Saint-Rabier
Saint-Rabier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Rabier | |||||
![]() Le bourg de Saint-Rabier. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort | ||||
Maire Mandat |
Claude Delpy 2020-2026 |
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Code postal | 24210 | ||||
Code commune | 24491 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
579 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 10′ 10″ nord, 1° 09′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 117 m Max. 341 m |
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Superficie | 15,87 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Haut-Périgord Noir | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saint-rabier.fr | ||||
Géographie
Généralités
Commune arrosée par un sous-affluent de la Vézère, le Taravellou qui lui sert de limite à l'est avec les communes de Châtres, Peyrignac et La Bachellerie. Le Cern prend sa source en limite de la commune et de celle d'Azerat.
Communes limitrophes

Saint-Rabier est limitrophe de huit autres communes dont Sainte-Orse au nord-ouest sur environ 430 mètres.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Rabier est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques. La formation la plus ancienne, notée tfρ3, est constituée de grès de Thiviers et d'ardoises d'Allassac, des métatufs rhyodacitiques à chlorite et métagrauwackes, séricitoschistes intercalés (Cambrien moyen à supérieur). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 760 - Juillac » et « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène |
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Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène | non présent | ||||||||||||
Paléocène | non présent | ||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
non présent | |||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
Supérieur | non présent | |||||||||||
Moyen |
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Jurassique inférieur |
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Trias (201.3 - 252.17) |
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Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
Permien (252.17 - 298.9) |
non présent | |||||||||||
Carbonifère (298.9 - 358.9) |
non présent | ||||||||||||
Dévonien (358.9 - 419.2) |
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Silurien (419.2 - 443.8) |
non présent | ||||||||||||
Ordovicien (443.8 - 485.4) |
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Cambrien (485.4 - 541.0) |
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Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 117 mètres et 341 mètres[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 15,87 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 16,64 km2[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Taravellou, le Durand, le Pouchard, le ruisseau de la Chapelle et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[15],[Carte 1].
Le Taravellou, d'une longueur totale de 10,51 km, prend sa source dans la commune de Badefols-d'Ans et se jette dans le Cern à La Bachellerie, après avoir traversé six communes[16].
- Le Taravellou en limites de Châtres et Saint-Rabier.
- Réseaux hydrographique et routier de Saint-Rabier.
- Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Saint-Rabier.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne » et « Vézère-Corrèze ». Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Le SAGE « Vézère-Corrèze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[18]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[26] et qui se trouve à 30 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[28], à 12,7 °C pour 1981-2010[29], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[30].
Urbanisme
Typologie
Saint-Rabier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[32],[33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,4 %), prairies (28,6 %), forêts (23,9 %), zones urbanisées (4,2 %), terres arables (0,9 %)[36].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Risque inondation
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2020 pour le Cern, impactant sur Saint-Rabier la partie aval de son affluent le Pouchard[37],[38].
Histoire

La localité s'est appelée Sanctus Riberius dès le XIe siècle[40].
Le , près du pont de Rodas, sur le territoire communal, les Allemands fusillent trois hommes arrêtés plus tôt dans la journée à Azerat parmi lesquels Émile Coulon, maire d'Azerat, et son adjoint[41]. Le lendemain, ils fusillent deux autres personnes et détruisent trois maisons à Saint-Rabier[42]. Ils abattent également une réfugiée polonaise au lieu-dit les Courtissoux, et arrêtent sa fille de six ans qui sera déportée vers Auschwitz par le convoi no 71[42]. Toujours le , un marchand ambulant juif, ayant appris l'arrestation la veille de sa femme et de ses filles à La Bachellerie, s'est constitué prisonnier auprès des Allemands qui l'ont fusillé sur le territoire de Saint-Rabier, au lieu-dit les Champagnes[43].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Rabier a, dès 1790, été rattachée au canton de la Bachellerie qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Terrasson (devenu canton de Terrasson-la-Villedieu en 1963, puis renommé en canton de Terrasson-Lavilledieu en 1997) dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].
Intercommunalité
Fin 2003, Saint-Rabier intègre la communauté de communes du Terrassonnais. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].
Liste des maires

Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Rabier relève[49] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].
En 2019, la commune comptait 579 habitants[Note 8], en diminution de 3,18 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 250 personnes, soit 35,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-quatre) a fortement augmenté par rapport à 2010 (dix-huit) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,6 %.
Établissements
Au , la commune compte cinquante-trois établissements[54], dont vingt-deux au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans l'industrie, six dans la construction, et cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[55].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul
- Monument aux morts, place du Souvenir.
- Pigeonnier au Grand-Coderc.
- Pigeonnier au Féry.
Le clocher-mur de l'église. Le monument aux morts et l'église. Le monument aux morts. Manoir dans le bourg.
Personnalités liées à la commune
- Georges Lapouge (1914-2013), résistant, né à Saint-Rabier
Héraldique
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Blason | Coupé : au 1er de gueules à trois rocs d'échiquier d'or rangés en fasce, au 2d d'azur à un croissant d'argent[56].
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Détails | Reprend les armes gravées sur la cheminée du château de La Marche. Adopté en 2005. |
Voir aussi
Bibliographie
- Guy Penaud, Les crimes de la Division « Brehmer », Périgueux, éditions la Lauze, , 426 p. (ISBN 2-912032-65-2)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Rabier » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Rabier » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Rabier », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 760 - Juillac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Rabier », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Rabier », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- Sandre, « le Taravellou »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « SAGE Vézère-Corrèze », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Brive - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Rabier et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- [PDF] Arrêté n° DDT/SEER/RDPF/2020-02-005 du plan de prévention du risque inondation sur la commune de Saint-Rabier, p. 49-51, Préfecture de la Dordogne, 5 février 2020, consulté le 15 mars 2020.
- [PDF] Plan de prévention du risque inondation - Saint-Rabier - Carte des aléas pour la crue de référence, DREAL Nouvelle-Aquitaine, consulté le 16 mars 2020.
- Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Rabier sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 364, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
- Penaud 2004, p. 216-217.
- Penaud 2004, p. 257-258.
- Penaud 2004, p. 215.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
- Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 27.
- Danièle Willer, Litige autour des élections, Sud Ouest édition Périgueux du 24 avril 2014, p. 19.
- Angélique Pouch, « Dominique Bousquet réélu président », Sud Ouest édition Dordogne, 11 juillet 2020, p. 20.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Dossier complet - Commune de Saint-Rabier (24491) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Saint-Rabier (24491) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.
- « 24491 Saint-Rabier (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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