Génis

Génis est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

« Genis » redirige ici. Pour les autres significations, voir Genis (homonymie).

Génis

Vue du bourg de Génis.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
Maire
Mandat
Marianne Reynaud-Lasternas
2020-2026
Code postal 24160
Code commune 24196
Démographie
Gentilé Génissois
Population
municipale
490 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 19′ 37″ nord, 1° 09′ 52″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 373 m
Superficie 25,92 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Isle-Loue-Auvézère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Génis
Géolocalisation sur la carte : France
Génis
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Génis
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Génis

    Géographie

    Généralités

    La commune est arrosée au nord et à l'ouest par l'Auvézère qui creuse des gorges parfois profondes d'une centaine de mètres, et au sud par son affluent, le Dalon.

    Huit kilomètres au nord d'Hautefort et neuf kilomètres à l'est d'Excideuil, le bourg de Génis se trouve au croisement des routes départementales 5, 5E3, 72E1 et 72E4.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Carte de Génis et des communes avoisinantes.

    Génis est limitrophe de huit autres communes. À l'ouest, son territoire est distant d'environ 270 mètres de celui de Preyssac-d'Excideuil.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Génis est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l'ère primaire, antérieurement au Carbonifère[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque. La formation la plus ancienne, notée δψ, fait partie de l'Unité supérieure des gneiss (USG) et est composée d'éclogites et amphibolites dérivées, en petits corps ou bancs minces (Cambrien à Silurien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 736 - Saint-Yrieix-la-Perche » et « no 760 - Juillac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Génis.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 140 m et 373 m[6],[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[10],[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 25,92 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 26,97 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par l'Auvézère, le Dalon, le ruisseau de Gabourat et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 30 km de longueur totale[16],[Carte 1].

    L'Auvézère, d'une longueur totale de 112,19 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Benayes et se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Bassillac et Auberoche et Escoire, face à Antonne-et-Trigonant[17],[18]. Elle traverse la commune du nord-est au sud-ouest sur dix kilomètres, marquant la limite territoriale au sud-ouest sur plus de deux kilomètres, face à Anlhiac.

    Le Dalon, d'une longueur totale de 17,53 km, prend sa source dans la commune de Segonzac et se jette dans l'Auvézère en rive gauche à Génis, face à Anlhiac[19],[20]. Il arrose la commune au sud sur plus de cinq kilomètres, dont un et demi en limite de Boisseuilh.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[23]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 1 068 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[27] complétée par des études régionales[28] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Yrieix la Pe », sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, mise en service en 1994[29] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[30],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 164,2 mm pour la période 1981-2010[31]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 34 km[32], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[33], à 12,7 °C pour 1981-2010[34], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[35].

    Urbanisme

    Typologie

    Génis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[36],[37],[38]. La commune est en outre hors attraction des villes[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54,5 %), forêts (39,5 %), prairies (6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[41].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Janiç[42].

    Histoire

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le nom du village s'écrit Genis.

    Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793, ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne.

    En 1944, jugeant la situation dans le sud-ouest explosive, Berlin décide de renforcer ses troupes en faisant venir de Paris la division SS motorisée du général Walter Brehmer. Arrivée dans le village le , elle recherchait les juifs qui s'y trouvaient[43]. Tous avaient fui sauf un couple qui avait choisi de rester. L'homme qui avait servi dans l'armée allemande lors de la grande Guerre ne voulait pas fuir, sa femme étant en mauvaise santé, et croyait être à l'abri. Les nazis les ont découverts, les ont fusillés au lieu-dit Tous-Vents et ont mis le feu à leur maison[43]. Ils sont enterrés dans le cimetière du village. Le même jour, un cultivateur arrêté à Saint-Raphaël est lui aussi fusillé au lieu-dit les Montagnes[43].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de Génis a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.

    En 1793, elle est rattachée au canton de Génis qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne. En 1801, le canton de Génis est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton d'Excideuil dépendant de l'arrondissement de Périgueux[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[44]. La commune est alors rattachée au canton d'Isle-Loue-Auvézère.

