Asasp-Arros

Asasp-Arros [asasp aʁɔs] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Arros et Asasp.

Asasp-Arros

La mairie d'Asasp-Arros.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Roland Benoît Laperne
2020-2026
Code postal 64660
Code commune 64064
Démographie
Gentilé Asaspois
Population
municipale
449 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 07′ 24″ nord, 0° 36′ 45″ ouest
Altitude Min. 243 m
Max. 1 093 m
Superficie 23,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Asasp-Arros
Géolocalisation sur la carte : France
Asasp-Arros
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Asasp-Arros
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Asasp-Arros
Liens
Site web asasp-arros.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Asasp-Arros se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 41 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Lurbe-Saint-Christau (1,1 km), Eysus (2,8 km), Gurmençon (4,0 km), Issor (4,5 km), Agnos (4,6 km), Escot (5,1 km), Bidos (6,3 km), Issor (6,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Asasp-Arros fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Hydrographie

    Située dans le bassin versant de l'Adour, la commune est traversée[7] par le gave d'Aspe (qui alimente le gave d'Oloron) et par ses affluents, le gave de Lourdios, les ruisseaux le Barescou, Toupiette, de Labatnère, de Cournalès, l'Arrectou, les arrècs de Bugalas, de Lassalle et des Abérats.
    Un autre affluent du gave d'Oloron, le ruisseau la Mielle (qui prend sa source sur la commune) et ses tributaires, le ruisseau de Sarraude et les arrècs de Cazaux et de Termy, coulent également sur le territoire de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 562 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oloron-Ste-Mari », sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964[13] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 341,2 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 34 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 13,4 °C pour 1981-2010[18], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[19].

    Patrimoine environnemental

    Un domaine boisé important[20], sillonné de chemins de randonnées, s'étend sur la commune. Le pic Bellevue, également appelé pic Cambet, culmine à 681 mètres[6], la soum du Caut à 689 mètres[6], la soum de Las Osques à 691 mètres[6] et le pic Pédeher à 712 mètres[6]. Enfin, à la frontière avec Issor, la soum d’Athay se dresse à 728 mètres[6] et celle de Ségu à 768 mètres[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Asasp-Arros est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51 %), prairies (20,2 %), terres arables (9,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), zones urbanisées (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    Asasp-Arros est desservie par la route nationale 134, entre Pau et le col du Somport et par la route départementale 918, qui mène à Argelès-Gazost.

    Toponymie

    Le toponyme Asasp apparaît sous les formes Asap (1364[27], fors de Béarn[28]), Azasp (1375[27], contrats de Luntz[29]), Asasp (vers 1630[30], d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn) et Asasp sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[30]).

    Michel Grosclaude[30] indique qu’Asasp est apparenté au basque as/aitz pointe rocheuse ») et aspi derrière »), soit « sous la pointe rocheuse ».

    Le toponyme Arros est mentionné dès le XIIe siècle[27] (titres de Gabas[31]) ainsi qu’en 1220[30] (for d'Oloron[28], sur copie de 1551), 1249[30] (sentence sur le Josbaig, vidimus de 1464), 1367[30] (cartulaire d'Oloron[32]), 1380[30] (archives départementales des Pyrénées-Atlantiques) et sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[30]).

    D’après Michel Grosclaude[30], Arros provient du radical basque (h)arr pierre ») ou d'un ancien propriétaire Arro, augmenté dans les deux cas du suffixe aquitain -ossum, soit donc « lieu de pierre » ou « domaine d’Arro ».

    À partir de 1956, et jusqu'en 1971, date de sa fusion avec Asasp, Arros s'est appelée Arros-d'Oloron[33], pour se différencier d'Arros-de-Nay.

    Son nom béarnais est Asasp-Arros.

    Arripe est une ferme d’Asasp, déjà mentionnée en 1385[27] (censier de Béarn[28]).

    Attay est une lande d’Asasp, citée par le dictionnaire de 1863[27].

    Boumayou est un hameau, déjà référencé par le dictionnaire de 1863[27], tout comme les écarts d’Asasp, Castetgouly[27] et Castetmans[27].

    Le dictionnaire de 1863[27] mentionne une lande du nom de Caup.

    La Courtie était un écart d’Asasp cité par le dictionnaire de 1863[27].

    Croues, autre lande d’Asasp, apparaît dans le terrier d’Asasp[34], en 1778[27], sous la graphie Couroues.

    Domec est un fief vassal de la vicomté de Béarn, cité en 1863[27] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque. Il apparaît sous les graphies Domec-Poe et la Domecq (respectivement 1538[27] et 1546[27], réformation de Béarn[35]).

    Hourcq désignait en 1863[27] une lande d’Asasp.

    Le Lagnos est un bois d’Asasp, qu’en 1538[27], la réformation de Béarn[35] notait Lo Lanhos.

    Monlong est référencé en 1863[27] comme une lande d’Asasp, tout comme Tachouas.

