Chancelade

Chancelade est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle est connue des amateurs d'histoire pour l'Homme de Chancelade et pour son abbaye Notre-Dame. C'est une étape de la Via Lemovicensis pour le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Chancelade

Le site de l'abbaye de Chancelade
(avec la chapelle Saint-Jean à gauche).
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Pascal Serre
2020-2026
Code postal 24650
Code commune 24102
Démographie
Gentilé Chanceladais
Population
municipale
4 378 hab. (2019 )
Densité 270 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 23″ nord, 0° 39′ 58″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 198 m
Superficie 16,23 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Périgueux
(banlieue)
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulounieix-Chamiers
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Chancelade
Géolocalisation sur la carte : France
Chancelade
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Chancelade
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Chancelade
Liens
Site web Mairie de Chancelade

    Géographie

    Généralités

    Incluse dans l'unité urbaine de Périgueux, la commune de Chancelade constitue, à l'ouest de Périgueux, sa banlieue immédiate.

    Elle est traversée par la voie de chemin de fer Limoges - Périgueux et les routes départementales 1, 2, 710 (l'ancienne route nationale 710) et 939 (l'ancienne route nationale 139). Le territoire communal est parcouru par les sentiers de grande randonnée GR 36, 646 et 654.

    Communes limitrophes

    Carte de Chancelade et des communes avoisinantes.

    Chancelade est limitrophe de cinq autres communes. À l'est, le territoire de Coulounieix-Chamiers est distant d'environ 170 mètres et au nord-est, celui de Champcevinel est éloigné de moins de 300 mètres.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Chancelade est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2b, date du Turonien inférieur à moyen, composée de calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Chancelade.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 73 m[5] à l'ouest, en aval du Pas de l'Anglais, là où l'Isle quitte la commune pour servir de limite entre Annesse-et-Beaulieu et Marsac-sur-l'Isle, et 198 m[5] au nord, aux Bois de Chancelade-Ouest[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 16,23 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 16,93 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par l'Isle, la Beauronne et le Got, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[14],[Carte 1].

    L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne  dont elle est le principal affluent  en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[15],[16]. Elle borde la commune au sud et au sud-ouest sur plus de trois kilomètres.

    La Beauronne, d'une longueur totale de 28,16 km, prend sa source dans la commune de Négrondes et se jette dans l'Isle en rive droite à Marsac-sur-l'Isle[17]. En amont de cette confluence, son bras oriental marque la limite avec Périgueux. Elle traverse le territoire communal du nord-est au sud-est sur cinq kilomètres.

    Le Got, autre affluent de l'Isle, traverse l'ouest de la commune sur quatre kilomètre et demi dont la moitié sert de limite au nord-ouest avec La Chapelle-Gonaguet.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 933 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[26] et qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 42 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Chancelade est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[36] et 65 208 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[37],[38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,9 %), zones urbanisées (34,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), prairies (4,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %)[41].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Logement

    Début 2021, la commune dispose de 18 % de logements sociaux, taux inférieur à l'obligation minimale de 20 % pour les communes de plus de 3 500 habitants dans l'agglomération périgourdine[42]. Selon le maire Pascal Serre, la barre des 20 % devrait être atteinte en 2026[42].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2000 pour l'Isle  qui délimite la commune au sud-ouest  à Chancelade, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant atteindre 600 mètres au sud de Chercuzac[43],[44]. Ce PPRI a été révisé et intégré en 2014 dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de la vallée de l'Isle autour de Périgueux[45],[46].

    Un autre PPRI a été approuvé en 2012 pour la Beauronne et ses rives, sur une largeur pouvant atteindre 500 mètres par endroits[47],[48].

    Un plan de prévention des risques naturels (PPRN) a été approuvé en 2005 pour Chancelade, dont les coteaux sont exposés aux risques de mouvements de terrain et de retrait-gonflement des sols argileux[49],[50].

    Toponymie

    Panneau d'entrée à Chancelade, en français et en occitan.

