Bazouges-la-Pérouse

Bazouges-la-Pérouse est une commune française homologuée « petite cité de caractère », située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 856 habitants[Note 1] (les Bazougeais).

Pour les articles homonymes, voir Bazouges (homonymie).

Bazouges-la-Pérouse

Mairie de Bazouges-la-Pérouse

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Couesnon Marches de Bretagne
Maire
Mandat
Pascal Hervé
2020-2026
Code postal 35560
Code commune 35019
Démographie
Gentilé Bazougeais
Population
municipale
1 856 hab. (2019 )
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 37″ nord, 1° 34′ 23″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 116 m
Superficie 58,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val-Couesnon
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Bazouges-la-Pérouse
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Bazouges-la-Pérouse
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Bazouges-la-Pérouse
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Bazouges-la-Pérouse
Liens
Site web www.bazougeslaperouse.fr

    Géographie

    Bazouges est un village situé à 43 km au nord-est de Rennes sur la route de Pontorson entre Fougères et Combourg.

    Hydrographie

    Le territoire communal est notamment traversé au sud par la Tamout.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 908 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 811,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bazouges-la-Pérouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,3 %), zones agricoles hétérogènes (30,5 %), forêts (21 %), prairies (13,1 %), zones urbanisées (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attesté sous les formes Basilgis au XIIe siècle et Basocha à 1292[21].

    Le nom de la ville serait un dérivé de basilica et de pétra qui deviendra pierreuse puis pérouse, « église » et « pierre ».

    Histoire

    Moyen Âge

    Au VIIe siècle, on trouve des premières traces de la paroisse qui appartiendra ensuite à Notre-Dame de Fougères depuis le XIe siècle puis à l'abbaye de Rillé[22] de Fougères vers 1163. Après avoir appartenu à Maffroy de Bazouges en 1090 puis au XIIe siècle à Raoul Ier de Fougères, la châtellenie reste jusqu'en 1789 aux barons de Fougères. Le château de la Ballue en était la maison seigneuriale.

    Temps modernes

    De 1588 à 1590, elle passe tour à tour aux mains de Ligueurs et des Royaux. Pillée par les soldats anglais sous le commandement de Montbarot, gouverneur de Rennes en 1590, les habitants se réfugient au château, mais doivent payer aux Anglais 180 livres pour éviter que les vitraux de l'église soient brisés.

    Le règlement du évoque des toiles de halles et d'emballages tissées autour de Bazouges[23].

    La Révolution

    L’organisation des fêtes révolutionnaires témoigne du maintien d’un sentiment favorable au nouveau régime, surtout après la fin de la Terreur :

    • les victoires des armées républicaines sont fêtées, notamment la paix avec l’Autriche, principal ennemi de la France, en brumaire an VI[24] ;
    • l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, est fêté (à partir de 1795)[25] ;
    • la fête du 26 messidor (14 juillet) à partir de 1794[24] ;
    • les autres fêtes républicaines sont suivies, comme la fête de la Reconnaissance et la fête de l’Agriculture, pourtant peu suivie dans le département (les 10 prairial et 10 messidor[26]).

    Cela n’empêche pas les manifestations d’une opposition diffuse mais déterminée, la chouannerie[27]. Ainsi, le 8 mars 1796, un combat a lieu dans la forêt de Villecartier[28] entre Républicains et Chouans de la région. Deux des chefs de ces derniers, le chevalier de la Vieuville[29] et le vicomte de Sérent furent tués et enterrés par les paysans ; le premier dans la forêt, le second transporté par un paysan nommé Briant, le fut secrètement dans un champ lui appartenant. Un pommier marquait la tombe. En 1831, la famille fit exhumer le corps et transféra les restes à Paris[30].

    Le XIXe siècle

    La nomination en 1833 de Pierre Cornillet[Note 7], jeune instituteur sortant de l'École normale de Rennes, provoque lors de la messe du un violent réquisitoire du curé Barbot qui voit dans l'ouverture d'une école communale une véritable provocation à l'encontre de l'école congréganiste ouverte en 1825 ; l'école nouvelle est présentée par lui comme une école d'athéisme, imposée par la violence à une population chrétienne. Le curé, poursuivi, fut relaxé par la justice et l'affaire fut évoquée dans les journaux de la région. L'instituteur obtint une autre affectation à Bais[31].

    La Seconde Guerre mondiale

    En 1940, lors de la réquisition de la maison malouine de feu Louis Duchesne par le général allemand Andreas von Aulock, l'infirmière Anne Miniac (1895-1975) évacue le mobilier de l'historien et l'installe chez elle, au 8 place de la Mairie à Bazouges. La maison de Duchesne au Chemin de la Corniche étant partiellement détruite par les bombardements de l'été 1944, Anne Miniac a ainsi sauvé ce mobilier, dont la bibliothèque.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D’argent à trois arbres de sinople, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lys d’or.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790  ? Julien Delafosse   Sieur de La Touche
    Les données manquantes sont à compléter.
    1801 1811 Julien-Joseph Delafosse
    (1769-1834)
       
