Beaucamps-Ligny

Beaucamps-Ligny est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Pour les articles homonymes, voir Beaucamps (homonymie) et Ligny.

Beaucamps-Ligny

Panorama à proximité de Beaucamps-Ligny.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Catherine Lefebvre
2020-2026
Code postal 59134
Code commune 59056
Démographie
Gentilé Beaucampois
Population
municipale
851 hab. (2019 )
Densité 169 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 36′ 19″ nord, 2° 55′ 03″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 41 m
Superficie 5,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lille-6
Législatives Onzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Beaucamps-Ligny
Géolocalisation sur la carte : France
Beaucamps-Ligny
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Beaucamps-Ligny
Géolocalisation sur la carte : Nord
Beaucamps-Ligny
Liens
Site web http://www.beaucamps-ligny.fr/

    Géographie

    Localisation

    Beaucamps-Ligny se situe dans le pays des Weppes en Flandre romane à 10 km au sud-ouest de Lille (13,5 km par la route).

    Géologie et relief

    Vue panoramique de Beaucamps-Ligny

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 697 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 14 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Beaucamps-Ligny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,1 %), zones urbanisées (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    La détermination de l'origine des noms de lieux n'est pas souvent aisée. Ici, Beaucamps serait en partie d'origine Picarde puisque le terme "camps" correspond à "champs" en français. Par contre, "Beau" est orthographié en Français ; en Picard, il aurait été orthographié "Biau".

    Noms anciens pour Beaucamps : documents divers : BELLOCAMPUS (Gallo Flandria)

    Pour Ligny, le suffixe "y" correspond à la demeure, au domaine, à la propriété d'une personne. Noms anciens pour Ligny : 1168 : LATINIACO, cartulaire de l'abbaye de Loos ; 1174 : LANIACO, id. Le nom désignerait la demeure ou la propriété du Romain Latinius, occupant du lieu.

    Histoire

    Une légende veut qu'en 1164, Thomas Becket, archevêque de Cantorbéry, se soit arrêté à Beaucamps dans sa fuite du roi d'Angleterre. La légende est tenace puis qu'une relique de la tasse dans laquelle il aurait bu est conservée. Les historiens démentent pourtant formellement son passage dans la commune alors qu'il partait se réfugier à Pontigny.

    Beaucamps et Ligny figurent dans les cartes du XIe siècle.

    À la Révolution la famille de Flandres est seigneur de Radinghem et de Beaucamps.

    En 1832, la comtesse Henry de la Grandville (belle-fille par alliance de la famille de Flandres) née Marie-Caroline de Beauffort (1793-1865) fit venir les Sœurs de l'Enfant-Jésus pour soigner une épidémie de choléra ; en 1842 elle fait venir les frères Maristes pour fonder une école. Les deux écoles fusionnèrent en 1976 pour donner naissance à l'Institution Sainte-Marie qui accueille en 2007 plus de 2 750 élèves.

    À la Révolution la famille Lefebvre de Lattre est seigneur de Ligny et de La Fresnoye.

    Le château de Ligny a été la possession des familles de Ligny, de Brimeu,, Guillebaut, d'Oignies, Le Sauvage, de Mol, d'Hangouart puis passa par les épouses à  la famille Lefebvre de Lattre . Ils furent les derniers seigneurs de la vicomté de Ligny de la fin du XVIIe siècle à 1808. Marie-Alexandre-Joseph Lefebvre de Lattre, possède à cette date 95% du village de Ligny. Il prend part à l’assemblée de la noblesse des Baillages de Lille et d’Arras, tenues  mars 1789, pour l’élection des députés aux Etats-Généraux. Premier Maire de Ligny en 1791, il émigre à Saint-Denis (Pays-Bas autrichiens). Rentré d’émigration, il est à nouveau maire de Ligny de 1800 à 1809. Resté royaliste sous l’Empire, il héberge, en juillet 1804, dans sa résidence de Reims, le célèbre Chevalier de Rougeville, qui avait lors du "complot des œillets" tenté de sauver la Reine Marie-Antoinette de la prison du Temple et est plus connu dans l’Histoire sous le nom du Chevalier de Maison-Rouge. En 1809, le château subit un grave incendie détruisant la façade avant. Ruiné, Marie-Alexandre-Joseph, vend le château et donne sa démission. Lui succédera comme maire et châtelain Marie Louis Ignace Cardon de Garsignies. Cette dernière famille restaure le château et le conserve jusqu'en 1892. Il passe alors par mariage à Hubert d'Espaigne, marquis de Venevelles qui épousa Marie-Bibiane Cardon de Garsignies et sera lui aussi Maire et châtelain. Ce dernier le conservera jusqu'à la fin de la première guerre mondiale.

