Avesnes-le-Sec

Avesnes-le-Sec est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Avesnes (homonymie).

Avesnes-le-Sec

Une rue proche de l'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut
Maire
Mandat
Claude Regniez
2020-2026
Code postal 59296
Code commune 59038
Démographie
Gentilé Avesnois, Avesnoises
Population
municipale
1 449 hab. (2019 )
Densité 139 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 01″ nord, 3° 22′ 42″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 77 m
Superficie 10,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Denain
Législatives Dix-neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Avesnes-le-Sec
Géolocalisation sur la carte : France
Avesnes-le-Sec
Géolocalisation sur la carte : Nord
Avesnes-le-Sec
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Avesnes-le-Sec

    Géographie

    Localisation

    Avesnes-le-Sec est situé au sud-est du département du nord à 18,6 km de Valenciennes, 14,4 km de Cambrai et 70 km de Lille[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 723 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 42 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Avesnes-le-Sec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,1 %), zones urbanisées (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Avisina en 775[22]; Avesnis siccis en 1057; Avesnœ siccœ en 1196 (Le Carpentier, 2.128); Advesnas siccasen 1233; Avesnes les seke(s) en 1261 et 1273[23].

    Albert Dauzat et Ernest Nègre excluent cet Avesnes des noms de lieux qui remontent à l'ancien français aveine, avainne, avene « avoine », mot issu du latin avena[22]. En effet, les formes les plus anciennes de ce type toponymique sont du type Avis(i)n- / Avesn- cf. aussi Avesnes-Chaussoy (Somme, Avisnas 751); Avesnes-en-Bray (Seine-Maritime, Avisnis 862), ainsi que les formes modernes qui ont conservé leur /s/ étymologique. En outre, ce type toponymique est caractéristique du nord du domaine d'oïl, dans une zone où les toponymistes identifient un certain nombre d'appellatifs d'origine germanique, inconnus plus au sud.

    Pour ces raisons, Maurits Gysseling et à sa suite François de Beaurepaire ont considéré qu'il s'agissait du germanique afisna / avisna « pâturage »[24],[25] cf. vieil anglais æfesn « pâturage ». On identifie effectivement ce type toponymique dans un paysage de bocage et d'herbages comme le pays de Bray ou l’Avesnois. En outre, des formations toponymiques avec l'article défini l ou les, plus tardives, confirment cette signification, par exemple : Les Avesnes (Seine-Maritime, Communes patures nommées les Avesnes dans le fief de Montérolier 1455) contrairement à ce qu'affirme Ernest Nègre.

    Histoire

    • 1057, l'évêque Liebert donne aux chanoines de Saint-Aubert de Cambrai, altare de Avesnis siccis
    • 1384, le comte de Hainaut, Albert Ier de Bavière exempt tout étranger venant habiter à Avesnes-le-Sec du droit de meilleur cattel.
    • 17 juillet 1712, les Anglais, après s'être séparés des alliés austro-hollandais, campent à Avesnes-le-Sec. Le 23, lors de la Bataille de Denain le Maréchal de Villars s'installe dans le moulin comme point d'observation de la plaine.

    Le parc éolien du chemin d'Avesnes à Iwuy est mis en service en 2019, il comporte onze éoliennes et est également sis sur le finage d'Iwuy[26].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Maire en 1802-1803 : P. Havez[27].

    René Bavay (PCF), maire en 1981.

    Titulaires de la fonction de maire d'Avesnes-le-Sec
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Alphonse Bury (d)[28]
    Henri Levant (d)[29]
    ( - )
    12 ans Parti communiste français
    Michel Poulain (d)[30],[31]7 ans
    Jean-Michel Tison (d)[32],[33]6 ans indépendant
    Éric Delvaux (d)[34]
    (né le )
    6 ans et 2 mois divers droite
    Claude Régniez (d)
    (né le )
    En cours2 ans, 3 mois et 11 jours

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2019, la commune comptait 1 449 habitants[Note 8], en augmentation de 1,33 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    9721 2591 5161 6071 5671 6171 6871 6111 690
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 7281 6311 6411 7341 7851 8381 8421 8511 840
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 8751 8881 4561 5931 5801 5401 5091 6451 663
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    1 6181 5841 4861 3891 2811 3351 3501 4301 445
    2019 - - - - - - - -
    1 449--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 722 hommes pour 723 femmes, soit un taux de 50,03 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ou +
    0,8 
    4,7 
    75-89 ans
    10,1 
    13,6 
    60-74 ans
    14,8 
    19,0 
    45-59 ans
    18,3 
    20,9 
    30-44 ans
    22,3 
    18,3 
    15-29 ans
    14,4 
    23,4 
    0-14 ans
    19,4 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Santé

    Le village a à sa disposition une pharmacie ainsi que de deux médecins et d'un pôle santé

    Enseignement

    Avesnes-le-Sec fait partie de l'académie de Lille. Elle dispose d'une école primaire avec six classes.

