Arros-de-Nay
Arros-de-Nay [aʁɔs də naj] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Arros (homonymie).
Arros-de-Nay | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays de Nay | ||||
Maire Mandat |
Gérard d'Arros 2020-2026 |
||||
Code postal | 64800 | ||||
Code commune | 64054 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arrosiens | ||||
Population municipale |
767 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 12′ 01″ nord, 0° 17′ 09″ ouest | ||||
Altitude | Min. 230 m Max. 421 m |
||||
Superficie | 13,47 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Pau (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ouzom, Gave et Rives du Neez | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | arrosdenay.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune d'Arros-de-Nay se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 15 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 4 km de Nay[3], bureau centralisateur du canton d'Ouzom, Gave et Rives du Neez dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Saint-Abit (0,9 km), Bourdettes (1,0 km), Pardies-Piétat (1,9 km), Baudreix (2,5 km), Nay (2,9 km), Boeil-Bezing (2,9 km), Mirepeix (3,1 km), Baliros (3,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Arros-de-Nay fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Accès
La commune est desservie par les routes départementales 37, 288 et 936.
Lieux-dits et hameaux
- Allemand (colline)[6]
- Bacabara[6]
- Barbé[6]
- Barrère[6]
- Barthe[6]
- Bées[6],[7]
- Bégué[6]
- La Bernadie[6]
- Bié (bois de)[6],[7]
- Blanquet[6]
- Blon[6]
- Bouhabent[6]
- Bourda-Plà[6]
- Bouria[6]
- Bozom[6],[7]
- Brouquet[6]
- Brousset[6]
- Cabarry[6]
- Casamayou[6]
- Casenave[6]
- Castéra[6]
- Cataline[6]
- La Châtaigneraie (deux lieux-dits)[6]
- Grange Clédou[6]
- Couchies[6]
- Coumet[6]
- Daguès-Bié[6]
- Gahuset[6]
- Guillamasse[6]
- Habarna[6]
- Habe[6]
- Haure[6]
- Hourcade[6]
- Jupé[6]
- Labasserres[6]
- Labourie[6]
- Lacrouts[6]
- Ladebat[6]
- Lambrou[6]
- Lanot[6]
- Lasbordes[6]
- Lauga (bois de)[6]
- Lème Carraze[6]
- Lème Monlucou[6]
- Lolou[6]
- Grange Lolou[6]
- Lombré[6]
- Massaly (ruines)[6]
- Michelat[6]
- Grange Miramon[6]
- Moncaut (source de)[6]
- Mondaut[6]
- Grange Monsempès[6]
- Moun du Rey[6]
- Mourtérou[6]
- Nérios[6]
- Ourthe[6]
- L'Oustau[6]
- Paloc[6]
- Petit Paloc[6]
- Pareil[6]
- Pédemelou[6]
- Le Petit Hameau[6]
- Picourlat[6]
- Plà[6]
- Le Point de Vue[6]
- Porteteny[6]
- Rieupeyrous[6]
- Thomas[6]
- Toulet[6]
- Tourne (ruines)[6]
Hydrographie
La commune est drainée par le Luz, le Luz de Casalis, un bras du Luz, Canal de la Grau, Canal de l'Escourre, le Luz de Cazelis, le Petit Béez, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le Luz, d'une longueur totale de 15,2 km, prend sa source dans la commune de Lys et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Assat, après avoir traversé 9 communes[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Asson », sur la commune d'Asson, mise en service en 1970[15] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 304,6 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 25 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[23], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 7] encore vivace[24],[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Arros-de-Nay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[25],[26],[27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pau, une agglomération intra-départementale regroupant 55 communes[28] et 200 666 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[29],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[31],[32].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,8 %), forêts (31,4 %), prairies (15,9 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (2,2 %)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
Le toponyme Arros apparaît sous les formes Arrossium (1100[7], titres de Mifaget), Arros (1120[34], Pierre de Marca[35]) Arrode et Rode (XIIe siècle[7] pour ces deux formes, Pierre de Marca[35]), B. d’Arros, sieur d’Arrode (1137[34], règlement de la Cour Major, Pierre de Marca[35]), Arros (1286, cartulaire du château de Pau[36]), et Arros sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[34]). Michel Grosclaude[34], quoique avec les plus grandes réserves, penche pour une racine aquitaine (h)arr (« pierre, rocher ») augmenté du suffixe -ossum, qui donnerait donc « endroit où il y a des rochers ». Mais on pensera aussi au mot arro, désignant un précipice ou encore le bassin d'une rivière.
