Boisseuilh

Boisseuilh est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Cet article concerne une commune du département de la Dordogne. Pour la commune située en Haute-Vienne, voir Boisseuil.

Boisseuilh

Le village et l'église de Boisseuilh.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort
Maire
Mandat
Gérard Mercier
2020-2026
Code postal 24390
Code commune 24046
Démographie
Gentilé Boisseuilhais
Population
municipale
120 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 18″ nord, 1° 10′ 35″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 266 m
Superficie 11,90 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Périgord Noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Boisseuilh
Géolocalisation sur la carte : France
Boisseuilh
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Boisseuilh
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Boisseuilh

    Géographie

    Généralités

    Située au nord-est du département de la Dordogne, la commune de Boisseuilh s'étend sur 11,90 km2.

    Traversé par la route départementale (RD) 72, le bourg de Boisseuilh se situe, en distances orthodromiques, quatre kilomètres au nord-est de Hautefort.

    Le territoire communal est également desservi par les RD 72E1, 72E2 et 77.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Carte de Boisseuilh et des communes avoisinantes.

    Boisseuilh est limitrophe de six autres communes, dont Badefols-d'Ans au sud sur environ 150 mètres.

    Communes limitrophes de Boisseuilh
    Cherveix-Cubas Génis Sainte-Trie
    Hautefort Badefols-d'Ans Teillots

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Boisseuilh est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l’ère primaire, antérieurement au Carbonifère[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque et du Paléozoïque. La formation la plus ancienne, notée tfρ3, est constituée de grès de Thiviers et d'ardoises d'Allassac, des métatufs rhyodacitiques à chlorite et métagrauwackes, séricitoschistes intercalés (Cambrien moyen à supérieur). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 760 - Juillac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Boisseuilh.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 153 m[5] à l'extrême sud-ouest, là où la Lourde quitte la commune et entre sur celle de Hautefort, et 266 m[5],[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans l'unité paysagère des « Marges du bassin de Brive », qui correspond à la marge occidentale du bassin de Brive. Elle se caractérise par une succession d’amples vallées, déblayées dans les grès roses et les argiles rouges. Les altitudes s’échelonnent entre 350 et 150 m[9],[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 11,90 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 12,17 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Lourde, le Dalon et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[15],[Carte 1].

    La Lourde, d'une longueur totale de 12,82 km, prend sa source dans la commune de Badefols-d'Ans et se jette dans l'Auvézère à Cherveix-Cubas[16],[17]. Elle marque la limite communale au sud sur deux kilomètres, face à Hautefort.

    Le Dalon, d'une longueur totale de 17,53 km, prend sa source dans la commune de Segonzac et se jette dans l'Auvézère à Génis, face à Anlhiac[18],[19]. Il borde la commune au nord-est sur cinq kilomètres, face à Génis et Sainte-Trie.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[22]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 1 028 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[26] complétée par des études régionales[27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lubersac », sur la commune de Lubersac, mise en service en 1988[28] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[29],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 152,5 mm pour la période 1981-2010[30]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 31 km[31], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[32], à 12,7 °C pour 1981-2010[33], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[34].

    Urbanisme

    Typologie

    Boisseuilh est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[35],[36],[37]. La commune est en outre hors attraction des villes[38],[39].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,7 %), prairies (39,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %)[40].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Boisseuilh proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[41] :

    • les Arcis
    • Argouillet
    • le Bamboulet
    • le Bois de Minet
    • la Borie
    • Brujou
    • la Buretterie
    • la Champélanie
    • le Château
    • la Contie
    • las Cortias
    • le Débat
    • les Débats
    • le Dognon
    • la Gare
    • la Lourde
    • la Maison Rouge
    • la Mallétie
    • Mazaupin
    • Néboule
    • le Penaud
    • le Perrier
    • le Petit Moulin
    • les Places
    • les Salles
    • le Theil.

    Toponymie

    La première mention écrite connue du lieu est relevée en l'an 1150 sur le cartulaire de Châtres sous la forme latine Boisolium[42]. En 1354 apparait la mention Buxolium, et Boyschuelh en 1408[42]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Boisseuil[43].

    Le nom se réfère au latin buxus signifiant buis, suivi du suffixe gaulois °-ialo correspondant à un champ ou une clairière[44]. Boisseuilh signifie donc « champ (ou clairière) planté de buis ».

    En occitan, la commune porte le nom de Boissuelh[45].

    Histoire

    Le repaire noble de Boisseuilh dépendait en 1150 de la châtellenie de Génis[46].

    Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793[44], ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de Boisseuilh a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.

    En 1793, elle est rattachée au canton de Génis qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne, jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton de Génis est supprimé et la commune est rattachée au canton de Hautefort dépendant de l'arrondissement de Périgueux[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[47]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord Noir.

    En 2017, Boisseuilh est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[48],[49].

    Intercommunalité

    Au , Boisseuilh intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[50],[51].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1964 mars 2008 Michel Géral    
    mars 2008
    (réélu en mai 2020)
    En cours Gérard Mercier SE[52] Agriculteur

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Boisseuilh relève[53] :

    Démographie

    Les habitants de Boisseuilh se nomment les Boisseuilhais[54].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[56].

    En 2019, la commune comptait 120 habitants[Note 8], en augmentation de 4,35 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    420368344241429426451419468
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    429417410376390377359375590
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    390417412336298277304312253
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    196184178169113114127118120
    2019 - - - - - - - -
    120--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[57].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante-six personnes, soit 39,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (six) a augmenté par rapport à 2010 (quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt établissements[59], dont six au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans l'industrie, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans la construction[60].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[25].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Boisseuilh » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Boisseuilh » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Boisseuilh », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 760 - Juillac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Boisseuilh », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Boisseuilh », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Lourde-Auvézère au sud-sud-ouest du Temple de l'Eau » sur Géoportail (consulté le 23 juillet 2022)..
    17. Sandre, « la Lourde »
    18. « Confluence Dalon-Auvézère à l'est de Guimalet » sur Géoportail (consulté le 23 juillet 2022)..
    19. Sandre, « le Dalon »
    20. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
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    23. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    25. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    26. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    30. « Station Météo-France Lubersac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    31. « Orthodromie entre Boisseuilh et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
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