    Ségu est un mont[27] dont l’emprise s’étend sur Asasp et Issor.

    Histoire

    Paul Raymond[27] note qu'en 1385, Asasp comptait 17 feux et Arros 7. Toutes deux dépendaient du bailliage d'Oloron.
    La commune d'Arros comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

    Le 1er janvier 1973 (arrêté préfectoral du 29 décembre 1972)[33], la commune d'Arros-d'Oloron (dénommée Arros jusqu'en 1956) est absorbée par Asasp pour former la nouvelle commune de Asasp-Arros.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Henri Navailles    
    2001 2005 Vincent Poey    
    2005 2014 André Minjuzan    
    mars 2014 mai 2020 Bernard Mora PCF  
    mai 2020 En cours Roland Benoît Laperne DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de sept structures intercommunales[36] :

    • la communauté de communes du Piémont Oloronais ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat de la source de la Colombe ;
    • le syndicat de regroupement pédagogique des communes de Lurbe et d'Asasp-Arros ;
    • le syndicat de télévision d'Oloron-vallée d'Aspe ;
    • le syndicat intercommunal d'assainissement de la porte d'Aspe ;
    • le syndicat mixte de production d'eau potable Jean Petit.

    Population et société

    Démographie

    Le nom des habitants est Asaspois[37],[38].

    Paul Raymond[27] note qu'en 1385 Arros comptait 7 feux.
    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

    En 2019, la commune comptait 449 habitants[Note 8], en diminution de 8,18 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    602517611563713751766718741
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    642649619583543513502491495
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    465511560489438482421407431
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    434395566564601547524520487
    2017 2019 - - - - - - -
    461449-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    De 1793 à 1968, la population indiquée ne reflète que celle d'Asasp, encore séparé d’Arros-d’Oloron, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[43].

    Évolution de la population
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    182157157179200204177193189
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    170210211215205201202140148
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    150148144116117107101108113
    1962 1968 - - - - - - -
    113106-------
    (Sources : Cassini)

    Asasp-Arros fait partie de l'aire urbaine d'Oloron-Sainte-Marie.

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire.

    Sports

    Rugby à XV
    Basket-ball

    Le Basket Club Haut-Béarn, né de la fusion en 2006 avec le club de basket d'Agnos, évolue en championnat Excellence (1re division départementale).

    Économie

    L'activité est principalement agricole (élevage, pâturages, polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty. La qualité des eaux des gaves a permis le développement de la pisciculture.

    Une usine hydroélectrique a été construite au confluent du gave d'Aspe et de celui du Lourdios[33].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine civil

    Jusqu'en 1494[33], une digue sur le gave d'Aspe reliait Lurbe à Asasp. Elle fut ensuite remplacée par un pont, faisant du village une étape importante sur une voie secondaire de la via Podiensis (ou route du Puy), l'un des chemins contemporains du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Patrimoine religieux

    Les églises Saint-Jean-l'Évangéliste[44] d'Asasp et Saint-Vincent-Diacre[45] d'Arros datent toutes deux du XIXe siècle et sont répertoriées à Inventaire général du patrimoine culturel.

    Les monuments historiques ont classé la clôture de chœur[46] de l'église d'Asasp et la peinture du plafond[47] de l'église d'Arros. D'autres éléments de ces églises sont également classés à titre d'objets, sans que les fiches du ministère de la Culture ne précisent le lieu exact. Ainsi, il faut mentionner trois autels retables du XVIIIe siècle[48],[49],[50] et un tableau du XVIIe siècle[51] figurant l'agonie du Christ.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Asasp-Arros », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Asasp-Arros et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Asasp-Arros et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Asasp-Arros », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    7. Notice du Sandre sur Asasp-Arros
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Oloron-Ste-Mari - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Asasp-Arros et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Oloron-Ste-Mari - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Asasp-Arros et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. La page environnement du site de la commune
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur insee.fr (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    27. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    28. Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    29. Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    30. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
    31. Titres de l'hôpital de Gabas - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    32. Titres publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
    33. La page histoire du site de la commune
    34. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    35. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    36. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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    38. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Arros », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    44. « L'église Saint-Jean-l'Évangéliste », notice no IA64000616, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « L'église Saint-Vincent-Diacre », notice no IA64000615, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. « La clôture de chœur de l'église d'Asasp », notice no PM64000732, base Palissy, ministère français de la Culture.
    47. « La peinture du plafond de l'église d'Arros », notice no PM64000037, base Palissy, ministère français de la Culture.
    48. « Premier autel retable classé », notice no PM64000047, base Palissy, ministère français de la Culture.
    49. « Second autel retable classé », notice no PM64000046, base Palissy, ministère français de la Culture.
    50. « Troisième autel retable classé », notice no PM64000045, base Palissy, ministère français de la Culture.
    51. « Le tableau classé, figurant l'agonie du Christ », notice no PM64000044, base Palissy, ministère français de la Culture.
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