    1815 1822 M. Huchet de Quénétain    
    1822 1830 Alexandre-Julien Delafosse Légitimiste Magistrat
    Député d'Ille-et-Vilaine (1849 → 1851)
    Les données manquantes sont à compléter.
    Maire en 1833  ? Victor Constant Savary
    (1791-1852)
      Médecin
    Conseiller d'arrondissement
    Maire en 1840  ? Saturnin Poinçon
    de la Blanchardière
      Maire nommé par le Roi[32]
    Les données manquantes sont à compléter.
    1871 Marie-Joseph Delafosse Monarchiste Député d'Ille-et-Vilaine (1889 → 1893)
    Conseiller général d'Antrain (1871 → 1883 et 1889 → 1895)
    Décédé en fonction
    Alexandre Delafosse
    (1867-1961)
      Fils du précédent
    Alfred Prodhomme
    (1864-1949)
    Rad. Conseiller d'arrondissement
    Démissionnaire
    Hyacinthe Morel
    (1881-1973)
    Rad.ind. Cultivateur, maire honoraire
    Jean Tizon    
    Raymond Duval DVD Boulanger, maire honoraire
    Conseiller général d'Antrain (1976 → 1988)
    [33] Daniel Prévost[34] UMP Professeur de technologie
    Député d'Ille-et-Vilaine (6e circ.) (2002 → 2007)
    Conseiller général d'Antrain (2001 → 2008)
    Vice-président d'Antrain communauté (1995 → 2008)
    [35] En cours Pascal Hervé LDIV[36] Agriculteur
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2013

    En 2013, le budget de la commune était constitué ainsi[37] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 298 000 , soit 678  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 016 000 , soit 530  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 1 175 000 , soit 613  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 1 065 000 , soit 556  par habitant.
    • endettement : 2 064 000 , soit 1 078  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 10,33 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,54 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 30,01 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

    En 2019, la commune comptait 1 856 habitants[Note 8], en augmentation de 2,09 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 0384 0344 4003 8804 5004 0753 9234 1764 245
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 2434 2344 2524 1604 1644 0413 9413 8193 638
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5783 5483 3502 8392 8042 7392 6772 5252 464
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 2692 0551 9992 0291 9511 8541 8471 8401 880
    2014 2019 - - - - - - -
    1 7931 856-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Le village est le siège de la société Riaux, spécialisée dans la fabrication d'escalier. Créée en 1977, cette société employait, en 2012, 230 salariés pour un chiffre d'affaires de 24 millions d'euros[42].

    Culture

    Bazouges est un ancien village perché sur une butte ce qui en a toujours fait un lieu touristique prisé. Depuis les années 1970, de nombreux artisans et artistes se sont installés dans les maisons anciennes autour de la place et alentours, attirant les touristes. Depuis le milieu des années 1990, ces artisans quittent leurs échoppes et la ville se désertifie. Dans ces mêmes années s'installait une association officielle d'Art contemporain : "Le Village, site d'expérimentation artistique"[43].

    Lieux et monuments

    La commune abrite trois monuments historiques :

    • Château de la Ballue, XVIIe siècle, le bâtiment et ses jardins, recréés de 1973 à 1977 par François Hébert-Stevens et Paul Maymond, ont été inscrits monument historique par arrêté du 11 juin 1999[44].
    • Une maison datée de 1604 et située sur la place de la Poterie est inscrite par arrêté du 4 janvier 1934[45].
    • Une maison à encorbellement du XVIIe siècle, située rue de l’Église, est inscrite par arrêté du 11 octobre 1930[46].

    Autres sites et monuments notables :

    • Église prieurale Saint-Pierre-et-Saint-Paul[47],[48] (partiellement gothique). L'église a été entièrement remaniée entre 1844 et 1859 par l'architecte Anger de la Loriais, puis Arthur Regnault a construit un clocher supplémentaire entre 1882 et 1885[48]. Vitrail de 1674 classé le 25 octobre 1919[49].
    • Orgue de chœur de 1889 de l'église Saint-Pierre-Saint-Paul des facteurs d'orgues Debierre Louis et Beuchet Joseph[50],[51].
    • La maison des Pendus à une façade de pierre restaurée[52]. Elle conserve dix têtes d'hommes et de femmes sculptées aux expressions diverses comme des grimaces ou autres expressions pouvant narguer les passant les remarquant.
    • Menhir (pierre dressée) en bordure de la route menant à Cuguen. Il date du Néolithique (2 000 à 5 000 ans av. J.-C.)[53].
    • Forêt de Villecartier.
    • Étang de Villecartier, un des étangs mésotrophes initiaux d'Ille-et-Vilaine[54]
    • Les nombreux fours à pain (plus de 100 dans la commune)[55] et le tout nouveau four à pain bâti à l'ancienne au cœur même du village en 2008[56].
    • Les maisons, fermes, le manoir XVIIe siècle, les croix monumentales, l'oratoire Saint-Mathurin[57], la chapelle de la-Trinité, la chapelle funéraire-chapelle de cimetière... ont fait l'objet d'une étude générale par le service régional de l'inventaire[58].
    • Tombe d'Alexandre Miniac[59].
    • Rocher du Gros Chêne dit « pierre du Sacrifice »[60]. Il existe de nombreuses hypothèses sur le rocher, il s'agirait d'une pierre de sacrifice. La pierre fait objet de légendes et de superstitions. Certaines victimes y auraient été égorgées.
    • Borne milliaire. Elle est d'époque gallo-romaine, elle est en granite d'environ 160 cm de haut[61]. Dans l'ancien temps, les bornes milliaires étaient placées au centre d'un carrefour où convergeaient sept chemins. Dans la région il en reste peu.
    • La Vierge à l'Enfant. Elle a été créée au XIXe siècle. Elle est en bronze et argent. Elle porte son fils à droite[62].
    • Labyrinthe. Une pierre a été retrouvée de ce labyrinthe datant du Moyen Âge. La pierre est en granite. Initialement, elle était placée au centre du labyrinthe dans une grande spirale de 2,60 m. Le symbole d'origine gravé sur le pierre est de style païen. Actuellement, elle est placée à côté de l'église gothique.
    • Le manoir de Martigné, avec sa porte double, charretière et piétonne, flanquée de part et d'autre par deux tours qui datent du XVe siècle, restauré par une association de protection du patrimoine. Il a conservé ses douves, et les traces d'un double pont-levis[63].

