Canny-sur-Thérain

Canny-sur-Thérain est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Thérain (homonymie).

Canny-sur-Thérain

La mairie de Canny-sur-Thérain.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie Verte
Maire
Mandat
Philippe Lavernhe
2020-2026
Code postal 60220
Code commune 60128
Démographie
Population
municipale
226 hab. (2019 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 08″ nord, 1° 43′ 00″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 224 m
Superficie 5,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Canny-sur-Thérain
Géolocalisation sur la carte : France
Canny-sur-Thérain
Géolocalisation sur la carte : Oise
Canny-sur-Thérain
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Canny-sur-Thérain

    Géographie

    Description

    Ambiance du village : la Rue principale.

    Canny-sur-Thérain est un village picard de la vallée du Thérain, partiellement situé dans le Pays de Bray et à l'extrémité ouest du département de l'Oise, en bordure de celui de la Seine-Maritime, situé à 13 km à l'est de Forges-les-Eaux, 18 km au sud d'Aumale, 53 km au sud-ouest d'Amiens, 34 km au nord-ouest de Beauvais et à 47 km au nord-est de Rouen.

    Il est accessible :

    Au milieu du XIXe siècle, le territoire communal était décrit comme ayant, « du sud au nord, une étendue qui dépasse cinq kilomètres, tandis que la dimension opposée est à peine de quinze cents mètres. Sa superficie est fort inégale, étant traversée du nord au sud par un large ravin ramifié, et du nord-ouest au sud-est par la vallée de Thérain , à laquelle se réunissent des vallons descendant du Haut-Bray. Un tiers environ de la contenance, situé à droite du Thérain, est compris en effet dans le pays de Bray. Les coteaux sont couverts de bois[1] ».

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le Therain au bas du parc de la mairie.

    Comme le nom de la commune le laisse penser, la commune est traversée par le Thérain, un affluent de rive droite de l'Oise et donc un sous-affluent de la Seine. Le cours d'eau est bordé de zones humides et d'étangs.

    Deux ruisseaux venant du sud du territoire communal viennent confluer dans le Thérain.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 861 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 32 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Climat de la Picardie

    Données météorologiques dans l'Oise de 1961 à 1990[15]
    MoisJanFévMarAvrMaiJuiJuiAoûSepOctNovDécAnnée
    Températures minimales (°C) 1 1,1 2,7 4,4 7,6 10,3 12,2 12,2 10,4 7,7 3,9 1,8 6,3
    Températures maximales (°C) 5,6 6,5 9,4 12,4 16,2 18,9 21,0 21,3 18,9 14,8 9,4 6,5 13,4
    Températures moyennes (°C) 3,3 3,8 6,0 8,4 11,9 14,6 16,6 16,7 14,7 11,3 6,7 4,2 9,8
    Ensoleillement (h) 52,6 81,3 114,0 165,6 199,0 209,7 215,4 207,8 151,5 113,7 74,4 47,5 1637,9
    Pluviométrie (mm) 59,2 48,3 55,0 48,1 53,6 61,8 57,4 57 68 71,8 81,2 70,2 731,5

    Urbanisme

    Typologie

    Canny-sur-Thérain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,2 %), zones agricoles hétérogènes (29,2 %), terres arables (19,1 %), forêts (13,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Canny-sur-Thérain compte plusieurs hameaux :

    • Saint-Paterne, au nord du Thérain
    • Merlet, plus au nord encore
    • Moimont, toujours plus au nord de la commune.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 110, alors qu'il était de 104 en 2013 et de 94 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 83,5 % étaient des résidences principales, 9,9 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Canny-sur-Thérain en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (9,9 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Canny-sur-Thérain en 2018.
    Typologie Canny-sur-Thérain[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 83,5 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 9,9 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 6,6 7,1 8,2

    Toponymie

    Le poteau Michelin de Canny-sur-Thérain, en 2015

    La localité a été désignée comme Canni, Cauni , Cauny, Chauny, Calny, Canny- Vontagne (Cainneium en 1159, Caigneium en 1221, Cannetum, Canisium)[1].

    Histoire

    Un cimetière ancien, daté alors de l'époque franque, est découvert en 1890 au hameau de Saint-Paterne, démontrant l'occupationa ancienne du site[23].

    L’église Saint-Leu n’aurait obtenu son statut d’église paroissiale qu’en 1517, sans doute pour pallier la désaffection progressive de la première église, Saint-Paterne, bâtie sur le versant nord de la vallée et faisant désormais office de chapelle du cimetière[24].

    Sous l'Ancien Régime, Canny-sur-Thérain faisait partie du marquisat d'Haucourt[1].