    En 2017,Génis est rattachée à l'arrondissement de Nontron[45],[46].

    Intercommunalité

    En 2009, Génis rejoint la communauté de communes Causses et Rivières en Périgord. Celle-ci est dissoute le et ses communes  hormis Savignac-les-Églises qui rejoint Le Grand Périgueux  sont rattachées à la communauté de communes du Pays de Lanouaille qui la même année prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
        Jean Raynaud   Entrepreneur en maçonnerie
        Albert Jarjanette   Artisan boucher charcutier
    1983 mars 2001 Daniel Quitet   Architecte
    mars 2001 mars 2008 Jean-Daniel Cournil   Artisan plâtrier peintre
    mars 2008[49] mai 2020 Bruno Chapuis SE[50] Professeur
    mai 2020 En cours Marianne Reynaud-Lasternas    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Génis relève[51] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].

    En 2019, la commune comptait 490 habitants[Note 8], en augmentation de 5,6 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3918239021 2651 3931 4291 4351 4841 492
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3641 4511 4361 3881 3951 4121 4651 4111 436
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5171 5101 5161 2671 1641 1101 1561 007968
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    872776660599538496491489464
    2018 2019 - - - - - - -
    488490-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale le dernier week-end d'août.
    • Au départ de Génis depuis 1988, le dernier dimanche d'octobre a lieu la Rand'Auvézère, randonnée pédestre, à cheval ou en VTT (30e édition en 2019 avec 475 marcheurs, 82 vététistes et 18 cavaliers[55]).
    • Salon d'automne des artisans et artistes (5e édition en )[56].

    Économie

    Emploi

    En 2015[57], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 163 personnes, soit 35,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-huit) a augmenté par rapport à 2010 (seize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quarante-deux établissements[58], dont dix-neuf au niveau des commerces, transports ou services, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans l'industrie, et trois dans la construction[59].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    L'Auvézère au moulin du Pont.

    En amont du moulin de Guimalet, les gorges de l'Auvézère, ainsi que la partie aval de son affluent le Dalon (les quatre derniers kilomètres), à dominante boisée, sont classées zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, partagée avec cinq autres communes ; neuf espèces déterminantes de plantes y ont été recensées[60],[61] : l'Anarrhine à feuilles de Pâquerette (Anarrhinum bellidifolium), l'Anogramme à feuilles minces (Anogramma leptophylla, l'Asplénium lancéolé (Asplenium obovatum), le Cheilanthès de Tineo (Cheilanthes tinaei), la Doradille du nord (Asplenium septentrionale), la Joubarbe à toile d'araignée (Sempervivum arachnoideum), le Lis martagon (Lilium martagon), le Millepertuis à feuilles de lin (Hypericum linariifolium) et le Polystic des montagnes (Oreopteris limbosperma).

    Personnalités liées à la commune

    • Albert Roche, (1876-1939), maire de Génis de 1919 à 1939, député de la Dordogne de 1934 à 1936, est né à Génis[62].
    • Berthe et Jules Haas, deux réfugiés lorrains assassinés par des éléments de la division Brehmer, au lieu-dit Tous-Vents.

    Héraldique

    Blason
    D'azur à une bande d'argent chargée de trois tourteaux de gueules[63].
    Détails
    Statut officiel, blason présent sur le site de la commune[64].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[25].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[26].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Génis » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Génis » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Génis », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 736 - Saint-Yrieix-la-Perche de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 760 - Juillac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Repères géographiques du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Génis », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Génis », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. « Confluence Auvézère-Isle au nord du Gué Rède » sur Géoportail (consulté le 4 août 2022)..
    18. Sandre, « l'Auvézère »
    19. « Confluence Dalon-Auvézère à l'est de Guimalet » sur Géoportail (consulté le 4 août 2022)..
    20. Sandre, « le Dalon »
    21. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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    24. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    26. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    27. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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