Son nom béarnais est Arròs-de-Nai[37] ou Arros-de-Nay[38].
Microtoponymie
Bées est un hydronyme désignant le Petit Béez, déjà mentionné sous la graphie le Bée en 1675[7] (réformation de Béarn[39]).
Bié est le nom d’une ferme dont mention est faite en 1385[7] sous la forme Bier (censier de Béarn[40]).
Bozom est le nom d’une ferme d’Arros, qui apparaît sous les formes la Monyoge de Bosom (1536, réformation de Béarn[39]) et Bouzoum (1863[7], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
Le château d’Espalungue est mentionné dans le dictionnaire de 1863[7].
Laragnous (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque) était une ferme d’Arros dont l’existence est attestée en 1385[7] (censier de Béarn[40]) sous la graphie Laranhoet.
Le 27 janvier 1932, le préfet invoquant des méprises administratives consécutives à la pluralité des Arros dans le département, (Arros canton de Nay, Arros canton d'Oloron) décidait d'associer le nom du chef-lieu de canton à celui de la commune et demandait au conseil municipal d'entériner sa décision. Le conseil de l’époque s'exécuta.
Histoire
Les premières traces du village remontent au XIe siècle, cité sous le nom d’Arrossium ('lieu ou l’on trouve les rochers'). Au XIIe siècle, une famille noble (de Rode, d’Arrode puis d’Arros) qui possédait les seigneuries de Rode, Vauzé et la viguerie de Lembeye prit possession du fief qui devint par la suite Arrode puis Arros.
Paul Raymond[7] note qu'en 1385, Arros comptait quarante-quatre feux et dépendait du bailliage de Pau. Arros, et ses hameaux jusqu’à Bosdarros ('bois d’Arros'), constituait en 1385, la septième[7] des douze grandes baronnies du Béarn.
La famille d'Arros[41] était l'une des douze grandes baronnies du Béarn, son fief était Arros-de-Nay. Jean-François d'Arros (1726-1791) commença sa carrière maritime comme garde de la marine dès 14 ans. Devenu capitaine d'artillerie en 1762, il devint capitaine de Frégate en décembre 1766. Jean-François commanda la marine de l'îsle de France (aujourd'hui Maurice, dans l'océan Indien) en 1770 et 1771 à l'époque où une expédition française visita les îles Seychelles. Commandée par Durosland et de la Biolière, l'expédition lui rendit hommage en donnant son nom à un atoll de 2,5 km². Arros, île au climat paradisiaque, à l’écart de la route des cyclones, va beaucoup faire parler d’elle en France car devenue la propriété privée de Liliane Bettencourt de 1999 à 2012.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Arros-de-Nay appartient à cinq structures intercommunales[44] :
- la communauté de communes du Pays de Nay ;
- le syndicat d’eau potable et d’assainissement du Pays de Nay ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau ;
- le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du Luz.
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Arrosiens[45],[46].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2019, la commune comptait 767 habitants[Note 10], en diminution de 7,92 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Arros-de-Nay fait partie de l'aire urbaine de Pau.
Enseignement
Arros-de-Nay dispose d'une école primaire.
Économie
Revenus et fiscalité
En 2019, le revenu fiscal médian par ménage était de 22 160 € alors que la moyenne départementale s's'établissait à 22 110 €[51],[52].
