Bouret-sur-Canche

Bouret-sur-Canche est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

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Pour les articles homonymes, voir Canche.

Bouret-sur-Canche

Bouret-sur-Canche vue depuis la RD 339.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Jean-Marie Delattre
2020-2026
Code postal 62270
Code commune 62163
Démographie
Gentilé Bourétiens
Population
municipale
248 hab. (2019 )
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 16′ 11″ nord, 2° 19′ 30″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 147 m
Superficie 4,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bouret-sur-Canche
Géolocalisation sur la carte : France
Bouret-sur-Canche
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Bouret-sur-Canche
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bouret-sur-Canche

    Ses habitants sont appelés les Bourétiens.

    La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 38 158 habitants en 2018.

    Géographie

    La commune est située sur le fleuve côtier la Canche et la Méridienne verte.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

    Communes limitrophes de Bouret-sur-Canche
    Séricourt,
    Sibiville
    Frévent Rebreuve-sur-Canche
    Bonnières

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par la Canche, fleuve de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[1]. Et c'est dans la commune que le fossé Pierrain, d'une longueur de 1,3 km prend sa source et se jette dans la Canche, au niveau de la commune de Rebreuve-sur-Canche[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 797 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :

    • la haute vallée de la Canche en amont de Conchy-sur-Canche. Cette ZNIEFF correspond à la moyenne et à la haute vallée de la Canche, de l’amont de la commune de Conchy-sur-Canche jusqu’aux sources, au niveau de Magnicourt-sur-Canche[4] ;
    • la vallée du Vivier à Bouret-sur-Canche et le bois de Gargantua à Rebreuve-sur-Canche. Cette ZNIEFF s’étend sur la rive droite de la Canche et est formée, à l’Ouest d’un coteau où apparaît la craie blanche sénonienne à silex, et à l'Est, un boisement[5].

    et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Elle offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Bouret-sur-Canche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,7 %), prairies (16 %), forêts (0,7 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Voies de communication

    La commune est desservie par la route départementale D 339 reliant Arras à Frévent[14].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Borrais (1137), Bourech (1150), Borreic (1158), Borrez (1183), Borrec (1190), Borrech (1196), Bourrech sur Canche (1298), Boeuverez et Beuverech sur Canche (1375), Bourez (1720), Bourech sur Canche (1761), Petit-Bouret (XVIIIe siècle)[15], Bouretz sur Canche (1793), Bouret-sur-Canche depuis 1801[16].

    La Canche traverse la commune.

    Histoire

    En 1774 le village de Bourrez, situé à un quart de lieu de l'abbaye de Cercamps, dépendait du diocèse d'Arras, conseil souverain et provincial d'Artois, Parlement de Paris, Intendance de lille, bailliage et recettes de Saint-Pol-sur-Ternoise. Le village comptait deux feux et 117 personnes[17].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Pol de 1801 à 1926, puis, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[16].

    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes de la région de Frévent, créée fin 1998.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[18], le préfet du Pas-de-Calais a publié le 12 octobre 2015 un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[19].

    À l'initiative des intercommunalités concernées[20], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 un amendement à ce projet, proposant la fusion de :
    - la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[21] ;
    - la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants

    Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [22],[23] et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [24].