    En occitan, la commune porte le nom de Chancelada[51].

    Histoire

    Chancelade est connue comme étant un site préhistorique. C'est en 1888 que l'on découvrit un squelette d'homme presque entier ; analysé par l'anatomiste Léo Testut, il devient l'homme de Chancelade, datant de 15 000 à 9 000 ans av. J.-C.[52].

    Dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, la paroisse est identifiée sur la carte de Cassini sous le nom de Beauronne de Chancelade.

    En 1793, la municipalité de Beauronne prend le nom de Chanselade, rectifié en Chancelade en 1801.

    En 1809, la partie Andrivaux de l'ancienne commune de Merlande-et-Andrivaux fusionne avec Chancelade.

    Le , un ensemble de carrières souterraines s'effondre sur quatre hectares, engloutissant des maisons et faisant quatorze morts[53].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Chancelade a été rattachée, dès 1790, au canton de Périgueux qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795. Le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux en 1800. Celui-ci est scindé en trois en 1973 et Chancelade fait partie du nouveau canton de Périgueux-Ouest[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[54]. La commune est alors rattachée au canton de Coulounieix-Chamiers.

    Intercommunalité

    Le 1er janvier 2000, elle intègre dès sa création la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 3 500 et 4 999 habitants au recensement de 2017, vingt-sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[55],[56].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
     ? 1810 Jean Marquet[Note 9]    
    mai 1810 juin 1810 Alexandre Jean d'Anglars (père)[Note 9]   Ancien maire de Merlande-et-Andrivaux
    août 1810 avril 1815 Jean Baptiste Alexandre d'Anglars (fils)[Note 10]   Agriculteur ; propriétaire
    avril 1815 1815 Étienne Réveilhas (fils)    
    1815 janvier 1816 Jean Baptiste Alexandre d'Anglars (fils)[Note 11]    
    janvier 1816 mars 1817 Léonard (fils) Gilles-Lagrange[Note 9]   Notaire royal
    Capitaine de la compagnie de chasseurs de la garde nationale
    mars 1817 (1845 ou 1846) Guillaume Gilles-Lagrange[Note 12]    
    janvier 1846 avril 1848 Étienne Réveilhas[Note 10]   Avoué
    avril 1848 janvier 1852[Note 13] (Sicaire) Rosane Eimery    
    janvier 1852 février 1852 Jean Bardy-Delisle[Note 14]    
    février 1852 1859 Charles (ou Albert[Note 15]) Réveilhas (fils)[Note 12]   Avoué
    septembre 1859 septembre 1870 (Léonard) Fernand (Gilles-)Lagrange   Notaire
    septembre 1870 mai 1871 Jean Bégout    
    mai 1871 (1873 ou 1874) (Léonard) Fernand (Gilles-)Lagrange   Notaire
    (1873 ou 1874) mai 1888 Jean Bégout   Propriétaire
    mai 1888 1904 (Léonard) Fernand (Gilles-)Lagrange   Notaire
    mai 1904 1908 Pierre (Hilaire Léon) Gilles-Lagrange   Notaire
    mai 1908 mai 1912 Eugène Saumande    
    mai 1912 (1917 ou 1918) Joseph de Génis    
    (1917 ou 1918) décembre 1919 Jean-Louis Gervaise   Adjoint, faisant fonctions de maire
    décembre 1919 février 1939 François Mellet[Note 12]   Propriétaire
    février 1939 avril 1939 Jules Reydy   Premier adjoint, faisant fonctions de maire
    avril 1939 mai 1945 Jules Reydy    
    mai 1945 octobre 1947 Élie Mazière    
    octobre 1947 mai 1953 Léon Laroche    
    mai 1953 mars 1965 Henri Dupré   retraité SNCF
    mars 1965 mars 1989 (Alexis) Robert Sarrette    
    mars 1989 octobre 1992 Pierre Vigier[Note 9] PS  
    octobre 1992 février 2009 Claude Bérit-Debat[Note 16] PS Cadre de CCI
    Sénateur depuis 2008
    février 2009 mai 2020 Michel Testut PS Personnel de direction honoraire (Éducation nationale)
    mai 2020 En cours Pascal Serre[57] SE Retraité du journalisme et de la communication[58]

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Chancelade relève[59] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[61].

