Beauregard-et-Bassac

Beauregard-et-Bassac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Beauregard et Bassac.

Beauregard-et-Bassac

Le bourg de Beauregard et sa halle.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Flore Boyer
2020-2026
Code postal 24140
Code commune 24031
Démographie
Gentilé Beauregards
Population
municipale
255 hab. (2019 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 59′ 18″ nord, 0° 38′ 38″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 229 m
Superficie 12,02 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Beauregard-et-Bassac
Géolocalisation sur la carte : France
Beauregard-et-Bassac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Beauregard-et-Bassac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Beauregard-et-Bassac

    Géographie

    Généralités

    Dans la moitié sud du département de la Dordogne, la commune de Beauregard-et-Bassac s'étend sur 12,02 km2. Traversée par le 45e parallèle nord, elle est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (à environ 5 000 km de l'un et de l'autre).

    Elle se situe dans le Landais, en limites du Périgord central et du Bergeracois.

    Le territoire communal est desservi à l'ouest sur environ un kilomètre par la route nationale 21 et par les routes départementales (RD) 38 au sud et 42 au nord-est.

    Établi en vallée de la Crempse et traversé par la RD 38, le village de Beauregard se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au sud-ouest de Vergt et dix-huit kilomètres au sud-est de Neuvic. Le village de Bassac est distant d'environ un kilomètre et demi, au nord-ouest de celui de Beauregard.

    Communes limitrophes

    Carte de Beauregard-et-Bassac et des communes avoisinantes.

    Beauregard-et-Bassac est limitrophe de quatre autres communes. À l'est, son territoire est distant de moins de 600 mètres de celui de Saint-Amand-de-Vergt.

    Communes limitrophes de Beauregard-et-Bassac
    Saint-Mayme-de-Péreyrol
    Douville
    Saint-Martin-des-Combes Fouleix

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Beauregard-et-Bassac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5d, date du Campanien 4, des calcaires crayo-marneux grisâtres et des calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 782 - Mussidan » et « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Beauregard-et-Bassac.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 125 m[6] à l'ouest, là où la Crempse quitte la commune pour entrer sur celle de Douville, et 229 m[6] au nord-est, près du lieu-dit le Baragoix[7],[8].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[10]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 12,02 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 12,21 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Crempse, le Tabac et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[16],[Carte 1].

    La Crempse, d'une longueur totale de 26,22 km, prend sa source dans la commune à l'est-sud-est du bourg et se jette dans l'Isle à Mussidan, face à Saint-Front-de-Pradoux[17],[18].

    Son affluent le Tabac borde le territoire communal au nord-ouest et à l'ouest sur près de quatre kilomètres.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est également l'EPIDOR[20]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21]. La quasi-totalité du territoire est concernée par le SAGE Isle - Dronne, seule une infime partie à l'est et au sud-est (bassin versant du Caudeau) est rattachée au SAGE Dordogne Atlantique.

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[22]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 910 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[26] complétée par des études régionales[27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[28] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[29],[Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Beauregard-et-Bassac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,7 %), zones agricoles hétérogènes (43,2 %), terres arables (5,1 %)[38].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre les bourgs de Bassac et de Beauregard proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[39] :

    • Baneuil
    • le Bernichou
    • le Bernicou
    • la Boissière
    • la Cabane
    • Camarat
    • Chez le Tord
    • le Grand Pec
    • la Grande Rebière
    • le Lac des Lépreux
    • Laucher
    • Magovie
    • Martillia
    • les Mazeaux
    • Monfaucon
    • Montauban
    • le Moulin de la Souille
    • le Perrier
    • la Petite Rebière
    • Peymira
    • Peyrelevade
    • Pomport
    • le Pont de Bassac
    • le Pouyoulou
    • la Prade
    • Rebillac
    • la Reygasse
    • la Servantie
    • la Souille Haute
    • Tartifume
    • Tourteau
    • la Tuilière.

    Toponymie

    Beauregard est attestée sous la forme Belregard en 1289[40],[41], sous la forme latine Bellus Regardus en 1346 et Bel Regart en 1359[41].