    Circonscriptions administratives

    La commune fait partie depuis 1801 du canton d'Auxi-le-Château[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Michel Oudart    
    mars 2008 En cours
    (au 3 février 2022)
    Jean-Marie Delattre   Chauffeur
    Réélu pour le mandat 2014-2020[25],[26],[27]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[30].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Bourétiens[31].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2019, la commune comptait 248 habitants[Note 6], en diminution de 0,8 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    295282264263284314323356332
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    309295308294280269245248253
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    240241224220204211187202228
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    191181186198194207239249245
    2014 2019 - - - - - - -
    256248-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 124 hommes pour 128 femmes, soit un taux de 50,79 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    2,4 
    9,8 
    75-89 ans
    11,1 
    21,3 
    60-74 ans
    27,0 
    21,3 
    45-59 ans
    16,7 
    16,4 
    30-44 ans
    18,3 
    14,8 
    15-29 ans
    10,3 
    16,4 
    0-14 ans
    14,3 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,5 
    5,4 
    75-89 ans
    8,9 
    15,9 
    60-74 ans
    17,3 
    20,2 
    45-59 ans
    19,4 
    19,1 
    30-44 ans
    18,2 
    18,6 
    15-29 ans
    16,3 
    20,3 
    0-14 ans
    18,3 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Vaast.
    • L'église Saint-Vaast.
    • La chapelle Notre-Dame du bon secours : fondée au commencement du XIVe siècle pour recevoir la statue de la mère de Dieu que des bergers de ce village venaient de trouver dans un buisson, à l'extrémité du terroir, vers Bouquemaison le seigneur de Bouret, qui était alors un sire de Chatillon, comte de Saint-Pol, la fit construire en 1317, sur le haut de la côte qui domine la vallée de la Canche il lui donna un chapelain et pourvut à son entretien en lui concédant, à titre de fondation : 1° un manoir qui servit de presbytère, 2° une partie de bois 3° quelques arpents de terre sur Bouret (un terrier de la seigneurie de ce village pour l'année 1747, qui est aujourd'hui la propriété de M.G Cappe, nous apprend que la chapelle ci-dessus possédait 14 mesures de terre et bois aux "marquois", vers le bois de la haie comte).
    Un pèlerinage s'y établit alors, et malgré les guerres des XV ,XVI, XIIe siècles, il est parvenu jusqu'à nous. Ruinée dans la guerre de 1635, la chapelle de Notre-Dame de Bon Secours fut reconstruite en 1644 par un sire de Hamel nouveau propriétaire de la seigneurie, et depuis elle servit toujours de sépultures aux membres de cette famille. Bien des fois la mère de Dieu y manifesta sa puissance, les béquilles et les autres ex-voto qui ornent le sanctuaire, en disent davantage que nous ne pourrions le faire. Or au XVIe siècle, l'hérésie tentant à pénétrer dans notre beau pays de France, les pèlerins vinrent plus nombreux à la chapelle de Bouret invoquer celle qu'on n'a jamais priée en vain. On fit alors fabriquer des souvenirs de Notre-Dame de Bon secours qui, vendus aux pèlerins, étaient emportés par eux, après avoir reçu la bénédiction du chapelain. L'un de ces souvenirs viens d'être trouvés, en abattant un arbre sur le chemin des pèlerins, entre Frévent et Bouret. Il est en étain, se compose d'une niche gothique surmontée d'un fronton triangulaire, orné de crosses végétales ; ce couronnement est soutenu par des colonnes corinthiennes plates, qui elles-mêmes contiennent des niches ovales renfermant des statues ; celle de droite un ange, et celle de gauche saint Jacques.
    La statue de Notre-Dame de Bons-Secours portant l'enfant dieu, occupe la grande niche de ce souvenir. La base est formée par des feuilles d'acanthe repliées et terminées par une écaille[37].

    Héraldique

    Blason
    De gueules au pal de vair ; au chef d'or chargé de trois étoiles de sable percées du champ[39].
    Détails
    Adopté par la municipalité en 1994.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - fossé Pierrain (E5400580) » (consulté le )
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « ZNIEFF 310014123 - Haute vallée de la Canche en amont de Conchy-sur-Canche », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « ZNIEFF 310030036 - Vallée du Vivier à Bouret-sur-Canche et bois de Gargantua à Rebreuve-sur-Canche », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    15. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 64.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Louis Alexandre Expilly - 1761 -Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France A lire
    18. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    19. « Ternois : le redécoupage des intercommunalités est en marche ! : La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunissait hier après-midi à la préfecture pour continuer à dessiner les contours du futur nouveau découpage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    20. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    21. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    22. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
    23. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    24. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
    25. « Bouret-sur-Canche - Élection sans surprise, Jean-Marie Delattre a été réélu », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    27. Christian Pruvost (CLP), « Bouret-sur-Canche - « La salle communale et la chapelle plus accessibles » : LES PROJETS DES MAIRES - Aux dernières élections, Jean-Marie Delattre, maire de Bouret-sur-Canche a présenté une liste de onze candidats qui ont été élus au premier tour. L’édile pense déjà améliorer les accès aux handicapés. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
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    30. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    31. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bouret-sur-Canche (62163) », (consulté le ).
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    37. de Cappe de Baîllon, Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais
    38. « Bouret-sur-Canche », Les monuments aux morts (France - Belgique), sur http://monumentsmorts.univ-lille3.fr (consulté le ).
    39. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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