Bonlier

Bonlier est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Bonlier

Mairie de Bonlier.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CA du Beauvaisis
Maire
Mandat
Martine Maillet
2020-2026
Code postal 60510
Code commune 60081
Démographie
Population
municipale
476 hab. (2019 )
Densité 106 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 16″ nord, 2° 09′ 02″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 133 m
Superficie 4,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mouy
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bonlier
Géolocalisation sur la carte : France
Bonlier
Géolocalisation sur la carte : Oise
Bonlier
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bonlier

    Géographie

    Description

    Bonlier est un village picard du Beauvaisis situé à quelques kilomètres au nord-est de Beauvais, traversé par l'autoroute A16 (et où se trouve l'aire du Chêne Peuquet) et aisément accessible par l'ancienne route nationale 1 (actuelle RD 1001).

    On indiquait au début du XIXe siècle que le territoire communal était constitué d'une « plaine étendue, découverte, et dépourvue d'eau[1] » La superficie de Bonlier est de 447 ha[1].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 721 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[10] à 10,6 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Bonlier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,1 %), zones urbanisées (7,3 %), forêts (5,6 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 211, alors qu'il était de 168 en 2013 et de 146 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 92,9 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 7,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 17,9 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bonlier en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Bonlier en 2018.
    Typologie Bonlier[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 92,9 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 7,1 7,1 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité a été orthographié Bonliers, Bonlers, Bonliez et Bouliex[1]

    Histoire

    Bonlier était séparé de Guignecourt par la voie romaine qui reliait Beauvais à Paillart[20]

    Sous l'Ancien Régime, Le village était autrefois un vicariat dépendant de la succursale de Guignecourt[1].

    Louis Graves indique en 1830 que « La fondation de l'église remonte à l'année 1429 environ ; elle eut lieu par concordat passé entre les habitans et le curé de Guignecourt, qui s'engagea à fournir un vicaire pour desservir la chapelle; on apprend par quelques titres que cette chapelle, dédiée sous le nom de Ste.-Barbe, et placée aujourd'hui au centre du village, fut construite dans les bois de Bonlier. Vers 1540, le chapitre de la cathédrale de Beauvais, qui était seigneur de Guignecourt, voulut l'interdire, parce qu'elle avait été érigée sans sa permission, et qu'elle était dotée de terres sur lesquelles les chanoines avaient des prétentions, qu'ils ne purent soutenir sans doute ; car la chapelle fut maintenue, et reçut un accroissement notable en 1630 ; elle fut mise alors sous l'invocation de S. Roch[1] ».

    En 1830, la population de Bonliers, composée de petits propriétaires, vivait des activités agricoles. On comptait alors un moulin à vent dans le territoire communal[1].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Nivillers[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Mouy

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Bonlier était membre de la communauté de communes rurales du Beauvaisis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    La commune a quitté cette intercommunalité pour rejoindre le la communauté d'agglomération du Beauvaisis qui se créait, et dont est depuis membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1962   Maurice Segonds    
    1965   Maurice Staub    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Christine Valentin    
    mars 2008 2014 Guy Proucelle    
    28 mars 2014[23] 2020 Alain Drujon   Retraité
    2020 En cours Martine Maillet    

    Équipements et services publics

    La salle communale.

    La commune dispose d'un terrain de sport et d'une salle communale.

    Justice, sécurité, secours et défense

    Un corps de sapeur pompiers volontaires veille sur la population avec 13 pompiers volontaires[Quand ?]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

    En 2019, la commune comptait 476 habitants[Note 7], en augmentation de 17,53 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    280275280257272274246213218
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    194184191156168157156155148
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    163144142131123140147119128
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    161154178222338385383378400
    2015 2019 - - - - - - -
    419476-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 238 hommes pour 237 femmes, soit un taux de 50,11 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    0,0 
    4,2 
    75-89 ans
    4,2 
    18,8 
    60-74 ans
    20,2 
    20,5 
    45-59 ans
    14,7 
    15,1 
    30-44 ans
    20,6 
    20,9 
    15-29 ans
    22,3 
    20,5 
    0-14 ans
    18,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Économie

    La présence de sites archéologiques majeurs sur le territoire communal représente un potentiel culturel et touristique : le petit bois, les terres noires, l'église, la chaussée Brunehaut, le chemin de Montdidier.

    L'arrivée de l'autoroute A16 a modifié avec son aire de repos la topographie de la campagne de Bonlier à l'est et amené un remembrement de terres cultivables.

    Enfin un silo à grain et quelques entreprises dynamisent le village.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Un bâtiment en brique érigé en 1847 surélevée en 1892 abrite la mairie et la bibliothèque.

    L’église Saint-Roch, moderne sous sa couverture en toile verte, a été construite en 1957 sur les plans d'E.-J. Audebert[29] au milieu du village, l’ancienne église ayant été détruite en 1943 par une bombe alliée, sans doute en raison de sa proximité avec l'aérodrome militaire de Tillé utilisé alors par l'aviation allemande.

    Cette ancienne église était décrite en 1830 comme « de forme allongée, terminée pal' un chœur en demi-cercle, dont les fenêtres présentent le mélange d'ogives et de cintres arrondis, qui est propre aux dernières constructions de l'architecture gothique. Le portail est une large arcade en anse de panier, avec quelques cannelures. La sacristie , qui forme comme une. chapelle latérale; est un reste de la première église. La nef est lambrissée ; les voûtes du chœur, quoique construites en bois, figurent des arceaux gothiques avec pendentifs ; elles ont été achevées en 1780; il y a quelques restes d'assez beaux vitraux. Le clocher, placé sur la nef, est .couvert en ardoises; il s'élève d'environ 30 mètres au-dessus du sol[1] ».

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bonlier », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Nivillers, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 132 p. (lire en ligne), p. 44-45, sur Google Books
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Bonlier et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    20. Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise : rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département, Paris, Imprimerie impériale, , 213 p. (lire en ligne), p. 59, sur Gallica .
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. « Les maires de Bonlier », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    23. « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 19 (ISSN 1144-5092).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bonlier (60081) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    29. « Objet DAU-AUDEB-ND-5. Dossier Audebert. Eglise, Bonlier (Oise) : reconstruction », Cité de l'architecture et du patrimoine (consulté le ).
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