    En 2019, la commune comptait 4 378 habitants[Note 17], en augmentation de 1,98 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9066797039481 0931 0261 0011 1411 116
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1641 1811 2361 0961 2271 4171 3841 3491 245
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2671 0921 1561 1171 1641 0951 1681 2711 445
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 7802 0022 4203 2973 7183 8654 1264 1744 293
    2018 2019 - - - - - - -
    4 2574 378-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[62].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Les recensements de 1793, 1800 et 1806 n'intègrent pas la partie Andrivaux de l'ancienne commune de Merlande-et-Andrivaux qui fusionne avec Chancelade en 1809.

    Sports

    Le club de football de la ville est l'Union sportive Chancelade Marsac 24 (USCM)[63], créée en 1962[64].

    Le club de judo de la ville est le Judo Club Chancelade.

    Manifestations culturelles et festivités

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Chancelade ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    L'emploi des habitants

    En 2018[65], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 788 personnes, soit 42,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (182) a légèrement diminué par rapport à 2013 (190) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,2 %.

    L'emploi sur la commune

    En 2018, la commune offre 1 139 emplois pour une population de 4 257 habitants[66]. Le secteur tertiaire prédomine avec 56,5 % des emplois.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

      Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale
    Nombre d'emplois 48 154 142 644 151
    Pourcentage 4,2 % 13,6 % 12,5 % 56,5 % 13,2 %
    Source des données[66].

    Établissements

    Au , la commune compte 290 établissements[67], dont 192 au niveau des commerces, transports ou services, quarante-huit dans la construction, vingt-sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, seize dans l'industrie, et sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[68].

    Entreprises

    Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, trois sociétés situées à Chancelade se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016 :

    • dans l'industrie[69] :
      • Cetec industrie conditionnement (fabrication d'équipements d'emballage, de conditionnement et de pesage) : 25e, avec 9 857 k€ ; elle se classe également 17e, tous secteurs confondus, parmi les cinquante premières de la Dordogne, quant au chiffre d'affaires à l'exportation, avec 3 847 k€[70] ;
      • Périgord armatures (fabrication d'articles en fils métalliques) : 36e, avec 6 856 k€ ;
    • dans l'agroalimentaire, Les champignonnières de Chancelade (culture de légumes), 26e, avec 3 609 k€[71].

    Culture locale et patrimoine

    L'abri de Raymonden (ou Reymonden)

    La grotte de Raymonden où fut découvert le squelette de l'Homme de Chancelade, lieu classé monument historique depuis 1926[72].

    L'abbaye Notre-Dame de Chancelade

    L'abbaye de Chancelade.

    Abbaye fondée au XIIe siècle, dévastée par les protestants au XVIe siècle, et reconstruite au XVIIe siècle. Elle a été dirigée par Alain de Solminihac (1593-1659), qui en avait hérité de son oncle. Elle est entourée de quatre hectares de parcs et jardins.

    Le site comprend l'église paroissiale Notre-Dame, la chapelle Saint-Jean, le logis de Bourdeilles, le logis de l'Abbé ainsi qu'un moulin actionné par l'eau de la Beauronne, qui traverse le domaine.

    La Chapelle Saint-Jean située à côté de l'abbaye.

    Dans l'église, propriété communale, se trouve une peinture du XVIIe siècle : le « Christ aux outrages » longtemps attribuée à Georges de La Tour et maintenant à rapprocher du hollandais Gerrit van Honthorst. Une maquette représente, à l'échelle 1/100e, les bâtiments conventuels tels qu'ils étaient au moment de la Révolution, en 1789.

