Eysus

Eysus est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Eysus

L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Marie Echepare
2020-2026
Code postal 64400
Code commune 64224
Démographie
Gentilé Eysusien
Population
municipale
638 hab. (2019 )
Densité 95 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 08′ 24″ nord, 0° 35′ 14″ ouest
Altitude Min. 236 m
Max. 416 m
Superficie 6,72 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Oloron-Sainte-Marie
(banlieue)
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Eysus
Géolocalisation sur la carte : France
Eysus
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Eysus
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Eysus
Liens
Site web https://www.eysus.fr/

    Le gentilé est Eysusien[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Eysus se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 40 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 7,2 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Gurmençon (2,0 km), Asasp-Arros (2,8 km), Lurbe-Saint-Christau (3,2 km), Agnos (3,7 km), Bidos (4,6 km), Herrère (5,1 km), Précilhon (6,3 km), Oloron-Sainte-Marie (6,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Eysus fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Accès, routes et chemins

    La commune est desservie par la D 238 reliant le village à Lurbe-Saint-Christau au sud et Oloron-Sainte-Marie, via Soeix, au nord, ainsi que par la D 638 reliant le village à Lurbe-Saint-Christau (Saint-Christau plus exactement). Le centre de la commune est traversée par la D 435. La D 338, vers le sud-ouest, amène au lieu-dit Borne 12 se situant dans le bois du Baget (appartenant à Oloron-Sainte-Marie, croisement avec la D 938 qui amène à Lurbe-Saint-Christau, en allant vers l'ouest, et Arudy vers l'est mais aussi vers le nord à Oloron-Sainte-Marie, via Serre Soeix (haut de Soeix).

    La commune est aussi traversée par le GR 653 qui, via Serre Soeix (haut de Soeix, Oloron-Sainte-Marie) longe la D 638, passe devant l'école municipale, la mairie, le fronton, et longe ensuite en partie la D 435, puis la D 638 en partie aussi pour relier Lurbe-Saint-Christau (Saint-Christau plus exactement).

    Autrefois utilisé, le pont du chemin de fer, fermé depuis 2002, permettait de traverser le gave d'Aspe et relier à pied uniquement, le village de Gurmençon au nord-ouest.

    Hydrographie

    La commune est drainée par le gave d'Aspe, l'Ourtau, un bras du gave d'Aspe, le ruisseau l'arrigouli, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[9].

    L'Ourtau, d'une longueur totale de 12,8 km, prend sa source dans la commune d'Oloron-Sainte-Marie et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Aspe à Eysus, après avoir traversé 3 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 410 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oloron-Ste-Mari », sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964[16] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 341,2 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 32 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) »[24], d'une superficie de 1 595 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[25],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du département[27] et deux ZNIEFF de type 2[Note 8],[26],[Carte 4] :

    • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[28] ;
    • la « vallée d'Aspe » (54 924,87 ha), couvrant 22 communes du département[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Eysus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[30],[31],[32]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Oloron-Sainte-Marie, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[33] et 16 948 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[34],[35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,1 %), zones agricoles hétérogènes (30,6 %), terres arables (14,3 %), forêts (13,6 %), zones urbanisées (6,4 %)[38].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits et hameaux

    • Bourdiu
    • Camous
    • Serre-Haute
    • Soumsus
    • Village

    Toponymie

    Le toponyme Eysus apparaît[39] sous les formes Villa quœ vocatur Isuici (1077, titres de l'abbaye de la Peña[40]), Ezus (XIIIe siècle, for d'Oloron[41]), Esus (1251, cartulaire d'Oloron[42]), Eyssus, Eizus, Aisuus et Aïsus (respectivement 1538, 1544, 1589 et 1675, réformation de Béarn[43]).

    Son nom béarnais est Eisús[44] ou Eysus[45].

    Histoire

    Paul Raymond[39] note qu'en 1385, Eysus dépendait du bailliage d'Oloron et comptait 24 feux.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1968 1995 Jean Calou    
    1995 2014 Georges Sans    
    2014 2017 Anne Voetzel    
    2017 En cours Marie Echepare[46]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de trois structures intercommunales[47] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].

    En 2019, la commune comptait 638 habitants[Note 11], en diminution de 4,78 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9029199051 1059841 273927918915
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    822750752710673666672590540
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    482492479413391386402345320
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    358347483572562612617663697
    2014 2019 - - - - - - -
    653638-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune fait partie de l'aire urbaine d'Oloron-Sainte-Marie.

    Économie

    L'activité est principalement agricole (polyculture, élevage, pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    Église Saint Pierre - Eysus

    L'église Saint-Pierre[52], d'origine romane, fut reconstruite aux XVIe et XVIIe siècles. À la fin des années 1950, le toit de l'église fut réparé grâce au soutien financier d'une communauté béarnaise de San Francisco, Los Angeles et Californie plus généralement.

    Équipements

    La commune dispose d'une école primaire, d'un fronton couvert, d'un terrain de tennis et d'une salle des fêtes.

    L'école primaire.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Baptiste Pierre Saurine est un ecclésiastique et un homme politique français, né le à Eysus et décédé le à Strasbourg (Bas-Rhin).
    • Auguste-Guillaume Liurette, administrateur en chef des Colonies de 1re classe, né le à Eysus et décédé le à Garlin[53].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Eysus » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Eysus », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Eysus », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Eysus », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune d'Eysus », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Eysus et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Eysus et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches d'Eysus », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale d'Eysus », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le gave d'Aspe ».
    10. Sandre, « l'Ourtau ».
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Oloron-Ste-Mari - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Eysus et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Oloron-Ste-Mari - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Eysus et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Eysus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7200792 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Eysus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF la « vallée d'Aspe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    32. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    35. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    36. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    38. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    39. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    40. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
    41. Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    42. Titres publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
    43. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    44. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    45. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    46. « Marie Echepare, élue maire après la démission d’Anne Voeltzel », sur La République des Pyrénées, (consulté le ).
    47. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    52. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
    53. « Liurette, Auguste Guillaume », base Léonore, ministère français de la Culture, p. 1.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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