Saint-Georges-de-Montclard

Saint-Georges-de-Montclard (orthographe officielle), ou Saint-Georges-de-Montclar (orthographe locale), est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Georges, Saint Georges (homonymie), Georges et Montclar.

Saint-Georges-de-Montclard

Le village de Saint-Georges-de-Montclard.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Bernard Guérinel
2020-2026
Code postal 24140
Code commune 24414
Démographie
Gentilé Montclardais
Population
municipale
287 hab. (2019 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 55′ 59″ nord, 0° 37′ 19″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 189 m
Superficie 13,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Georges-de-Montclard
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Georges-de-Montclard
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Georges-de-Montclard
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Georges-de-Montclard

    Géographie

    Commune située dans l'aire urbaine de Bergerac.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Georges-de-Montclard et des communes avoisinantes.

    Saint-Georges-de-Montclard est limitrophe de six autres communes.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Georges-de-Montclard est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Saint-Georges-de-Montclard.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 62 mètres et 189 mètres[5],[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,68 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 13,58 km2[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Georges-de-Montclard.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par le Caudeau, la Ruchelle, le Saint-Martin, le ruisseau de Saint-Georges et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[14],[Carte 1].

    Le Caudeau, d'une longueur totale de 38,47 km, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne à Bergerac, après avoir traversé 19 communes[15].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 885 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[24] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[25],[Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[26], à 13,1 °C pour 1981-2010[27], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Georges-de-Montclard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,5 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), terres arables (6,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %), prairies (3,5 %), cultures permanentes (0,6 %)[34].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2015 pour le Caudeau et ses rives, impactant l'est de la commune bordé par ce cours d'eau[35],[36].

    Toponymie

    Panneau d'entrée dans le village.

    L'orthographe officielle du nom de la commune est « Saint-Georges-de-Montclard »[37], mais localement, sa graphie est « Saint-Georges-de-Montclar ».

    En occitan, la commune se nomme Sent Jòrgi de Montclar[38].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Saint-Georges-de-Montclard est rattachée au canton de Liorac qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Montagnac dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5]. Le canton de Montagnac est ensuite renommé en canton de Villamblard l'année suivante, à la suite du transfert du chef-lieu de canton depuis Montagnac vers Villamblard[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[39]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord central.

    En 2017, Saint-Georges-de-Montclard est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[40],[41].

    Intercommunalité

    En 2001, Saint-Georges-de-Montclard intègre la communauté de communes du Pays de Villamblard. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1965 1971 Roger Deltheil    
    1971 1995 René Lambert    
    1995 2001 Guy Bonnet    
    mars 2001
    (réélu en mai 2020)
    En cours Bernard Guérinel SE[44]  

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Georges-de-Montclard relève[45] :

    Démographie

    Les habitants de Saint-Georges-de-Montclard se nomment les Montclardais[46].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].

    En 2019, la commune comptait 287 habitants[Note 9], en augmentation de 1,06 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    680659642666738758756778801
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    814791716649606635627640531
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    533503504378366316327343274
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    314273263262258268260261273
    2014 2019 - - - - - - -
    287287-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[50], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 129 personnes, soit 44,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-six) a augmenté par rapport à 2010 (dix-sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 19,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-sept établissements[51], dont dix-huit au niveau des commerces, transports ou services, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, six dans la construction, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un dans l'industrie[52].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Monclar (ou Montclard, ou Montclar), inscrit en 2007 au titre des monuments historiques[53],[54].
    • La halle, reconstruite au XVIIIe siècle, est située en bordure de la place publique, au centre du bourg du village de Montclard. Elle fait partie, d'un ensemble architectural imprégné d'un passé prestigieux. Elle est de plan rectangulaire proche du carré, bâtie sur un espace plan horizontal. La charpente repose sur quinze colonnes en calcaire de section octogonale. L'ensemble est légèrement relevé par rapport au terrain naturel. Les longs pans de la couverture, sont couverts en tuiles canal sur liteaux, et les croupes en tuiles plates aussi sur liteaux. Elle fut utilisée à l'occasion des foires annuelles très importantes, dont celle aux bœufs gras le premier mardi de chaque mois. Elle témoigne ainsi de l'importance économique du village au cours des ans. Près de celle-ci se situe une des plus anciennes demeures du bourg avec sa galerie à colonnes de pierres[55].
    • Au hameau de Saint-Georges traversé par le cours d’eau du même nom, se trouve l’église Saint-Georges, romane du XIIe siècle, également connue sous le nom de chapelle Sainte-Rita[56]. Comme de nombreux édifices religieux, elle fut édifiée sur un très ancien lieu de culte. À l’intérieur est dédié un espace à sainte Rita, patronne des causes désespérées. Le lieu connu y reçoit de nombreux fervents de sainte Rita[55].
    • Manoir de la Beaureille, XVIe siècle, également inscrit en 1978 pour ses façades et toitures[57].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules au rocher d'argent surmonté d'un soleil d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Georges-de-Montclard » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Saint-Georges-de-Montclard » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Georges-de-Montclard », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Georges-de-Montclard », sur le site de l'Insee (consulté le )
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    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
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    16. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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    21. Glossaire – Précipitation, Météo-France
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    52. Dossier complet - Commune de Saint-Georges-de-Montclard (24414) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
    53. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 186.
    54. « Château de Monclar », notice no PA24000063, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 mars 2012.
    55. « Circuit Cœur de village St Georges de Montclard », sur http://www.tourisme-isleperigord.com/
    56. Ginette Rime, « Un appel aux dons pour restaurer la chapelle Sainte-Rita », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 15.
    57. « Manoir de la Beaureille », notice no PA00082840, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 9 août 2013.
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