Aslonnes
Aslonnes [alɔn] est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Aslonnes | |||||
L'ancien prieuré de Laverré. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Vallées du Clain | ||||
Maire Mandat |
Roland Bouchet 2020-2026 |
||||
Code postal | 86340 | ||||
Code commune | 86010 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aslonnois | ||||
Population municipale |
1 119 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 49 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 26′ 39″ nord, 0° 20′ 07″ est | ||||
Altitude | 130 m Min. 81 m Max. 139 m |
||||
Superficie | 23,00 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vivonne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Géographie
Aslonnes est une commune rurale.
La commune est proche du parc naturel régional de la Brenne.
Les habitants de Aslonnes sont appelés les Aslonnois et les Aslonnoises.
La commune est composée de plusieurs anciens bourgs : Vaintray, Laverré, Fontjoise, Jouarenne et des hameaux Puygrenioux, Pigerolles, Benest.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La région d'Aslonnes présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose de groies profondes pour 76 % dans les plaines, d'argile à silex et de bornais pour respectivement 10 % et 1 % situés sur les plateaux du seuil du Poitou et de 13 % de calcaire qui se trouve dans les vallées alluviales[1]. Les groies sont des terres du Sud-Ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite.
Hydrographie
La commune est traversée par 4 km de cours d'eau, avec comme rivière principale le Clain sur une longueur de 3 km et la Clouère.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vernon », sur la commune de Vernon, mise en service en 1986[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 792,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 15 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Voies de communication et transports
Les gares les plus proches se trouvent à Iteuil (4,8 km), à Vivonne (5,58 km), à Ligugé (8,63 km), à Anché (12,23 km) et à Mignaloux-Beauvoir (11 km).
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Poitiers-Biard qui se trouve à 16,2 km.
Urbanisme
Typologie
Aslonnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,7 %), prairies (18,3 %), forêts (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), zones urbanisées (3,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
- Préhistoire et Antiquité
La lèvre de la falaise surplombant la vallée du Clain puis de la Clouère fut longtemps un point stratégique : dolmen d'Arlait (sur la commune de Château-Larcher) et menhir attestant une présence au néolithique près de Vaintray, camp romain à Vaintray, camp d'Alaric.
- Temps modernes
Aslonnes accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le point de ralliement de toutes les fêtes et évènements de l’époque, comme le brûlement des titres féodaux en mars 1793[21].
- Époque contemporaine
Durant la Seconde Guerre mondiale, un terrain d’atterrissage clandestin avait été aménagé par la Résistance à proximité du village de Médelle (commune de Marnay), au lieu-dit Brenuchet. Il fut utilisé plusieurs fois pour des opérations pick up, jusqu’à la nuit du 17 au 18 mars 1943. Deux Lysander se posent sur un terrain détrempé, déposent quatre passagers et redécollent avec quatre autres, malgré l’incendie d’un moteur. Mais les traces laissées dans le terrain détrempé poussent l’occupant allemand à faire creuser des tranchées, qui empêchent toute nouvelle utilisation[22]. Les hommes des villages alentour (Médelle, Fontjoise...) doivent alors s'équiper de leurs pelles et pioches pour creuser ces tranchées.
En 1945, pour fêter la Libération et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté. Ce noyer existait toujours en 1988[23].
Politique et administration
Intercommunalité
La commune d'Aslonnes fait partie de la communauté de communes de la Région de La Villedieu-du-Clain. C'est une structure intercommunale qui regroupe les 9 autres communes suivantes :
Liste des Maires
Instances judiciaires
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Jumelage
Aslonnes est jumelée avec Wachtberg-Berkum (Allemagne) et Bernareggio (Italie).
Population et société
Démographie
Les habitants sont nommés les Aslonnois[25].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2019, la commune comptait 1 119 habitants[Note 8], en augmentation de 5,37 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 42 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 1 049 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (23 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 1 026 habitants.
En 2004, selon l'INSEE:
- Le nombre de célibataires était de 32,5 %.
- Les couples mariés représentaient 57,5 % de la population.
- Les divorcés représentaient 5,3 % de la population.
- Le nombre de veuves et veufs était de 4,7 %.
La répartition par sexe est la suivante:
- en 1999: 50,7 % d'hommes et 49,3 % de femmes.
- en 2004: 49,9 % d'hommes et 50,1 % de femmes.
- en 2010: 50,7 % d'hommes et 49,3 % de femmes.
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Poitiers et son école primaire publique Paul-Baudrin dépend de l'inspection académique de la Vienne.
Économie
Agriculture
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 21 exploitations agricoles en 2010 contre 30 en 2000[30].
Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté et sont passées de 1 920 hectares en 2000 à 2 037 hectares en 2010[30].Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[31].
50 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre pour la moitié, orges et maïs), 18 % pour les oléagineux (surtout colza et un peu de tournesol) , 14 % pour le fourrage et 10 % reste en herbes. En 2010 comme en 2000, un hectare est consacré à la vigne[30].
8 exploitations en 2010 (contre 12 en 2000) abritent un élevage de bovins (801 têtes en 2010 contre 890 têtes en 2000). 6 exploitations en 2010 (contre 7 en 2000) abritent un élevage d'ovins (148 têtes en 2010 contre 149 têtes en 2000). L'élevage de volailles stagne comme l'élevage des ovins : 506 têtes en 2000 répartis sur 13 fermes contre 541 têtes en 2010 répartis sur 10 fermes.