    Cultes

    Le village est doté d'une église.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Monument aux morts des guerres 1914-1918 et 1939-1944

    Situé rue Rouget-de-Lisle, à gauche à côté de la mairie. Descriptif : un personnage féminin symbolisant la patrie, coiffé d’un voile et longuement drapé, la tête légèrement inclinée sur la gauche, tient à la main une couronne de lauriers et serre dans ses bras un drapeau dont la hampe est brisée. À ses pieds, un casque et un étui à douilles. Le monument commémoratif, d’une hauteur totale de 4 m,80, consiste en une statue en pierre blanche, posée sur un piédestal autrefois entouré d’une chaîne retenue par huit obus. Le piédestal porte, sur la face principale, l’inscription suivante, disposée autour d’une palme et d’une croix de guerre : « Aux enfants / d’Avesnes-le-Sec / morts / pour / le Droit / et la / Liberté / 1914 – 1914 ». Le nom du statuaire est gravé sur le côté droit de la terrasse de la statue. L’inauguration a dû avoir lieu dans le courant de l’année 1922. Le marché pour l’exécution de la statue a été conclu le 13 mars 1920 entre A. Bury, maire d’Avesnes-le-Sec, et le sculpteur Paul Capellaro, de Paris. Le dessin du projet fut dressé et approuvé par le maire, l’architecte et le statuaire le 10 août 1920. Le procès-verbal d’adjudication pour les travaux du piédestal et du socle a été signé le 8 février 1921 par G. Rigot, architecte communal et Oscar Devémy, entrepreneur à Avesnes-le-Sec. (sources : archives d’Avesnes-le-Sec aux ADN, réf. 2 O-37/53 : 1921-1923 et 2 0-37/139 : 1921-1923. Les pièces sont consultables sur https://monumentsmorts.univ-lille.fr/monument/54/ avesnes-le-sec). La liste des 83 noms inscrits sur les faces latérales du monument est consultable sur le site internet MemorialGenWeb (relevé n° 36121).

    • Monument aux morts de la guerre 1870-1871

    Situé à côté de l’église. Descriptif : haute stèle en pierre blanche posée sur un socle qui porte, sur sa face principale, une large palme, et est ceint de quatre bornes en pierre reliées par des barres métalliques. Sur la stèle sommée d'une croix, est gravée cette inscription : Aux enfants / d’Avesnes-le-Sec / morts / pour / la patrie / 1870 - 1871.

    Personnalités liées à la commune

    Lieu de séjour de Manfred von Richthofen, dit le baron rouge[réf. nécessaire]

    Héraldique

    Les armes d'Avesnes-le-Sec se blasonnent ainsi : « De sinople au chevron d'argent accompagné de trois étoiles du même. »


    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Toponymie : André Bigotte, « Avesnes-le-Sec est-il un anthroponyme », Valentiana, nos 37/38, , p. 13-20 (lire en ligne, consulté le )

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Google Maps », sur Google Maps (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Avesnes-le-Sec et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Avesnes-le-Sec et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 41b.
    23. Statistique archéologique du Département du Nord, seconde partie, Librairie Quarré et Leleu à Lille, A. Durand 7 rue Cujas à Paris, 1867
    24. Maurits Gysseling, Toponymisch woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en Duitsland (vóór 1226), Deel I, Belgisch Interuniversitair Centrum voor Nederlandistiek, 1960, p. 86 (lire en ligne)
    25. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 35.
    26. Fabien Pestiaux, « Avesnes-le-Sec/Iwuy : les éoliennes en service dès le mois d’août », sur https://www.lavoixdunord.fr/, La Voix du Nord, .
    27. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
    28. « Arrêté du 25 mars 1943 : conseil départemental du Nord », Journal officiel de la République française, , p. 873-874 (ISSN 0242-6773, BNF 13320465, lire en ligne) :
      « Bury (Alphonse), maire d'Avesnes-le-Sec »
    29. « Avis de décès de Henri Levant », La Voix du Nord,  : « [...] ont la douleur de vous faire part du décès de monsieur Henri Levant, contremaître retraité d'Usinor à Denain, maire honoraire d'Avesnes-le-Sec, membre du CCAS, ancien président de sociétés locales, décédé à Cambrai, le vendredi 7 septembre 2012, à l'âge de 80 ans. »
    30. Annuaire des mairies du Nord (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , 282 p. (ISBN 2-35258-159-1), p. 30
    31. Guide économique du Nord-Pas-de-Calais, La Voix du Nord, , 320 p. (ISBN 2-84393-090-1), p. 259
    32. « Jean-Michel Tison, maire d’Avesnes-le-Sec: « On a tenu en grande partie nos promesses » », La Voix du Nord,  : « Premier mandat en tant que maire pour Jean-Michel Tison et son équipe, sans étiquette. [...] C’était en mars 2008. Cinq élus sortants d’Avesnes-le-Sec montaient, en sept jours, une troisième liste, pour gagner la mairie du bourg de 1300 habitants. »
    33. « Jean-Michel Tison, maire d’Avesnes-le-Sec, créée la surprise en annonçant qu’il ne se représentera pas ! », La Voix du Nord,  : « Lorsque nous l’avions rencontré, en octobre 2013, dans le cadre de nos bilans des maires, Jean-Michel Tison nous avait confié qu’il dirait en janvier s’il briguerait ou non un nouveau mandat. Dimanche matin, le maire d’Avesnes-le-Sec a créé la surprise en annonçant que la campagne 2014 se fera sans lui. »
    34. « Éric Delvaux élu maire à Avesnes-le-Sec, sera entouré de trois adjoints », La Voix du Nord,  : « Éric Delvaux, élu au premier tour face à Olivier Coleau, succède à Jean-Michel Tison dans la fonction de maire. »
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Avesnes-le-Sec (59038) », (consulté le ).
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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