Bourg-l'Évêque

Bourg-l'Évêque est une commune française, située dans le Haut-Anjou du département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir L'Évêque et Bourg-l'Évêque (homonymie).

Bourg-l'Évêque

L'église de Bourg-l'Évêque.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Anjou Bleu Communauté
Maire
Mandat
Hervé Gaudin
2020-2026
Code postal 49520
Code commune 49038
Démographie
Gentilé Épiscopaliens
Population
municipale
240 hab. (2019 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 12″ nord, 1° 00′ 43″ ouest
Altitude 111 m
Min. 54 m
Max. 103 m
Superficie 5,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Segré-en-Anjou Bleu
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Segré-en-Anjou Bleu
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bourg-l'Évêque
Géolocalisation sur la carte : France
Bourg-l'Évêque
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Bourg-l'Évêque
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Bourg-l'Évêque

    Simple bourg autour d'une église, créé par l'évêque d'Angers à la suite d'un défrichement, Bourg-l'Évêque reste encore aujourd'hui une commune rurale partiellement enclavée par les forêts. Elle est considérée comme une des paroisses les plus pauvres du Haut-Anjou au XVIIIe siècle. Si elle profita de l'exploitation de l'ardoise au XIXe et XXe siècles, elle reste cependant une commune à dominante agricole.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le Haut-Anjou, à environ 13 km de Pouancé, le chef-lieu de canton, et environ 14 km de Segré, la sous-préfecture.

    Topographie, géologie, relief

    Bourg-l'Évêque fait partie de l'unité paysagère du Segréen, et plus particulièrement de la sous-unité paysagère du Pouancéen, qui se caractérise par un paysage vallonné, aux ondulations orientées d'est en ouest où le maillage bocager tend à se densifier au fur et à mesure que l'on descend dans les vallons[1]. Environ un tiers du territoire communal est occupé par la forêt d'Ombrée, au sud. Sur le plan géologique, la commune se trouve sur un terrain schisteux, de formation silurienne provenant du massif armoricain.

    La commune se situe en haut d'une ligne de crête. Au nord, l'altitude est d'environ 90 mètres au-dessus du niveau de la mer, et monte progressivement jusqu'au bourg de la commune, qui culmine à 102 mètres. Le reste ensuite stable vers le sud, oscillant entre 80 et 90 mètres[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 743 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Segre », sur la commune de Segré-en-Anjou Bleu, mise en service en 1989[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 714,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 64 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Hydrographie

    Le territoire de la commune voit naître au nord le ruisseau de Ruthor, qui coule vers l'est en direction de Bouillé-Ménard. Un second ruisseau, au sud, traverse d'ouest en est la commune, délimitant la forêt d'Ombrée[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Bourg-l'Évêque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Segré-en-Anjou Bleu, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,7 %), forêts (35,4 %), prairies (16,5 %), zones urbanisées (5,9 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    À ce jour, il n'a été retrouvé aucun vestige permettant d'affirmer une présence humaine sur le territoire de Bourg-l'Évêque. Seuls des noms de lieux-dits peuvent faire penser à une éventuelle présence de mégalithes. Jusqu'à la période féodale, le territoire de la commune est entièrement recouvert de landes et de forêts[23].

    Moyen Âge

    Les seigneurs de Bouillé, suzerains du seigneur de Pouancé, font défricher une partie de leur domaine vers les XIe et XIIe siècles et en font don à l'évêque d'Angers, Ulger. Celui-ci y fonde un bourg et une église, et en fait don en 1148 au chapitre religieux Saint-Maurice d'Angers. En 1157, Guillaume de Pouancé donne au chapitre des droits sur la forêt d'Ombrée. Vers 1250, le village est mentionné par le nom de « Burgum Episcopi »[23].

    Ancien régime et Révolution

    Au XVIIIe siècle, la paroisse est considérée comme une des paroisses les plus pauvres de l'élection d'Angers, à cause de la faible présence de terres labourables. La population ne dépasse pas 400 habitants, qui payent 268 livres pour le vingtième, 540 livres pour la taille et 218 pour la capitation. Les impôts rentrent mal, ruinant les collecteurs. La paroisse ne dispose d'aucune sage-femme, d'aucun chirurgien, et d'aucune école.

    En 1790, la commune de Bourg-l'Évêque intègre la canton de Bouillé-Ménard avec huit autres communes. Le curé prête serment puis disparaît. Des nombreux chouans profitent de la forêt d'Ombrée pour s'y réfugier[23].

    Époque contemporaine

    En 1804, le canton de Bouillé-Ménard est démantelé, Bourg-l'Évêque intègre le canton de Pouancé. Le village va profiter des mines d'ardoises de Misangrain, à Combrée, qui se développent à la fin du XIXe siècle[23].

    Pendant la Première Guerre mondiale, 15 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 2 habitants sont tués dont un en déportation[24].

    Politique et administration

    Bourg-l'Évêque est située dans le canton de Pouancé, arrondissement de Segré, dans le département de Maine-et-Loire. La commune comptant moins de 500 habitants, son conseil municipal est constitué de 11 élus.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1808 Maslin    
    1808 janvier 1815 Michel-Joseph Jallot    
    janvier 1815 mars 1815 Desbois    
    mars 1815 1826 André Denuault    
    1826 1830 François Burin    
    1830 1856 Michel Jallot    
    1856 1858 Pierre Coconnier    
    1858 1878 Jean Peteul    
    1878 1892 René Delaune    
    1892 1896 Théophile Lemasle    
    1896 1904 René Delaune    
    1904 1935 François Marsollier    
    1935 1953 François Mourin    
    1953 1966 Francis Esnault    
    1966 1989 Clovis Galon    
    1989 2002 Jacques Cosnelle   Chef de fabrication retraité
    2002 décembre 2015 Rémy Galon[25],[26]   Agriculteur retraité
    février 2016 mai 2020 Patrice Fournier[27]    
    mai 2020 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Hervé Gaudin[28]    

    Intercommunalité (1966-1995-2016)

    La commune adhère, comme les autres communes du canton de Pouancé, à un syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVM) créé en 1966. Celui-ci devient la communauté de communes de la région de Pouancé-Combrée en 1995[29]. Le 14 décembre 2016, elle se retire de la communauté qui est dissoute le lendemain. Le 1er janvier 2017 la commune est rattachée à Anjou Bleu Communauté.