    Durant la première guerre mondiale, le château de Ligny est occupé par les troupes allemandes et tout particulièrement par l'armée bavaroise. Dès le 27 octobre 1914 il sert de Quartier Général au Commandement général de la XIIIème armée dirigée par le général von Oppeln et composée, entre autres, des fameux Uhlans bavarois et Wurtembougeois. Il verra passer dans ses murs le Prince héritier de Rupprecht de Bavière à la fin de 1915. Eloigné du front, il sert par la suite et jusqu'au second semestre de 1918 de cantonnement aux différents régiments de réserve de la 6. armée bavaroise. Devant l'avance alliée d'août 1918, la retraite allemande se fait rapidement. Le château est riche des documents qui ne peuvent tomber aux mains de l'ennemi. Ne pouvant les transporter le commandement allemand ordonne la destruction du château. Le marquis de Venevelles, ayant reçu des dommages de guerre prévoit en 1920 une reconstruction du château ainsi que de la ferme et de l'église adjacentes. Seule la ferme "Perche" sera reconstruite. A la fin du conflit il ne reste plus que 34 habitants à Ligny. Son dernier maire, René Delesalle, maire de Ligny-en-Weppes, proposa au village de Beaucamps de fusionner les deux communes [21] et demandera au préfet du Nord son rattachement à la commune voisine de Beaucamps En 1927, Beaucamps-Ligny était né. Il y a également un établissement se trouvant à l’intérieur de cette commune comportant un collège, lycée, classe préparatoire, primaire. Jade Noui une élève de 4ème M nous cite: « j’aime ce collège les élèves sont sympas malgré le faite que celui ci soit strict » Les maires de Ligny

    Marie Alexandre Joseph LEFEBVRE de LATTRE, maire de 1792 à 1809

    Marie Louis Ignace CARDON de GARSIGNIES, maire de 1809 à 1814

    Charlemagne PREMESQUES, maire de 1814 à 1833

    Pierre André Joseph RIDON, maire de 1833 à 1848

    Eugène Louis Joseph WAYMEL, maire de 1848 à 1860

    Louis, Ignace Joseph Anatole CARDON de GARSIGNIES, maire de 1860 à 1886

    Alfred Joseph WAYMEL, maire de 1886 à 1892

    Herbert de VENEVELLES, maire de 1892 à 1914

    René DELESALLE, maire de 1925 à 1927

    Politique et administration

    Situation administrative

    Beaucamps-Ligny dans son canton et son arrondissement.

    Beaucamps-Ligny fait partie de Lille Métropole Communauté urbaine.

    Liste des maires

    Maire de Beaucamp en 1802-1803 : A.J. Lallemand[22].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1925 1939 Charles Lictevout    
    1939 1940 Jules Desbonnets    
    1940 1947 Narcisse Beharel    
    1947 1965 Alexandre Desbonnets    
    1965 1989 André Courtois    
    1989 1995 Jean-Marc Betchem    
    1995 2014 Frédéric Motte    
    2014 En cours Catherine Lefebvre    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

    En 2019, la commune comptait 851 habitants[Note 8], en diminution de 1,73 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    770671715711754766778750762
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8839641 0151 0101 1211 1411 2251 1651 144
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 052680658430526946992864990
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    666697676699857914912904877
    2017 2019 - - - - - - -
    856851-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 424 hommes pour 427 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0 
    90 ou +
    0,7 
    7,6 
    75-89 ans
    5,7 
    14,7 
    60-74 ans
    17,1 
    23,7 
    45-59 ans
    24,1 
    15,7 
    30-44 ans
    17,1 
    19,7 
    15-29 ans
    18,0 
    17,6 
    0-14 ans
    17,3 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Enseignement

    L' institution Sainte Marie de Beaucamps-Ligny (Le bâtiment des 6ème)

    Beaucamps-Ligny fait partie de l'académie de Lille. A Beaucamp-Ligny, il y a une institution scolaire se nommant "Institution Sainte Marie" fondée en 1842 par une communauté de Frères Maristes, elle comprend une maternelle, une primaire, un collège, un lycée général et des classes préparatoires PCSI[29]. Cette institution regroupe environ 3000 élèves venant du Nord et du Pas de Calais.

    Média

    • L'ELAN[30] le webzine de Beaucamps-Ligny pour suivre l'actualité du village :

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre. Elle contient notamment une statue en bois de chêne du XVIe siècle représentant saint Michel terrassant le dragon (classée MH en 1935).
    • L'Institution Sainte-Marie. Cet établissement scolaire allant de la maternelle aux classes préparatoires rassemble un très grand nombre d’élèves du village et des alentours[31].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Beaucamps se blasonnent ainsi : « De sinople à la fasce d'hermines. »
    En 1927 Beaucamps fusionne avec Ligny et devient Beaucamps-Ligny


    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Beaucamps-Ligny et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Beaucamps-Ligny et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ligny », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    22. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaucamps-Ligny (59056) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    29. « PCSI Institution Saint Marie Beaucamps », sur http://pcsi.stemariebeaucamps.fr/.
    30. http://beaucamps-ligny.blogspot.fr/
    31. http://stemariebeaucamps.fr/
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