La Chapelle-Saint-Jean

La Chapelle-Saint-Jean est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir La Chapelle et Saint-Jean.

La Chapelle-Saint-Jean

Le village de La Chapelle-Saint-Jean.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort
Maire
Mandat
Daniel Boutot
2020-2026
Code postal 24390
Code commune 24113
Démographie
Gentilé Chapelais
Population
municipale
91 hab. (2019 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 11′ 42″ nord, 1° 09′ 42″ est
Altitude Min. 204 m
Max. 356 m
Superficie 3,70 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Périgord Noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Chapelle-Saint-Jean
Géolocalisation sur la carte : France
La Chapelle-Saint-Jean
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
La Chapelle-Saint-Jean
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
La Chapelle-Saint-Jean

    Géographie

    Généralités

    À l'est du département de la Dordogne, en Périgord central, la commune de La Chapelle-Saint-Jean est arrosée par le ruisseau de la Chapelle, un affluent du Taravellou.

    Le village de La Chapelle-Saint-Jean, à l'écart des routes principales, se trouve par la route à plus d'un kilomètre de la route départementale (RD) 62E3, et à près de trois kilomètres de la RD 704. Il se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au sud de Hautefort, dix kilomètres au nord-est de Thenon et treize kilomètres au nord-ouest de Terrasson-Lavilledieu.

    Communes limitrophes

    Carte de La Chapelle-Saint-Jean et des communes avoisinantes.

    La Chapelle-Saint-Jean n'est limitrophe que de trois autres communes.

    Communes limitrophes de La Chapelle-Saint-Jean
    Nailhac
    Saint-Rabier Châtres

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Chapelle-Saint-Jean est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques. La formation la plus ancienne, notée tfρ3, est constituée de grès de Thiviers et d'ardoises d'Allassac, des métatufs rhyodacitiques à chlorite et métagrauwackes, séricitoschistes intercalés (Cambrien moyen à supérieur). La formation la plus récente, notée g1a, est la formation de Boisbreteau moyen et la formation de la Garde, des sables feldspathiques à graviers et galets (Rupélien inférieur continental). Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 760 - Juillac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de La Chapelle-Saint-Jean.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 204 m[5] au sud, là où le ruisseau de la Chapelle quitte la commune et entre sur celle de Châtres, et 356 m[5] à l'extrême nord, au lieu-dit Puy la Cassade, en limite de la commune de Nailhac[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans l'unité paysagère des « Marges du bassin de Brive », qui correspond à la marge occidentale du bassin de Brive. Elle se caractérise par une succession d’amples vallées, déblayées dans les grès roses et les argiles rouges. Les altitudes s’échelonnent entre 350 et 150 m[9],[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 3,70 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 3,89 km2[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de la Chapelle-Saint-Jean.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le ruisseau de la Chapelle et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[15],[Carte 1].

    Le ruisseau de la Chapelle, affluent du Taravellou, arrose la commune dans sa partie ouest sur près de deux kilomètres et demi, servant sur plus de 800 mètres de limite territoriale avec Nailhac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 1 051 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[24] et qui se trouve à 29 km à vol d'oiseau[25],[Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[26], à 12,7 °C pour 1981-2010[27], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[28].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Saint-Jean est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (59,3 %), forêts (40,1 %), prairies (0,6 %)[34].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de La Chapelle-Saint-Jean proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux[35] :

    • Beaulieu
    • Belvédère
    • le Bigue
    • Chanteranne
    • le Maine
    • Maratoux
    • Moulin à Vent
    • Puy la Cassade
    • le Reclaud
    • le Vignaud.

    Toponymie

    Le nom du lieu fait référence à saint Jean Baptiste[36]. Le mot « chapelle » est issu de l'occitan capèla, et correspond à une église non paroissiale[37].

    En occitan limousin[38], la commune porte le nom de La Chapela Sent Joan[39].

    Les habitants de la commune se nomment les Chapelais et les Chapelaises[40].

    Histoire

    Sur le territoire communal ont été découverts un gisement préhistorique et des traces d'une fortification gallo-romaine, le « camp de César »[36],[41].

    La première mention écrite connue du lieu se rapporte à son église sous la forme Ecclesia Sancti Johannis[36] et remonte à l'an 1120, dans une bulle du pape Calixte II qui précise que Saint-Jean près Châtres dépend de l'abbaye de Tourtoirac[42].

    Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom révolutionnaire de La Montagne[5].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de La Chapelle-Saint-Jean a, dès 1790, été rattachée au canton d'Orse qui dépendait du district d'Excideuil. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton d'Orse en 1801. La commune est alors rattachée au canton de Hautefort, lui-même dépendant de l'arrondissement de Périgueux[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[43]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord Noir.

    En 2017, La Chapelle-Saint-Jean est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[44],[45].

    Intercommunalité

    Au , La Chapelle-Saint-Jean intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.

    Administration municipale

    La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[46],[47].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mai 1977[48]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Daniel Boutot SE[49] Enseignant

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, La Chapelle-Saint-Jean relève[50] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

    En 2019, la commune comptait 91 habitants[Note 8], en diminution de 3,19 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    12894135105149151154154157
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    143164181171163193193169184
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    18016916212313912112011389
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    986762746962759191
    2019 - - - - - - - -
    91--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante personnes, soit 43,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (sept) a fortement augmenté par rapport à 2010 (un) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,5 %.

    Établissements

    Au , la commune compte six établissements[55], dont deux dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[56].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Jean.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de la Chapelle-Saint-Jean » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de La Chapelle-Saint-Jean » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de La Chapelle-Saint-Jean », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 760 - Juillac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait des Marges du bassin de Brive », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de La Chapelle-Saint-Jean », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de la Chapelle-Saint-Jean », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « SAGE Vézère-Corrèze », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    17. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    18. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    19. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    20. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    21. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    22. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    23. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    24. « Station météofrance Brive - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    25. « Orthodromie entre La Chapelle-Saint-Jean et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    26. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    27. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    28. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    35. « la Chapelle-St-Jean » sur Géoportail (consulté le 8 novembre 2014)..
    36. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 104.
    37. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 100-101.
    38. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
    39. Le nom occitan des communes du Périgord - La Chapela Sent Joan sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 26 septembre 2021.
    40. Annuaire des maires de la Dordogne 2009, Mediapress, Périgueux, 2009, (ISSN 1770-3387), p. 103.
    41. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 79.
    42. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 233.
    43. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    44. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    45. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    46. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 29 août 2020.
    47. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
    48. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 16 août 2014.
    49. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 9.
    50. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    54. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Saint-Jean (24113) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
    55. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    56. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Saint-Jean (24113) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
    • Portail des communes de France
    • Portail de la Dordogne
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.