    Personnalités liées à la commune

    • Comte Gilles de Ruellan, baron du Tiercent, marquis de la Ballue, vicomte de la Mezière, seigneur du Rocher-Portail et de Mothorin ( ? - 1627)
    • Bienheureux Louis Laurent Gaultier, né le 17 mars 1717 à Bazouges-la-Pérouse, martyr des Carmes décédé le 2 septembre 1792 à Paris. Une plaque commémorative en marbre, datant du XIXe siècle, se trouve dans l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Bazouges-la-Pérouse.[64]
    • Valentin Chevetel, médecin et indicateur sous la Révolution.
    • Émile Romé (1888-1965), commissaire général de la marine.
    • Alexandre Miniac (1885-1963), architecte à Albert (Somme) et urbaniste de la Reconstruction de Douai [65]. Il vécut régulièrement à Bazouges où il repose auprès de sa sœur Anne. Le Musée de la Chartreuse de Douai présente son plan d'aménagement de la ville de Douai dressé en 1948 avec Petit.
    • Michel Bouts (1902-1993), écrivain, vielleux et pédagogue, installa en 1949 dans le Domaine de Bellevue son École du Gai Savoir, qui y fonctionna jusqu'en 1977.
    • Angèle Vannier (1917-1980), la poétesse aveugle, a vécu à Bazouges-la-Pérouse.
    • Adèle Denys (1899-2002), conteuse et romancière.
    • Jean-Pierre Desthuilliers (né en 1939), poète et écrivain, fut de 1951 à 1953 pensionnaire à l’École du Gai Savoir
    • Jean-Louis Dupré dit Loulou Picasso (né en 1954), peintre, fondateur du groupe Bazooka
    • Famille Delafosse. Elle a donné plusieurs maires à la commune, des députés et est une des familles bienfaitrice, elle est à l'origine de la construction de l'hôpital sur un terrain offert par elle ou de l'école des filles Sainte-Anne avec un bâtiment offert par la famille[réf. nécessaire].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Adèle Denys, Mémoires d'une centenaire « aout'fas » en pays gallo, 1999, Éditions Kérig, (ISBN 2-9514664-1-2) (texte en gallo et en français).
    • Les Carnets d'une centenaire : Raphaël, mon frère / Adèle Denys, 4e couverture ; ill. Jean-François Miniac. Gévezé : Kérig, 2001, 94 p.  (ISBN 978-2-9514664-2-5)
    • Isabelle Huchet, Le marquis va-nu-pied, 2004, Éditions Lattès, (ISBN 270962608X)
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Bazouges-la-Parouse, Château de la Motte et ses deux tours en ruines, p. 117

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Pierre Cornillet, né en 1809 à La Fresnais.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Feins Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bazouges-la-Pérouse et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Feins Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bazouges-la-Pérouse et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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    42. Riaux : le spécialiste de l'escalier qui monte, qui monte
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    47. Restauration de l'église. Le soutien de la Fondation du patrimoine
    48. Restauration de l'église
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    51. « Notice n°PM35000794 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue commandé à Louis Debierre en 1888 et inauguré le 25 février 1889
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    55. Petite promenade à Bazouges-la-Pérouse
    56. Inauguration du four à pain
    57. Oratoire de Saint-Mathurin
    58. Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Bretagne
    59. Bertrand Beyern, Guide des tombes d'hommes célèbres, Le Cherche-Midi, 2011.
    60. La pierre de Bazouges-la-Pérouse, Raconté par Grand-Mère Denys de Combourg, Audio de 1990 - Durée 5 minutes.
    61. Borne milliaire
    62. Vierge à l’enfant.
    63. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 15.
    64. Le patrimoine des communes d'Ille-et-Vilaine, t. I, Paris, Flohic, , 893 p. (ISBN 2-84234-072-8), p. 47.
    65. http://www.aaism-lapro.com/semperfidelis/bulletin_06_19.pdf
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