrs (guerre de Cent Ans). L'abside va être démolie, le portail muré parce qu'ils constituent des points vulnérables. La sécularisation du prieuré effective depuis 1510 devient officielle en 1561.
1573 : En réponse à la Saint Barthélemy (), les protestants de Saint-Antonin s'emparent de Varen pour quelques jours. 80 assaillants auraient été tués.
1581 : C'est au tour des protestants de Verfeil de venir se venger des exactions subies lors du passage des troupes royales en prenant possession de Varen pour plusieurs mois, avec pillages, incendies, dégradations. Lorsqu'ils furent enfin chassés, ils auraient perdu 137 des leurs, pendus tués ou noyés.
1621 : Louis XIII faisant le siège de Montauban et projetant de réduire Nègrepelisse et Saint-Antonin, on envisage à Varen d'éventuelles représailles et l'on renforce la porte de la rue « Del Fouré ». Cependant, le logement des troupes royales impose à la population des charges insupportables.
1758 : Effondrement et démolition de l'église Saint-Serge, percement dans le mur nord de l'église Saint-Pierre de la petite porte.
1793 : Les biens du chapitre sont vendus comme biens nationaux, l'église transformée en atelier national est dépavée pour le salpêtre réclamé par les armées luttant contre la première coalition.
1830 : Destruction et aménagement du Chœur des Chanoines.
1846 : Inscription de l'église au registre des monuments historiques.
: Inauguration du « grand central » ligne de chemin de fer Rodez - Montauban qui désenclavait la région. La gare de Lexos aux dimensions colossales s'ouvrait sur trois directions : Paris via Capdenac, Toulouse et Montauban pour qui elle était le passage obligé avant la construction de la ligne Brive Cahors Montauban Toulouse. La présence de la ligne allait permettre la transformation de l'usine à chaux en une cimenterie particulièrement florissante et sans cesse modernisée jusqu'à la fermeture brutale en 1994.
Dès lors, Varen accuse durement le coup de cette « délocalisation » et le site particulièrement attractif intéresse et attire de nombreux étrangers, Anglais et Néerlandais, qui viennent se fixer dans le village.
Politique et administration
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 326 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 639 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 600 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 8,9 % | 8,8 % | 13,3 % |
Département[I 7] | 8,4 % | 10,2 % | 10,3 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 323 personnes, parmi lesquelles on compte 67,8 % d'actifs (54,5 % ayant un emploi et 13,3 % de chômeurs) et 32,2 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 139 emplois en 2018, contre 122 en 2013 et 180 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 178, soit un indicateur de concentration d'emploi de 78 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,4 %[I 10].
Sur ces 178 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 79 travaillent dans la commune, soit 45 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 79,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,1 % les transports en commun, 5,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
68 établissements[Note 11] sont implantés à Varen au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 68 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 12 | 17,6 % | (9,6 %) |
Construction | 7 | 10,3 % | (14,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 19 | 27,9 % | (29,7 %) |
Information et communication | 4 | 5,9 % | (1,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 1,5 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 1 | 1,5 % | (3,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 5 | 7,4 % | (14,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 14 | 20,6 % | (13,6 %) |
Autres activités de services | 5 | 7,4 % | (9,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,9 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 68 entreprises implantées à Varen), contre 29,7 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[35] :
- Le Bar Des Sports, commerce d'alimentation générale (89 k€)
- Quercy Renovation, travaux d'installation électrique dans tous locaux (88 k€)
- Rodrigues Jerome, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (64 k€)
Agriculture
La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 42 | 26 | 16 | 14 |
SAU[Note 14] (ha) | 931 | 781 | 702 | 726 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 42 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 26 en 2000 puis à 16 en 2010[38] et enfin à 14 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 67 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[39],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 931 ha en 1988 à 726 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 52 ha[38].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2019, la commune comptait 654 habitants[Note 16], en diminution de 1,65 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune bénéficie d'un patrimoine architectural de grande qualité :
- Gare de Lexos, inscrite au titre des monuments historiques[44] ;
- Église Saint-Pierre, de style roman du XIe siècle ; elle faisait partie du système défensif de la ville, sa façade servant de mur d'enceinte. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1846[45].
- Église Saint-Étienne de Lexos.
- Église Saint-Grégoire de Saint-Grégoire. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[46]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[46].
- Église Saint-Martial de Varen. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[47]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[47].
- Église Saint-Martin d'Arnac.
- Église Saint-Vincent de Saint-Vincent.
- Doyenné du XIe ;
- Porte fortifiée, classée au titre des monuments historiques en 1925 ;
- Château de Belpech ;
- Maisons à colombages ;
- Château de Pechrodil.
- Gare de Lexos
L’église Saint-Vincent. - Doyenné du XIe
Personnalités liées à la commune
- Jean-Jacques-Joseph Daudibutieres, maire de Varen (en fonction en 1809).
- Léon Poux, maire de Varen (1881-1972 ?).
- Jean-Jacques-Joseph Daudibertières (1756-1841) habitait près du moulin de Varen, maire de Varen de 1809 à 1815.
Héraldique
Blason | D'argent à trois fasces de sinople, au lion d'or brochant. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Varen » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Varen » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Varen » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Varen » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Varen » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Varen », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Aveyron (affluent du Tarn) »
- Sandre, « la Baye (rivière) »
- Sandre, « la Seye (cours d'eau) »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Ginals - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Varen et Ginals », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ginals - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Varen et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Varen », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Varen », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt de puech Mignon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « rivière Aveyron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « vallées de la Baye, du Jouyre, du Ferran et de Fargues et puechs de Genibrous et Mourtayrol » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée de l' Aveyron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée de la Bonnette et vallée de la Seye » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Le Tarn libre, 12 juin 2020, p. 30.
- « Entreprises à Varen », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Varen - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Gare de Lexos, au hameau de Lexos », notice no PA82000023, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise Saint-Vincent », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint-Grégoire », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint-Martial », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Portail de Tarn-et-Garonne
- Portail des communes de France