Sainte-Trie

Sainte-Trie est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Sainte-Trie

L'église Saint-Trojan de Sainte-Trie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort
Maire
Mandat
Claude Turbant
2021-2026
Code postal 24160
Code commune 24507
Démographie
Gentilé Saint-Trojannais
Population
municipale
110 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 49″ nord, 1° 12′ 02″ est
Altitude Min. 167 m
Max. 276 m
Superficie 10,91 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Périgord Noir
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Trie
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Trie
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Sainte-Trie
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Sainte-Trie

    Géographie

    Généralités


    Limitrophe du département de la Corrèze et située à l'extrême nord-est du département de la Dordogne, la commune de Sainte-Trie est bordée au sud et au sud-ouest par le Dalon, un affluent de l'Auvézère. Au nord, la rive sud de l'étang de Born fait partie du territoire communal.

    Sur le plan géologique, le sol se compose principalement de grès et d'argile permiens, sauf dans la partie sud du territoire, en vallée du Dalon, composée de roches métamorphiques paléozoïques[1].

    Le bourg de Sainte-Trie, à l'intersection des routes départementales (RD) 72E2 et 72E3, se situe, en distances orthodromiques,six kilomètres au nord-est de Hautefort.

    Le territoire communal est également desservi au sud par la RD 72.

    Communes limitrophes

    Carte de Sainte-Trie et des communes avoisinantes.

    Sainte-Trie est limitrophe de six autres communes dont deux dans le département de la Corrèze. Son territoire est limitrophe sur moins de 300 mètres de celui de Juillac au nord-est.

    Communes limitrophes de Sainte-Trie
    Génis Salagnac Juillac
    (Corrèze)
    Segonzac
    (Corrèze)
    Boisseuilh Teillots

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Sainte-Trie est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et du Paléozoïque. La formation la plus ancienne, notée dS1, se compose de schistes de Génis, des séricitoschistes à chlorite (groupe de Génis, Dévonien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 760 - Juillac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

    Carte géologique de Sainte-Trie.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 167 mètres[6] à l'extrême ouest, là où le Dalon quitte la commune et sert de limite entre celles de Boisseuilh et Génis, et 276 mètres[6] au nord-est, entre les lieux-dits la Brugère et la Machardie, en limite de la commune corrézienne de Segonzac[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune est dans l'unité paysagère des « Marges du bassin de Brive », qui correspond à la marge occidentale du bassin de Brive. Elle se caractérise par une succession d’amples vallées, déblayées dans les grès roses et les argiles rouges. Les altitudes s’échelonnent entre 350 et 150 m[10],[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 10,91 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 11,26 km2[4].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Dalon et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[16],[Carte 1].

    Le Dalon, d'une longueur totale de 17,53 km, prend sa source dans la commune de Segonzac et se jette dans l'Auvézère à Anlhiac, après avoir traversé six communes[17].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 1 047 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lubersac », sur la commune de Lubersac, mise en service en 1988[26] et qui se trouve à 23 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 152,5 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 30 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[30], à 12,7 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Trie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,2 %), prairies (26,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,7 %), terres arables (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[38].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    La première mention écrite connue du lieu concerne son église et date de l'an 1047 sous la forme Ecclesia Sancti Trojani[39].

    Le nom de la commune se réfère à saint Trojan, évêque de Saintes au VIe siècle[39]. Le nom initial « Trojan » a été déformé en °Troja, puis °Truia avant d'aboutir à la francisation « Trie »[39].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Trían[40].

    Histoire

    L'église de Sainte-Trie est mentionnée dès 1047, antérieurement à la fondation de l'abbaye de Dalon en 1114[39].

    Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793, ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne.

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Trie-Argileux[6], ou Trie l'Argileuse[39].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de Sainte-Trie a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.

    En 1793, elle est rattachée au canton de Génis qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne, jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton de Génis est supprimé et la commune est rattachée au canton d'Excideuil dépendant de l'arrondissement de Périgueux[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[41]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord Noir.

    En 2017, Sainte-Trie est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[42],[43].

    Intercommunalité

    En 2009, Sainte-Trie rejoint la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1989 juin 1995 Roger Géraud    
    juin 1995 novembre 2020 Laurent Monteil[Note 8] SE[46] Exploitant agricole
    novembre 2020 juin 2021 Marc Chapon   Premier adjoint faisant fonctions de maire
    Ancien agriculteur
    juin 2021[47] En cours Claude Turbant    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Sainte-Trie relève[48] :

    Démographie

    Les habitants de Sainte-Trie se nomment les Saint-Trojannais[49].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].

    En 2019, la commune comptait 110 habitants[Note 9], en diminution de 3,51 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    400234312320426457440440458
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    415414406371364373372349348
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    366355346294253232258217183
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    154146134136118148130125114
    2018 2019 - - - - - - -
    110110-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante personnes, soit 45,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatre) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 7,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte dix-sept établissements[54], dont cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans la construction, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois au niveau des commerces, transports ou services, et un dans l'industrie[55].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    L'étang de Born en forêt domaniale de Born. La rive boisée située à droite se trouve sur Sainte-Trie.

    Au nord, la forêt domaniale de Born, une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 remarquable pour sa flore, se situe principalement sur les communes de Salagnac et de Saint-Mesmin mais deux petites zones au sud de l'étang de Born et au nord-est du lieu-dit chez Tuillas, dont la surface cumulée représente environ six hectares, se trouvent sur Sainte-Trie[62],[63].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Décédé en fonctions.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Sainte-Trie » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de Sainte-Trie » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    4. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Sainte-Trie », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 760 - Juillac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Repères géographiques des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Sainte-Trie », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Sainte-Trie », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. Sandre, « le Dalon »
    18. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    26. « Station Météo-France Lubersac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    27. « Orthodromie entre Sainte-Trie et Lubersac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    28. « Station Météo-France Lubersac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    29. « Orthodromie entre Sainte-Trie et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    30. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    35. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    39. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 383.
    40. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Trían sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 26 septembre 2021.
    41. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    42. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    43. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    44. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
    45. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
    46. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 8.
    47. Michel Pitout, « Claude Turbant est le nouveau maire », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 26.
    48. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    49. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 27 février 2017.
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    53. Dossier complet - Commune de Sainte-Trie (24507) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.
    54. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    55. Dossier complet - Commune de Sainte-Trie (24507) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.
    56. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 97.
    57. Sainte-Trie, extrait de Excideuil et son pays, p. 179-180, de Jean-Jacques Joudinaud, notice placardée à l'intérieur de l'église de Sainte-Trie, vue le 19 février 2017.
    58. « Abbaye de Dalon », notice no PA00082905, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 22 février 2017.
    59. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 45-46.
    60. « dalle funéraire (gisant) », notice no PM24000376, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 22 février 2017.
    61. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 113.
    62. [PDF] Forêt domaniale de Born sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 février 2017.
    63. Carte de localisation de la forêt domaniale de Born sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 février 2017.
    64. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 920.
    65. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 139.
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.