Châtres (Dordogne)

Châtres est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Châtres.

Châtres

Le village de Châtres.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort
Maire
Mandat
Bernadette Merlin
2020-2026
Code postal 24120
Code commune 24116
Démographie
Gentilé Châtriers, Châtrières
Population
municipale
187 hab. (2019 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 11′ 11″ nord, 1° 11′ 54″ est
Altitude Min. 157 m
Max. 334 m
Superficie 12,20 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Périgord Noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Châtres
Géolocalisation sur la carte : France
Châtres
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Châtres
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Châtres

    Géographie

    Commune arrosée par un sous-affluent de la Vézère, le Taravellou.

    Communes limitrophes

    Carte de Châtres et des communes avoisinantes.

    Châtres est limitrophe de six autres communes. Au sud-est le territoire de Beauregard-de-Terrasson est distant d'environ 400 mètres et au nord-est celui de Louignac, en Corrèze, est éloigné d'environ 650 mètres.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Châtres est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l’ère primaire, antérieurement au Carbonifère[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque. La formation la plus ancienne, notée tfρ3, est constituée de grès de Thiviers et d'ardoises d'Allassac, des métatufs rhyodacitiques à chlorite et métagrauwackes, séricitoschistes intercalés (Cambrien moyen à supérieur). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 760 - Juillac » et « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Châtres.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 157 m et 334 m[6],[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans l'unité paysagère des « Marges du bassin de Brive », qui correspond à la marge occidentale du bassin de Brive. Elle se caractérise par une succession d’amples vallées, déblayées dans les grès roses et les argiles rouges. Les altitudes s’échelonnent entre 350 et 150 m[10],[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 12,20 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 12,55 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Taravellou, le ruisseau des Lions, la Forêt, le ruisseau de la Chapelle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[16],[Carte 1].

    Le Taravellou, d'une longueur totale de 10,51 km, prend sa source dans la commune de Badefols-d'Ans et se jette dans le Cern  dont il est le principal affluent  en rive droite, à La Bachellerie[17],[18]. Il arrose la commune sur sept kilomètres, servant de limite communale sur près de trois kilomètres, en deux endroits, face à Badefols-d'Ans et à Saint-Rabier.

    Sur l'ensemble de son cours, soit deux kilomètres, la Forêt, affluent du Taravellou, sert de limite communale au sud, face à Peyrignac.

    Le ruisseau des Lions, affluent de l'Elle, marque la limite territoriale au nord-est sur deux kilomètres, face à Villac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 1 043 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[27] et qui se trouve à 26 km à vol d'oiseau[28],[Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[29], à 12,7 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Châtres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,4 %), prairies (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %)[37].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de En Chastre[38].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Châtres a, dès 1790, été rattachée au canton de la Bachellerie qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Terrasson (devenu canton de Terrasson-la-Villedieu en 1963, puis renommé en canton de Terrasson-Lavilledieu en 1997) dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].

    Fin 2003, Châtres intègre la communauté de communes du Terrassonnais. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[39],[40].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1988  ? Jacques Lachaud PS  
             
      2004 Max Thibaut[Note 8]    
    2004
    (réélue en mai 2020)
    En cours Bernadette Merlin SE[41] Prothésiste retraitée

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Châtres relève[42] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44].

    En 2019, la commune comptait 187 habitants[Note 9], en diminution de 1,58 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    369373448471481523585600537
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    525532554586560564514451525
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510507514300292312302234232
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    220226187173181161163165184
    2015 2019 - - - - - - -
    190187-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[46], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 79 personnes, soit 41,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatorze) a augmenté par rapport à 2010 (onze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte treize établissements[47], dont six au niveau des commerces, transports ou services, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, un dans la construction, et un dans l'industrie[48].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Notre-Dame-de-la-Nativité.
    • Château d'Artigeas, ruiné[49].
    • Manoir de Larre, propriété de la famille Labrousse de Beauregard (XIXe siècle)[50].
    • Église Notre-Dame-de-la-Nativité, construite sur le site d'une ancienne chapelle[51].

    Personnalités liées à la commune

    Bernard Labrousse de Beauregard, né en 1735 à Montignac sur Vézère (paroisse de Brénac), chanoine régulier de Chancelade, prieur de Meux en 1774 puis prieur-curé de Champagnolles en 1778 (en Saintonge), député du clergé aux États généraux. Il résida dans le manoir de Larre pendant la Révolution avant de s’exiler en Espagne où il est mort (Villatobas, 1800). Il est l’auteur de poèmes et d’une histoire de la Révolution française retrouvée au Portugal[52],[53].


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Démissionnaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Châtres » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Châtres » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Châtres », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 760 - Juillac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Repères géographiques des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Châtres », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Châtres », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. « Confluence Tarvellou-Cern au sud du péage autoroutier » sur Géoportail (consulté le 24 juillet 2022)..
    18. Sandre, « le Taravellou ».
    19. « SAGE Vézère-Corrèze », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    21. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    22. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    23. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    24. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    25. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    29. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    30. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    39. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 août 2020.
    40. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
    41. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 27.
    42. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    46. Dossier complet - Commune de Châtres (24116) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
    47. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    48. Dossier complet - Commune de Châtres (24116) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
    49. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 16.
    50. Annales agricoles et littéraires de la Dordogne , 1874 (T35),p. 779.
    51. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 79.
    52. Francis Boddart, Un chanceladais méconnu : Bernard Labrousse de Beauregard , BSHAP, 1988, p. 349-356.
    53. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 517-518.
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