Bazian (Gers)
Bazian (Basian en gascon) est une commune française située dans le centre du département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Auch, un territoire céréalier et viticole qui s'est également constitué en pays au sens aménagement du territoire en 2003.
Bazian | |
Le château de Bazian. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gers |
Arrondissement | Auch |
Intercommunalité | Communauté de communes d'Artagnan en Fézensac |
Maire Mandat |
Véronique Coelho 2020-2026 |
Code postal | 32320 |
Code commune | 32033 |
Démographie | |
Gentilé | Bazianais, Bazianaise |
Population municipale |
107 hab. (2019 ) |
Densité | 8,4 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 40′ 13″ nord, 0° 19′ 23″ est |
Altitude | 300 m Min. 126 m Max. 234 m |
Superficie | 12,71 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Vic-Fezensac (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Fezensac |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Osse, la Mouliaque et par divers autres petits cours d'eau.
Bazian est une commune rurale qui compte 107 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 551 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Vic-Fezensac. Ses habitants sont appelés les Bazianais ou Bazianaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : la porte fortifiée de Saint-Yors, inscrite en 1973, la tour, inscrite en 1974, et le château, inscrit en 2008.
Géographie
Localisation
Bazian est une petite commune de Gascogne gersoise. Elle est située à 10 km du chef-lieu du canton, Vic-Fezensac. Le village est bâti au sommet du coteau (altitude 177 mètres), sur le versant ouest dominant la vallée de l'Osse.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Bazian est bâtie sur un éperon rocheux qui domine la Mouliaque, modeste affluent de l'Osse.
Bazian se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Osse, la Mouliaque, un bras de l'Osse, la Dourougne et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[4],[Carte 1].
L'Osse, d'une longueur totale de 120,3 km, prend sa source dans la commune de Bernadets-Debat et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Andiran, après avoir traversé 36 communes[5].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lupiac », sur la commune de Lupiac, mise en service en 1984[11] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 852,9 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 21 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] à 13,5 °C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].
Urbanisme
Typologie
Bazian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[I 1],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vic-Fezensac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), zones agricoles hétérogènes (30,5 %), prairies (19,4 %), forêts (1,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le nom de la commune de Bazian est sans doute d'origine gallo-romaine, du nom d'un propriétaire, Basius.[réf. nécessaire]
Histoire
L'emplacement d'une villa gallo-romaine, à quelque trois cents mètres du bourg actuel, a été récemment repéré et a livré son lot de matériaux de construction (tegulae, mortiers, marbre) et de fragments de poteries, de céramique sigillée, d'amphores. Après la période de stabilité gallo-romaine, une partie de la population se déplace en direction du sud-est vers la source du Buc où l'on retrouve les lieux-dits Au loc, A la place, et l'autre se disperse sur le territoire. A mesure que le christianisme s'établit, les vassi-dominici bâtissent quelques églises rurales, toutes aujourd'hui disparues : Saint-Pé de Yassa, Sainte-Christie, Saint-Michel et autre Gleyzette d'Antin.
La date précise de la création du château et de son castelnau est inconnue, mais ils ont été sans doute édifiés sur l'emplacement d'une motte castrale. Le nom de son église figure[Où ?] dès le XIe siècle. Bazian apparaît comme un castelnau à l'urbanisme le plus achevé, l'enceinte villageoise épouse parfaitement la forme du sommet de l'éperon (Benoît Cursente) dominant la Mouliaque, modeste affluent de l'Osse. À l'ouest, le château occupe l'extrémité du promontoire. Toujours dans l'enceinte, l'église se trouve à l'opposé de ce dernier. On accède au village-rue en passant sous la tour-porche de plan carré encore conservée sur quatre niveaux. Autant d'éléments qui caractérisent bien le castelnau gascon.
Les barons De Montesquiou apparaissent, dès le XIIe siècle, à l'origine du château et du castelnau. Ils y séjournent régulièrement comme le confirment de nombreux actes. Après le partage de la baronnie en 1479, la terre de Bazian passe par succession aux vicomtes de Lavedan, fondus au XVe siècle dans les Du Lyon puis dans la famille de Bourbon. Celle-ci transforme la bâtisse aux XVIe et XVIIe siècles par d'importantes adjonctions, créations d'ouvertures, de tourelles en surplomb.
La Révolution n'arrête pas la lignée des seigneurs de Bazian, elle se perd seulement à la fin du XIXe siècle avec la comtesse De Mesnard. Avant sa mort, elle vend le château et la propriété contiguë à une famille d'agriculteurs. Cette dernière laisse la bâtisse à l'abandon jusqu'à la fin du XXe s. où les actuels propriétaires entreprennent une restauration réussie.
Les commerçants (boulanger, épicier, cafetier) disparurent progressivement à partir des années 1950. Le boucher, le dernier, a pris sa retraite voici quelques années. Le prêtre n'habite plus le presbytère et l'école communale ne résonne plus des cris des enfants. Moins de vingt exploitations agricoles demeurent, mais l'âge des exploitants fait craindre une désertification encore plus dramatique.
