Bidos

Bidos [bidɔs] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Bidos

Le village.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Françoise Assad
2020-2026
Code postal 64400
Code commune 64126
Démographie
Gentilé Bidosien
Population
municipale
1 109 hab. (2019 )
Densité 815 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 10′ 45″ nord, 0° 36′ 17″ ouest
Altitude Min. 213 m
Max. 267 m
Superficie 1,36 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Oloron-Sainte-Marie
(banlieue)
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bidos
Géolocalisation sur la carte : France
Bidos
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Bidos
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Bidos
Liens
Site web www.bidos.fr

    Le gentilé est Bidosien[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Bidos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 35 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Oloron-Sainte-Marie (1,8 km), Agnos (2,0 km), Goès (2,6 km), Gurmençon (2,6 km), Précilhon (2,8 km), Estos (3,4 km), Ledeuix (4,4 km), Eysus (4,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Bidos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Communes limitrophes de Bidos[7]
    Oloron-Sainte-Marie
    Agnos Gurmençon

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Bidos.

    La commune est drainée par le gave d'Aspe[8],[Carte 1].

    Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 223 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oloron-Ste-Mari », sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964[15] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 341,2 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 28 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) »[23], d'une superficie de 1 595 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[24],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[25],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du département[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 8],[25],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Bidos est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[28],[29],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Oloron-Sainte-Marie, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[31] et 16 948 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32],[33].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune du pôle principal[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[34],[35].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (68,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (64,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (66,6 %), prairies (18,4 %), terres arables (6 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %), forêts (1,9 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    À partir du 26 juin 2016, à la suite du prolongement de la ligne Pau-Canfranc d'Oloron à Bedous, une gare sera ouverte sur le territoire de la commune. Elle permettra de rejoindre Bidos en train (TER Nouvelle-Aquitaine).
    Bidos est par ailleurs desservie par la route nationale 134.

    Toponymie

    Le toponyme Bidos apparaît sous les formes Abidos (XIe siècle[37], for d'Oloron[38]), Bedos (1267, cartulaire d'Oloron[39]), Viudos pres Oloron et Vidos (respectivement vers 1540[37] et 1546[37], réformation de Béarn[40]).

    On peut penser à l'occitan bidòs tordu, qui est de travers »), mais il s'agit plutôt, d'après André Pégorier, d'un toponyme lié à un arbre, peut-être une espèce d'aulne ou de sorbier. On peut également penser que le nom original était Bidehotz qui signifie en basque "chemin froid" en référence à la route qui partait d'Iluro (hiri uro "Ville d'eau" en basque) vers les froides Pyrénées.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 1971 René Gruel   chef du camp de concentration de Gurs de à [41]
    1995 2001 Hubert Lévy    
    2001 2008 Jean-Jacques Bordenave    
    2008 2020 André Paillas    
    2020 2026 Françoise Assad    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de quatre structures intercommunales[42] :

    • la communauté de communes du Piémont Oloronais ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat de télévision d'Oloron-Vallée d'Aspe ;
    • le syndicat intercommunal d'assainissement de la Porte d’Aspe.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].

    En 2019, la commune comptait 1 109 habitants[Note 11], en diminution de 8,57 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    140155124171187174193173163
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    145171145177177195203206212
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    237224240243239260263270250
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5701 0181 2151 3121 3171 1941 1831 1581 145
    2019 - - - - - - - -
    1 109--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune fait partie de l'aire urbaine d'Oloron-Sainte-Marie.

    Économie

    Bien que fortement marquée par l'agriculture (polyculture, élevage, pâturages), l'activité s'est également orientée vers l'industrie, avec deux établissements, Messier-Bugatti-Dowty, fabricant de trains d'atterrissage (810 salariés en 2012[47]) et les établissements Lartigues (tissage de toiles basques).

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    L'usine Messier.
    Route du Somport.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le château de Lassalle[48] date du XVIIIe siècle. Il fait l'objet d'une inscription de la part des monuments historiques. Son revêtement mural intérieur[49] est classé à titre d'objet par le ministère de la Culture.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Martin-de-Tours fut construite[50] à la fin du XIXe siècle. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

    Équipements

    La commune dispose d'une école primaire.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Bidos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Bidos », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Bidos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Bidos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Bidos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Bidos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Bidos et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Bidos », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    8. « Fiche communale de Bidos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le gave d'Aspe ».
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Oloron-Ste-Mari - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Bidos et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Oloron-Ste-Mari - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Bidos et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bidos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7200792 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bidos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    35. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    37. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    38. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques : manuscrit du XIVe siècle.
    39. Titres publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca.
    40. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    41. « Gurs : les chefs de camp », sur le site de l’amicale du camps de Gurs (consulté le ).
    42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    47. «  Messier Bugatti Dowty continue d’investir sur son site de Bidos », L'Usine nouvelle, 2 février 2012.
    48. « Le château de Lassalle », notice no PA64000061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Le revêtement mural du château de Lassalle », notice no PM64000902, base Palissy, ministère français de la Culture.
    50. « L'église Saint-Martin-de-Tours », notice no IA64000606, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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