    Le nom vient d'une position géographique signifiant « Belle exposition »[40], (bel a été francisé en « beau » et regard signifiant « exposition »).

    Bassac est attestée sous la forme latine Bassacum en 1268[41]. Ce nom dérive d'un personnage gallo-roman Bacchius auquel a été ajouté le suffixe -acum[41], définissant le domaine de Bacchius.

    Le nom Beauregard et Bassac est attesté en 1770[41].

    En occitan, la commune porte le nom de Beuregard e Bassac[42].

    Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après l'ancienne commune de Beauregard[43].

    Histoire

    Beauregard est au départ une bastide anglaise fondée en 1286 pour Édouard Ier d'Angleterre[44]. Elle passe aux mains des Français en 1346[44].

    Outre les quatre paroisses de la châtellenie de Beauregard : Beauregard, Clermont, Fouleix et Saint-Florent, la bastide « avait dans son ressort les châteaux de Clermont, Montclar, Vern, Roussille, Estissac et Longa, et les paroisses de Campsegret, Bassac, Grun, Saint-Mayme, Saint-Amand, Montagnac, Saint-Julien, Campagnac et Beleymas »[45].

    À la Révolution, les communes de Bassac et de Beauregard fusionnent sous le nom de Beauregard-et-Bassac[6].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Beauregard est rattachée au canton de Montagnac qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[6]. Le canton de Montagnac est ensuite renommé en canton de Villamblard l'année suivante, à la suite du transfert du chef-lieu de canton depuis Montagnac vers Villamblard[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[46]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord central.

    En 2017, Beauregard-et-Bassac est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[47],[48].

    Intercommunalité

    Fin 2001, Beauregard-et-Bassac intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Villamblard. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[49],[50].

    Liste des maires

    La mairie en 2019.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1977 février 2013[Note 8] Patrice Perrier SE[51] Directeur de crèche
    février 2013[52]
    (réélue en mai 2020[53])
    En cours Flore Boyer PS[54] puis SE  

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Beauregard-et-Bassac relève[55] :

    Démographie

    Les habitants de Beauregard-et-Bassac se nomment les Beauregards[56].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[58].

    En 2019, la commune comptait 255 habitants[Note 9], en diminution de 8,6 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    592512596700635622633609614
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    591574576479504489452438400
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    374371366317283276273257251
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    238203206193209197269276265
    2019 - - - - - - - -
    255--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Fraisiculture hors-sol au nord-est de Beauregard.

    Emploi

    En 2015[60], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 134 personnes, soit 49,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-cinq) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 18,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-quatre établissements[61], dont quinze au niveau des commerces, transports ou services, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans la construction, et deux dans l'industrie[62].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Pierre Levée, dolmen classé au titre des monuments historiques en 1940[63].
    • Château de Beauregard, ancien fief des Talleyrand et des d'Abzac, détruit[44].
    • Le manoir de Beauregard a été édifié au XVIe siècle, peut-être sur les bases du château détruit[44]. Devenu une colonie de vacances du Comité central du groupe public ferroviaire (CCGPF), le site est fermé administrativement fin juillet 2019 à la demande du préfet pour « plusieurs manquements à la sécurité »[64].
    • Castel de Pomport, château-moulin du XVIe siècle[65], au bord de la Crempse.
    • Halle de Beauregard du XIIIe siècle[66].
    • Grotte de Bassac[66].
    • Deux cluzeaux[66].

    Patrimoine religieux

    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption[67] de Beauregard, gothique[66].
    • Église Notre-Dame de Bassac[66],[67] dont la construction remonterait vers l'an 1000 avec un porche datant du XIIe siècle[68].

    Personnalités liées à la commune

    Culture

    Beauregard-et-Bassac fait partie des communes ayant reçu l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[25].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Démissionnaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Beauregard-et-Bassac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Beauregard-et-Bassac » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Beauregard-et-Bassac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. « 229 » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022)..
    8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Beauregard-et-Bassac », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Beauregard-et-Bassac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
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    19. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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    23. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    26. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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