- Saint-Yors (Saint-Georges en gascon) était un petit castelnau fondé dans la seconde moitié du XIIIe siècle par la famille de Lasséran, branche cadette des De Montesquiou. En 1307, Guillaume De Lasséran accorde des coutumes aux habitants du lieu. Cette famille vend la seigneurie à la fin du XVe s. aux De Marrenx. Par succession, elle passera aux Du Barry qui conservent leur bien jusqu'au XXe siècle. Il ne reste rien aujourd'hui de ce qui fut le village de Saint-Yors. Des fortifications du castelnau ne reste qu'une tour-porche, vestige insolite, plantée en rase campagne. L'église, bâtie sur un promontoire, à quelques centaines de mètres, est aujourd'hui complètement ruinée. La commune de Saint-Yors est rattachée en 1840 à Bazian.
Politique et administration
Administration municipale
Bazian adhère depuis le , à la communauté de communes de d'Artagnan en Fezensac dont le siège est à Vic-Fezensac.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25]. En 2019, la commune comptait 107 habitants[Note 6], en diminution de 7,76 % par rapport à 2013 (Gers : +0,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
Bazian n'échappe pas au dépeuplement vécu par les communes rurales du Gers. Lors du premier recensement, Bazian comptait 343 habitants et Saint-Yors 132, soit un total de 475 habitants. Au recensement de 1826, la population culminera à 603 habitants (419 + 184), avant de chuter inexorablement : 540 en 1851, où l'on compte encore 124 maisons, 464 en 1872, 385 en 1906. La guerre de 14-18, 13 jeunes morts pour la patrie, amplifiera cette tendance. On ne compte plus que 211 habitants en 1946, 114 habitants en 1990 et seulement 102 en 1999.
En ce début du XXIe siècle, environ un tiers du patrimoine bâti appartient à des ressortissants de la Communauté européenne ou Américains qui viennent passer ici leurs vacances, parfois leur retraite.
Manifestations culturelles et festivités
- Fête patronale : 1er dimanche de décembre[28] ;
- Fête communale : Ascension[28].
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 4,2 % | 4,3 % | 6,8 % |
Département[I 5] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 59 personnes, parmi lesquelles on compte 74,6 % d'actifs (67,8 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 25,4 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Vic-Fezensac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 23 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 41, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,4 %[I 8].
Sur ces 41 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 82,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
11 établissements[Note 8] sont implantés à Bazian au [I 11]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,3 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 11 entreprises implantées à Bazian), contre 27,7 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans le Ténarèze, une petite région agricole occupant le centre du département du Gers, faisant transition entre lʼAstarac “pyrénéen”, dont elle est originaire et dont elle prolonge et atténue le modelé, et la Gascogne garonnaise dont elle annonce le paysage[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 23 | 17 | 11 | 12 |
SAU[Note 10] (ha) | 1 211 | 1 103 | 1 140 | 1 380 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 17 en 2000 puis à 11 en 2010[31] et enfin à 12 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[32],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 211 ha en 1988 à 1 380 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 53 à 115 ha[31].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le village, modèle de castelnau avec son château, le reste de ses remparts, ses vieilles maisons dont certaines très anciennes à colombages, ses ruelles étroites engazonnées. Le prix du patrimoine de la Société Archéologique, décerné en 2001, est venu récompenser l'effort de restauration réalisé ces dernières années.
- Le château de Bazian occupe la tête de l'éperon rocheux au sud-ouest du village. Une partie de son bâti en appareil moyen remonte à la création du château primitif par les De Montesquiou. La bâtisse actuelle, objet des aménagements des XVIe et XVIIe siècles, s'élève sur trois niveaux. Deux pavillons carrés la flanquent. La partie sud-est fortement dégradée, flanquée de deux tourelles en surplomb en cul de lampe, aujourd'hui découronnées, témoigne de cette aile sur un étage qui se raccordait au bâtiment principal. L'intérieur du château est riche d'un décoration peinte.
- La tour-porte, de plan carré, conservée sur quatre niveaux et coiffée d'une couverture en tuiles canal à quatre eaux (I.S.M.H. 01/08/74).
- L'église Saint-André, à l'entrée du village, a subi de profondes modifications depuis sa création ; son origine se confond avec celle du castelnau. La comtesse De Mesnard offrit, vers 1870, une partie de sa fortune pour embellir l'édifice. L'abbé Lahille, dernier curé de Bazian, en exercice pendant plus de 50 ans, fit intervenir, en 1929, les frères Lasséran pour décorer l'ensemble de l'édifice.
- Tabernacle en bois doré des XVe – XVIe siècles (I.S.M.H.).
- Dernier vestige de l'ancienne communauté de Saint-Yors (Saint-Georges) rattachée en 1840, la tour-porte trône, solitaire, au milieu d'un terrain agricole. Comme au village, la porte en arc brisé ouvre sur un couloir voûté en plein cintre ; elle n'a qu'un étage et pas de toiture[33].
- La pietà de l'église de Saint-Georges, du XVIe siècle, en bois polychrome, a été transférée au trésor de la cathédrale Sainte-Marie d'Auch (I.S.M.H.).
- Le petit patrimoine offre à celui qui sait le découvrir les moulins sur la crête du village, le pigeonnier hune sur le padouen, les puits aux abords du village et dans la cour du château, la source et lavoir au Buc, les fontaines au Buguet, Lassalle, Sainte-Christie, Cabos.
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Bazian » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bazian » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bazian » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Bazian » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Bazian », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Osse »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lupiac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bazian et Lupiac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lupiac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bazian et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bazian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Bazian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Bazian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Site de la préfecture - fiche de Bazian
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bazian - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
- I.S.M.H. 15/03/73
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