L'élevage de chèvres se maintient : en 2010, il y a 694 têtes répartis sur 6 fermes, en 2000 : 615 têtes 5 exploitations[30]. La vocation laitière du troupeau est très forte. Moins de 2 % des élevages caprins sont non laitiers en 2000. La quasi-totalité de la production laitière, en constante augmentation (de 2000 à 2011 : + 44%[32]) est livrée à l’industrie agro-alimentaire soit 96 % des 485 000 hectolitres récoltés dans l’ensemble du département de la Vienne en 2004. La production de fromage à la ferme reste très marginale et ne représente que 1 % de la production de lait et 6 % des fermes. 75 % des élevages sont basés sur un système de production de type hors sol, la surface agricole étant destinée essentiellement dans ce cas, à la production de fourrage. 75 % de ces exploitations n’élèvent que des chèvres. Le dynamisme de cet élevage, l’accent porté sur la qualité des produits a permis d’obtenir les AOC chabichou du Poitou et Sainte-Maure de Touraine pour les fromages produits[33].
Commerces
Selon l'INSEE, en 2009, il restait un seul commerce dans le bourg: une épicerie.
Emploi et activité
Le taux de chômage était de:
- en 1999: 11,2 %.
- en 2004: 5,2 %.
- en 2010: 3,7 %.
Les retraités et les préretraités représentaient 13,8 % de la population en 2004 et 13 % en 1999.
Le taux d'activité était de 80,7 % en 2004 et de 75,8 % en 1999.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
- L'église Notre-Dame d'Aslonnes possède deux belles cloches : l'une date de 1577 et c'est l'une des 12 cloches recensées datant du XVIe siècle du département de la Vienne ; l'autre date de 1672. L'une d'elles porte en lettres gothiques l'inscription : " CELO SUM(IN) TERRAM. SERIS. DIEU. A CE DONNE. Jacques de COUE. MVCXXXVII.". Au-dessus un relief représente une croix qui domine l'écusson de Jacques de Coué. Couronnant cette inscription, une guirlande où les fleurs de lys alternent avec les trèfles. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[34].
- Les jardins du prieuré de Laverré : au pied du prieuré, le jardin regroupe 600 espèces de plantes, pour l'essentiel des variétés anciennes. Derrière la demeure, se trouve un carré de buis à l'italienne de la Renaissance, des carrés de plantes et de légumes. Le jardin a obtenu le label "Jardin remarquable".
- Prieuré de Laverré est inscrit comme monument historique depuis 1938 pour sa chapelle, l'échauguette et sa tour carrée tandis que le logis et le terrain l'ont été en 2002.
Patrimoine civil
- Dolmen de Laverré classé au titre des monuments historiques en 1889[35]. Le pierrier alentour est classé par arrêté du 14 avril 1958[36].
- Menhir de la Jument-Guignard classé au titre des monuments historiques en 1889[37] comme cromlech.
Patrimoine naturel
La commune possède trois petites zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) [38] qui couvrent 1 % de la surface communale:
- L'ile du Divan.
- Le plateau de Thorus.
- La sources tuffeuses de Port Laverre.
Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[39], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un noyer commun.
Le plateau de Thorus
C'est un site classé zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) [38]. Le plateau représente 4 % de la surface de la commune.
Les sols du plateau sont des groies peu profondes, riches en cailloux calcaires, à faible réserve en eau. Ces terres sont très sélectives pour la végétation. En effet, notamment l'été lorsque la pluie est rare, la végétation présente un aspect maigre et rabougri. Compte tenu de ces conditions particulières, une végétation très originale a pu se développer, composée de buissons de genévrier, de spirées, de chênes pubescents. Cette zone présente un intérêt biologique et botanique remarquable, dont témoignent notamment neuf espèces végétales qui participent à la richesse du patrimoine végétal du département de la Vienne :
- Le bugle de Genève
- la campanule à petites fleurs
- la capillaire de Vénus
- la corydale à bulbe plein
- le géranium sanguin est une plante à affinité méridionale qu'il est très surprenant de rencontrer sous un climat océanique tempéré
- l'hélianthème à feuilles de saule
- la sabline des chaumes : cette espèce endémique en France, qui bénéficie à ce titre d'une protection officielle au niveau national, est très rare dans le Poitou. On ne la retrouve, en effet, que dans deux autres localités du département de la Vienne.
- le spirée d'Espagne : c'est un buisson originaire des steppes asiatiques et on ne le trouve, dans le département de la Vienne, que sur le plateau de Thorus.
- la véronique prostrée.
Équipement culturel
La commune a une bibliothèque municipale.
Personnalités liées à la commune
- Sylvain Mabille de Poncheville habitant à Aslonnes est triple médaillé d'or au Concours "un des Meilleurs Apprentis de France" dans les catégories ; serrurerie-métallerie (2011), ferronnerie (2010), et monture en bronze (2010).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vernon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Aslonnes et Vernon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vernon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aslonnes et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 194.
- Christian Richard, 1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions, , 348 p. (ISBN 2-84561-203-6), p. 71-76.
- Robert Petit, op. cit., p. 219.
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 27/09/2008.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste – Enquête Structure 2007
- Panorama de l’Agriculture en Vienne – juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
- Agreste – Bulletin no 11 de décembre 2005
- « Eglise paroissiale Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Dolmen de Laverré », notice no PA00105337, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Perrier avec le dolmen dit de Laverré », notice no PA00105338, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Cromlech », notice no PA00105336, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011
- Poitou-Charentes Nature, 2000
- Portail des communes de France
- Portail de la Vienne