Emploi
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 468 personnes, parmi lesquelles on comptait 74,0 % d'actifs dont 66,4 % ayant un emploiet 7.6 % étant au chômage[53].
On comptait alors 162 emplois dans la zone d'emploi, contre 182 en 2013. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 315, l'indicateur de concentration d'emploi est de 51.3 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un nombre insufisant d'emploi par rapport au nombre d'actifs[54]. Ainsi, 80,7 % des actifs travaillaient en dehors de la commune en 2018 contre 79.8 en 2013[55], les déplacements se faisant en majorité par voiture, camion ou fourgonnette[56].
Entreprises et commerces
Au 31 décembre 2019, Arros-de-Nay comptait 64 établissements : 14 dans la construction, 14 dans les activités spécialisées diverses, 9 dans le commerce-transports-services divers, 7 dans l'immobilier, 6 dans l'industrie, 5 dans l'administration, 1 dans les finances, 1 dans l'information-communication et 1 était relative au secteur des finances[57]. En 2020, 11 entreprises ont été créées, dont 5 par des auto-entrepreneurs[58].
Agriculture
En 2010, la commune comptait 39 exploitations agricoles contre 40 en 2000. La surface agricole utilisée moyenne par exploitation est de 21.8 hectares contre 17.5 à ces mêmes dates. La surface agricole totale occupe de 897 hectares soit 31,5 % du territoire[59].
Arros-de-Nay fait partie de la zone d'appellation de l'Ossau-Iraty[60].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Le château d'Arros[61] date partiellement du XVIIe siècle. Son inscription par les monuments historiques date de 1988.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Jacques-le-Majeur[62] fut édifiée en 1835. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
Personnalités liées à la commune
- Jean-François d'Arros d'Argelos (1726-1791) officier de marine dont le nom Arros a été donné à une île des Seychelles.
Héraldique
Blasonnement :
D'or à cinq losanges de sable ordonnées trois et deux.
|
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
- La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Arros-de-Nay » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Arros-de-Nay », sur www.geoportail.gouv.fr.
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune d'Arros-de-Nay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arros-de-Nay et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arros-de-Nay et Nay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Arros-de-Nay », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
- « Fiche communale d'Arros-de-Nay », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Luz ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Asson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arros-de-Nay et Asson », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Asson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arros-de-Nay et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arros-de-Nay », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Pau », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Pau », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
- D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
- Manuscrits en deux volumes, XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
- L. V., « Affaire Bettencourt : les attaches béarnaises de l'Ile d'Arros », La République des Pyrénées, (lire en ligne).
- Liste des maires sur le site de la mairie
- https://gallica.bnf.fr/services/image/highlighter/ark:/12148/bpt6k96275459/f5.image.r=canton.highres
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Gentilé sur habitants.fr
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Dossier complet − Commune d'Arros-de-Nay (64054) », sur www.insee.fr (consulté le )
- Insee, « Comparateur de territoire − Commune d'Arros-de-Nay (64054) », sur www.insee.fr (consulté le )
- EMP T1, Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5, Emploi et activité.
- ACT T4, Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
- ACT G2, Part des moyens de transports utilisés pour se rendre au travail en 2018.
- DEN T5, Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019.
- DEN T4, Créations d'établissements par secteur d'activité en 2020.
- « Géoclip - France découverte », sur france-decouverte.geoclip.fr (consulté le )
- « Décret du 21 mars 2007 modifié relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Ossau-Iraty » », sur www.inao.gouv.fr (consulté le )
- « Le château d'Arros », notice no PA00084318, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Jacques-le-Majeur », notice no IA64000597, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Armorial de France
- Page culture et histoire du site de la commune
- Portail des communes de France
- Portail des Pyrénées
- Portail du Béarn
- Portail des Pyrénées-Atlantiques