Belloy

Belloy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Belloy (homonymie).

Belloy

Mairie du village
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Christian Cardon
2020-2026
Code postal 60490
Code commune 60061
Démographie
Population
municipale
84 hab. (2019 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 11″ nord, 2° 39′ 18″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 133 m
Superficie 2,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Belloy
Géolocalisation sur la carte : France
Belloy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Belloy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Belloy
Liens
Site web https://www.belloy-60.fr

    Géographie

    Description

    Belloy est un village périurbain du Plateau picard situé à 19 km au nord-ouest de Compiègne, 24 km au nord-est de Clermont, 47 km au sud-est d'(Amiens et 55 km au sud-ouest de Saint-Quentin.

    Le territoire communal est limité au nord par l'ancienne route nationale 38 (actuelle RD 938) et est facilement accessible par l'autoroute A1.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Belloy
    Lataule
    Méry-la-Bataille
    Neufvy-sur-Aronde

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 718 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Belloy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,2 %), forêts (9,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    La commune compte un écart, la Ferme de Bauchemont, au sud du territoire communal.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 47, alors qu'il était de 43 en 2013 et de 39 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 91,5 % étaient des résidences principales, 6,4 % des résidences secondaires et 2,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Belloy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,4 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Belloy en 2018.
    Typologie Belloy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 91,5 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,4 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 2,1 7,1 8,2

    Histoire

    La terre de Belloy relevait de la seigneurie de Méry et du comté de Clermont. Elle appartint de bonne heure à la famille de Belloy qui tirait son nom de cette terre[21]

    La commune, instituée par la Révolution française, a été fugacement réunie de 1826 à 1835 à celle de Lataule[22].

    Le village est considéré comme largement détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[23] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Ressons-sur-Matz[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Belloy est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    ]
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Antoine Bardinet DVD[25] Président de l'amicale des maires du canton[26]
    2014[27] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Christian Cardon   Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2019, la commune comptait 84 habitants[Note 8], en diminution de 6,67 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    145151166126125122121109105
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    9810389958695997877
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    757746637579656063
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    495362647179838694
    2019 - - - - - - - -
    84--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 45 hommes pour 44 femmes, soit un taux de 50,56 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    2,6 
    12,5 
    75-89 ans
    12,8 
    20,0 
    60-74 ans
    20,5 
    30,0 
    45-59 ans
    28,2 
    10,0 
    30-44 ans
    20,5 
    20,0 
    15-29 ans
    10,3 
    7,5 
    0-14 ans
    5,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Jean - Cloche de l'église sonnant 10h :
    • Église Saint-Jean, reconstruite en briques en 1924-1925 en s’inspirant des dispositions de l’édifice précédent, tiotalement détruit pendant la Première Guerre mondiale et qui remontait, semble-t-il, au XVIIe ou au XVIIIe siècle[34].

    Personnalités liées à la commune

    Quelques noms de seigneurs de Belloy nous sont parvenus[21] :

    • Lanfroy est qualifié d'optimus dans un échange qu'il fit avec Hilduin de Saint-Denis, abbé de Saint-Denis, de plusieurs biens qu'il possédait dans le Parisis, au territoire de Belloy, la quinzième année du règne de Louis le Débonnaire (824) et le 9 février 940, il donna avec Teutgilde, sa femme et avec ses fils à la même abbaye, plusieurs manses et des serfs qu'il possédait à Belloy.
    • Hugues et Gauthier de Belloy sont cités dans différents titres, comme sires de Belloy.
    • Alméric de Belloy, comparaît à la donation que fait en 1144 Gérard de Picquigny à l'abbaye du Gard. Garin de Belloy est témoin dans une charte de 1190 avec ses fils Hugues et Henri. Il eut pour femme Mathilde.
    • Guy, sire de Belloy, seigneur de Morangle, reconnaît en 1279, être homme-lige de Jean, vidame d'Amiens.
    • Jean de Belloy, chevalier, fit une transaction en 1333, avec Pierre de Chambly, concernant la haute, moyenne et basse justice sur la terre de Belloy. Il servit le roi Philippe VI de Valois et assista à la bataille de Crécy. L'un de ses fils, Jacques de Belloy, chevalier, seigneur de Belloy en France, servit dans les armées du roi. Il épousa d'abord Jeanne du Lys, puis Isabeau de Soizy, dame de Poncey, dans la châtellenie de Méry. De son premier mariage il eut Ancel ou Anceau de Belloy, seigneur de Belloy en France, de Morangle près de Beaumont-sur-Oise, du Lys, d'Estouteville, etc. Il épousa le 18 mai 1391, Marie des Essarts, en présence de Simon de Bucy, évêque de Soissons et fut échanson du roi Charles V et mourut le 18 septembre 1460. Il eut Jacques de Belloy, tué à la bataille de Verneuil le 17 août 1424.
    • Pierre de Belloy, seigneur de Belloy, Morangle, mort avant 1481. De sa femme Catherine, il eut neuf enfants, dont Antoine de Belloy, seigneur de Belloy, qui épousa Madeleine Le Boulanger de Montigny. Leur fils Guillaume de Belloy, seigneur de Belloy, Ronssoy, Fontenettes, Mesnil-Saint-Denis, etc., épousa Antoinette de Perthuis.
    • Antoine de Belloy, chevalier, seigneur de Belloy, gentilhomme de la chambre du roi et chevalier de Malte en 1551. Il mourut en1567 et fut inhumé dans l'église de Belloy, où est sa tombe avec ses armes. Il avait épousé en premières noces Julienne de Montmirail dont il eut une fille Mathilde, et en secondes noces Catherine de Bar.
    • Pierre de Belloy, chevalier, épousa par contrat du 6 novembre 1503 Blanche de Villers, il était homme d'armes du roi. Son fils Jean de Belloy est procureur du roi Charles IX en 1570.
    • François de Belloy, seigneur de Belloy, épousa Madeleine Hesselin. Lieutenant des nobles de Paris il fut tué au service du roi
    • Philippe de Belloy, chevalier, marquis de Morangles, épousa Thérèse le Picard, et en secondes noces Jeanne-Louise d'Anchy, il fut maintenu dans sa noblesse et mourut en 1736, âgé de quatre-vingt-deux ans, laissant vingt enfants de ses deux mariages...
    • Philippe-Sébastien-Claude de Belloy, chevalier, comte de Belloy, seigneur d'Apremont, Oreillers, etc., page du roi et lieutenant de cavalerie, épousa à Paris, Claude-Valentine de Roussel. Leur fils unique Claude-François-Marie de Belloy, chevalier, seigneur de Campneuville, né en 1719, épousa le 23 septembre 1742, Louise-Françoise de Messier dont il eut trois enfants, entre autres Françoise-Marie, dame d'Orvillers, née le 3 février 1746.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Belloy », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
    • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Belloy et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Belloy et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 432 p. (lire en ligne), p. 314-316, sur Gallica.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    24. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
    25. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 37.
    26. « Quand les maires jouent à ni oui ni non », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Fiche commune : Belloy », Union des maires de l'Oise (consulté le ).
    28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Belloy (60061) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    34. Dominique Vermand, « Belloy, église Saint-Jean-Baptiste : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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