    Durant l'été, il est possible de visiter une partie des bâtiments conventuels (logis de l'abbé et parc attenant).

    Depuis les origines, l'abbaye a été construite et habitée par des Chanoines réguliers de saint Augustin. Le plus célèbre des chanoines de Chancelade a été Alain de Solminihac, béatifié en 1983 par le Pape Jean-Paul II.

    À la Révolution, l'abbaye a été vendue comme bien national, et une grande partie des bâtiments a été détruite, les pierres étant vendues à des entrepreneurs de la région.

    Depuis 1998, une communauté de Chanoines réguliers de saint Augustin s'est installée de nouveau sur le site à la demande de Gaston Poulain, évêque de Périgueux. Ils assurent quotidiennement l'accueil. Il est possible de se joindre à leur prière, que ce soit pour les laudes (le matin) ou pour les vêpres (soir). Ils ont développé à Chancelade un centre spirituel.

    Les carrières de Chancelade

    La pierre calcaire de Chancelade est blanche, de meilleure qualité que celle des carrières de Périgueux, de couleur gris bleuté. Elle a servi à la construction de plusieurs édifices religieux de la région.

    Avec l'arrivée du chemin de fer au milieu du XIXe siècle, la pierre de Chancelade s'exporta dans tout le Sud-Ouest de la France pour bâtir des ouvrages d'art ferroviaire : maisonnettes, ponts, viaducs, édifices publics, gares. Le Pont de Pierre de Bordeaux compte des pilastres en pierre de Chancelade.

    En 1885, l'exploitation de la pierre est à son apogée : les carrières sont exploitées par les sociétés Imbert et Chaigneau. La pierre est encore extraite à de rares occasions : de nos jours, ce sont plus les artistes qui la convoitent. Des champignonnières ont été installées dans une partie abandonnée des anciennes carrières : la société Champidor qui emploie une cinquantaine de personnes y produit annuellement 500 tonnes de champignons de Paris[73].

    Autres sites

    Patrimoine naturel

    Partagée avec les communes de La Chapelle-Gonaguet et Château-l'Évêque, la forêt de chênes de Feytaud, occupe environ 120 hectares dans le nord du territoire communal. Elle est protégée en tant que zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II[75],[76].

    Elle héberge deux espèces de rapaces protégées sur le territoire national[77] : la Buse variable (Buteo buteo) et la Bondrée apivore (Pernis apivorus).

    Au niveau de sa flore, deux espèces de plantes y sont considérées comme déterminantes : l'Aubépine à deux styles (Crataegus laevigata), et le Groseillier à grappes (Ribes rubrum).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Mercier, « Le gisement du Sorbier », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1941, tome 68, p. 98-106 (lire en ligne)
    • Bernard Reviriego, Chancelade Les chemins de la mémoire, Chancelade, Municipalité de Chancelade,
    • Bernard Reviriego, Le Christ aux outrages de Chancelade, Chancelade, Municipalité de Chancelade,
    • Jean Secret et Bernard Dupré, L'abbaye de Chancelade en Périgord, Fanlac,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Démissionnaire.
    10. Révoqué par arrêté préfectoral.
    11. Appelé aux fonctions de Conseiller de Préfecture.
    12. Décédé en fonctions.
    13. Conseil municipal dissous par arrêté préfectoral.
    14. Appelé aux fonctions de juge auprès du tribunal de 1re instance de Périgueux.
    15. Charles dans les délibérations communales, Albert dans les actes de la préfecture
    16. Démissionne pour limitation du cumul des mandats. Reste néanmoins premier adjoint.
    17. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
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    Références

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    2. « Carte géologique de Chancelade » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
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    4. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
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    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
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    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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    77. Arrêté du 29 octobre 2009 fixant la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection, Légifrance, consulté le 4 février 2020.
    78. « La culture occitane pleure Joan-Pau Verdier », sur Dordogne libre, Périgueux, (consulté le ).
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