    Population et société

    Évolution démographique

    Dans son Dictionnaire Historique, Géographique et Biographique de Maine-et-Loire, Célestin Port livre le compte de la population de Bourg-l'Évêque sous l'Ancien Régime. La population est exprimée en « feux », c'est-à-dire en foyer de famille. Pour estimer le nombre d'habitants, il faut appliquer un coefficient multiplicateur de 5. En 1720, la paroisse comptait 85 feux, pour 385 habitants[23].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2019, la commune comptait 240 habitants[Note 7], en augmentation de 3,9 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    367294382390380377355342370
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    361384371361321310346354386
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    523504407356374340289271386
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    353319255207198214214211221
    2015 2019 - - - - - - -
    252240-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,5 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 120 hommes pour 125 femmes, soit un taux de 51,02 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    0,8 
    4,3 
    75-89 ans
    10,1 
    20,0 
    60-74 ans
    17,6 
    23,5 
    45-59 ans
    19,3 
    26,1 
    30-44 ans
    20,2 
    8,7 
    15-29 ans
    13,4 
    17,4 
    0-14 ans
    18,5 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2 
    6,9 
    75-89 ans
    9,5 
    15,5 
    60-74 ans
    16,3 
    19,4 
    45-59 ans
    18,8 
    18,6 
    30-44 ans
    17,7 
    18,6 
    15-29 ans
    17,5 
    20,2 
    0-14 ans
    18,2 

    Enseignement

    Bourg-l'Évêque possède une école élémentaire publique dépendant de l'académie de Nantes, en RPI avec Bouillé-Ménard. Les collèges se trouvent à Pouancé et les lycées se situent à Segré.

    Santé

    Il n'y a pas de médecin ni d'infirmier installé à Bourg-l'Évêque. Les plus proches sont basés à Combrée. Les hôpitaux se trouvent à Pouancé ou Segré. La clinique la plus proche se situe à Segré, de même que le service maternité.

    Autres équipements, commerces et tourisme

    La commune dispose pour équipement sportif d'un terrain de football et d'un plan d'eau pour la pêche, ainsi que d'une bibliothèque et une salle des fêtes d'une capacité de 90 personnes pour équipement culturel[36].

    Pour le tourisme, la commune est affiliée à l' Office de Tourisme de l'Anjou bleu[37].

    Économie

    Selon l'INSEE, la commune comptait en 2009, hors exploitations agricoles, quatre entreprises dont deux dans l'industrie et deux dans le commerce, le transport, la réparation automobile et les services divers[38].

    Agriculture

    On comptait 9 exploitations agricoles en 2000[38]. Le nombre d'exploitations a augmenté entre 1988 et 2000, passant de 6 à 9, de même que la superficie cultivée a, elle, augmenté dans cette période, passant de 224 hectares à 296 hectares (55 hectares par exploitation)[38].

    Appellations sur le territoire

    La commune possède au total une quinzaine d'appellations sur le territoire[39]:

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Bourg-l'Évêque possède peu de bâtiments remarquables. Cependant, parmi les maisons anciennes près de l'église, on trouve une ancienne maison qualifiée de « seigneuriale », appartenant autrefois à l'ancien chapitre Saint-Maurice, mais dont la datation reste encore discutée. On trouve également sur la commune une maison de maître datant du XVIe siècle, possédant des encadrements en pierre bleue et une tourelle coiffée en poivrière. L'église même, datant du XIXe siècle, possède une simple nef avec un transept peu marqué. Le clocher consiste en une tour hors-œuvre, surmontée d'une flèche[F 1].

    Bibliographie

    • Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 33141105, lire en ligne)
    • Jean-Luc Flohic (dir.), Aude Guiheneuc et Rémy Toulouse, Le Patrimoine des communes de Maine-et-Loire, .
    1. p. 1020.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Atlas des paysages du Maine-et-Loire, 2003, Édition le Polygraphe, p. 164.
    2. « Bourg-l'Evêque », sur geoportail.fr (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Segre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bourg-l'Évêque et Segré-en-Anjou Bleu », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Segre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bourg-l'Évêque et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Dictionnaire historique, géographie et biographique du Maine-et-Loire, Célestin Port, éd. 1996
    24. Memorialgenweb.org - Bourg-l'Évêque : état récapitulatif des morts
    25. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la Préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
    26. Bourg-l'Évêque. Le maire, Rémy Galon, est décédé à l'âge de 68 ans, Ouest-France, 5 décembre 2015
    27. « Municipales 2020. À Bourg-l’Évêque, le maire Patrice Fournier veut passer le relais », sur Ouest-France, .
    28. « Bourg-l'Évêque. Hervé Gaudin élu maire à l’unanimité », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    29. « Communauté de Communes de la région de Pouancé-Combrée », sur cc-pouance-combree.fr (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bourg-l'Évêque (49038) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    36. « Bourg-l'Evêque », sur Communauté de communes de la région Pouancé-Combré (consulté le ).
    37. anjou-tourisme.com
    38. Évolution et structure de la population sur statistiques-locales.insee.fr
    39. Bourg-l’Évêque sur le site de l'INAO - Consulté le 7 juin 2011
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