    En 1850, la partie de Canny située dans le Pays de Bray comptait des glaisières et des sablonnières. Deux moulins à farine se trouvaient dans la vallée, plus un servant au polissage mécanique des verres à lunettes[1], exploité en 1846 par la société Wallet frères[25]. Quelques habitants fabriquent alors des cadres à miroirs[1]. En 1876, Jules Kail crée à Canny-sur-Thérain une usine de fabrication d'objectifs d'appareils photo et de jumelles, qui, après avoir utilisé l'énergie hydraulique, s’est dotée en 1888 d'une machine à vapeur. En 1897, l'usine, qui avait sans doute doute succédé au moulin à polir les lunettes, occupait 3 ha et 90 ouvriers[26].

    Le village a été desservi par la ligne de Milly-sur-Thérain à Formerie, une des lignes de chemin de fer secondaire à voie métrique du réseau des Chemins de fer départementaux de l'Oise. Cette ligne est construite par la compagnie des Chemins de fer de Milly à Formerie et de Noyon à Guiscard et à Lassigny et mise en service en 1894 pour desservir la vallée du Thérain. La compagnie disparait en 1920, absorbée par la Compagnie générale de voies ferrées d'intérêt local (CGL) qui poursuit l'exploitation de la ligne jusqu'à sa fermeture le [27]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Formerie[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Grandvilliers

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Canny-sur-Thérain est membre de la communauté de communes de la Picardie Verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Le territoire de cette intercommunalité correspond à l'ensemble des communes des anciens cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille-en-Beauvaisis, ainsi que certaines communes de celui de Songeons.

    La commune fait également partie du Grand Beauvaisis , l'un des seize pays a constituer le Pays de Picardie[réf. nécessaire] .

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    août 1856   Marin Auguste Langlois    
    avant 1962   I. Guillotte    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Guy Grelet    
    2001 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Philippe Lavernhe PS Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31]

    Équipements et services publics

    Dépourvu de commerces depuis une trentaine d'années, le village accueille en 2019, avec l'aide de la municipalité, une boutique de fleuriste[32].

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Saint-Samson-la-Poterie, Campeaux, Mureaumont et Héricourt-sur-Thérain dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) doté d'une cantine[33].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2019, la commune comptait 226 habitants[Note 8], en augmentation de 1,8 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    260246325297352348297297295
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    295284308295270246252221246
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    242249215201234242221211206
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    194178118125123147185185211
    2015 2019 - - - - - - -
    230226-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 117 hommes pour 110 femmes, soit un taux de 51,54 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90 ou +
    0,0 
    0,0 
    75-89 ans
    2,8 
    18,1 
    60-74 ans
    14,7 
    22,4 
    45-59 ans
    19,3 
    19,8 
    30-44 ans
    20,2 
    16,4 
    15-29 ans
    24,8 
    22,4 
    0-14 ans
    18,3 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Leu est un édifice du XIIIe siècle de style homogène, caractéristique des petite église de campagne de style gothique de l'époque, et constituée d'une nef prolongée par un chœur légèrement surélevé et constitué d’une travée droite et d’une abside à trois pans. Le clocher date de 1780[24].
    • La chapelle Saint-Paterne, au hameau du même nom, ancienne église paroissiale devenue chapelle funéraire.
    • Circuit de randonnée la Via Romana, de 18,5 km, reliant Héricourt-sur-Thérain, Saint-Samspn-la Poterie à Canny par la vallée du Thérain et le plateau[39].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Canny-sur-Thérain », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 126 p. (lire en ligne), p. 44-46, sur Google Books.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Canny-sur-Thérain et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Canny-sur-Thérain et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. Relevés météorologiques d'Abbeville, Somme (80), de 1961 à 1990 (infoclimat.fr)
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. « Séance du 21 avril 1890 », Compte-rendu des séances, Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, , p. 19 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
    24. Dominique Vermand, « Canny-sur-Thérain, église Saint-Leu : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    25. Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, Paris, Firmin-Didot frères, , 1703 p. (lire en ligne), p. 1120.
    26. « La fabrication des verres d'optique », Le Panthéon de l'industrie, vol. 23, , p. 2-3 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica..
    27. Claude Wagner, Voies métriques en Picardie : Histoire des voies ferrés d'intérêt local dans l'Oise, Auray, Éd. LR Press, , 280 p. (ISBN 978-2-903651-74-9)
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. « Les maires de Canny-sur-Thérain », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    30. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Fiche commune : CANNY-SUR-THERAIN », Union des maires de l'Oise (consulté le ).
    31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
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    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    39. Panneau touristique de Canny-sur-Thérain
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