Carnac-Rouffiac

Carnac-Rouffiac est une commune française, située dans le sud-ouest du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le Quercy Blanc, une région naturelle correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.

Cet article possède un paronyme, voir Karnak (homonymie).

Ne doit pas être confondu avec Carnac.

Carnac-Rouffiac
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble
Maire
Mandat
Mathieu Molinié
2020-2026
Code postal 46140
Code commune 46060
Démographie
Gentilé Carnacois[1]
Population
municipale
228 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 24′ 53″ nord, 1° 13′ 57″ est
Altitude 270 m
Min. 130 m
Max. 300 m
Superficie 13,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Luzech
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Carnac-Rouffiac
Géolocalisation sur la carte : France
Carnac-Rouffiac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Carnac-Rouffiac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Carnac-Rouffiac

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Séoune, le Lissourgues et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Carnac-Rouffiac est une commune rurale qui compte 228 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 809 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Carnacois ou Carnacoises.

    Géographie

    Commune située dans le Quercy, entre Cahors et Tournon-d'Agenais.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Carnac-Rouffiac[2]
    Bélaye Albas
    Fargues Sauzet
    Barguelonne-en-Quercy

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 877 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montcuq - Rouil », sur la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc, mise en service en 1972[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 824,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 38 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[15] : les « pelouses, landes et bois du Mont Panicou, de Terret, de Belleguine et de la combe Duberte » (413 ha), couvrant 2 communes du département[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Carnac-Rouffiac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[I 1],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,5 %), forêts (33,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,3 %), cultures permanentes (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), terres arables (3,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Carnac

    Il s'agit apparemment d’une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -ac, terminaison qui est issue du suffixe gaulois -ācon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. Le premier élément Carn- admet deux explications : la première, et la plus répandue, est que cet élément représente un anthroponyme, en effet depuis les travaux d’Henri d'Arbois de Jubainville et confirmé par les travaux des celtisants, tels que Pierre-Yves Lambert, il est admis que la plupart des formations en -acum, contiennent un nom de personne. Dans ce cas, les toponymistes proposent un type *Carnus, nom de personne gaulois ou gallo-romain non attesté[20],[21].

    Cependant Albert Dauzat envisage aussi, de manière secondaire, la même explication que pour Carnac en Bretagne, à savoir, un élément carn- qui représente le celtique[20] et pré-celtique *karn- qui signifie « amas de pierre »[20], dérivé du pré-indo-européen *kar « pierre, rocher » (celtique cairn « tas de pierres »→« tumulus »→« lieu sacré », breton karn « tas de pierre »)[20]. Cependant dans ce cas il ne peut s'agir du brittonique (breton), mais nécessairement du gaulois *carn de même origine. Le gaulois carn- est indirectement attesté par un verbe carnitu, carnitus mentionné dans des inscriptions qui signifierait « a placé, a érigé (une tombe) »[22]. karni- est un verbe qui à l'origine voulait simplement dire « empiler des pierres » qui a pris le sens plus technique d’« ériger un tombeau »[22].

    Homonymie avec les Charnat (Puy-de-Dôme, Charnac 1277, type nord occitan); Charnay (Doubs, Rhône, Saône-et-Loire, Jura, formes d'oïl et franco-provençale); Charny (Meuse, Carnacum IXe siècle, Carniacum 973, forme d'oïl, rafraîchie avec la variante -iacum), tout comme Charny (Seine-et-Marne, Carni 1170, Carniacum 1200); Charny (Yonne, Côte-d'Or, Aube)[20]. L'écueil qui consiste à proposer un nom de personne non documenté peut être évité en proposant l'anthroponyme roman Carenus[23].

    Rouffiac

    Ce toponyme est formé de la même façon à partir de Ruffius[21].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Carnac, ancienne commanderie de Templiers puis des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[24]. Les Hospitaliers, seigneurs du lieu, ont fait placer un grand retable dans le chœur[25],[26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    avril 2014 mai 2014 Délégation spéciale[28]    
    mai 2014 En cours Albert Castadot    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2019, la commune comptait 228 habitants[Note 7], en diminution de 1,72 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    457663665773764730731762809
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    736722715729695657609552518
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510457404347274270266274268
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    235200178175202202236247247
    2014 2019 - - - - - - -
    221228-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 112 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 214 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 420 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]9 %9,8 %10,6 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 111 personnes, parmi lesquelles on compte 73,4 % d'actifs (62,8 % ayant un emploi et 10,6 % de chômeurs) et 26,6 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 23 en 2013 et 21 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 72, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42,9 %[I 10].

    Sur ces 72 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    13 établissements[Note 10] sont implantés à Carnac-Rouffiac au [I 13]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,8 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 13 entreprises implantées à Carnac-Rouffiac), contre 13,5 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations211489
    SAU[Note 11] (ha)440312300286

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 3]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (21 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 286 ha[35],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Carnac-Rouffiac » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Carnac-Rouffiac » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Carnac-Rouffiac » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Carnac-Rouffiac » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. https://www.habitants.fr/lot-46
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Montcuq - Rouil - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Carnac-Rouffiac et Montcuq-en-Quercy-Blanc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Montcuq - Rouil - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Carnac-Rouffiac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Carnac-Rouffiac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF les « pelouses, landes et bois du Mont Panicou, de Terret, de Belleguine et de la combe Duberte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6)
    21. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 108, 109.
    22. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Arles/impr. en Lituanie, Éditions Errance, , 440 p. (ISBN 978-2-87772-631-3 et 2-87772-631-2, OCLC 1055598056, lire en ligne), p. 105 - 106
    23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : formations préceltiques, celtiques, romanes, Volume Ier, librairie Droz, Genève, 1990, p. 451 (lie en ligne)
    24. Patrimoine du Lot : église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption, commanderie de templiers puis d'hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem (Carnac-Rouffiac)
    25. Patrimoine du Lot : retable du maître-autel - église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption (Carnac-Rouffiac)
    26. Patrimoines Midi-Pyrénées : église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption, commanderie de templiers puis d'hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem
    27. « Les maires de Carnac-Rouffiac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    28. Carnac et Nadillac : on vote ou pas ? sur ladepeche.fr du 15 avril 2014.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    34. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    35. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Carnac-Rouffiac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Autel des Rogations », notice no PA00095046, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Patrimoines Midi-Pyrénées : croix monumentale : autel des Rogations, ou oratoire, ou reposoir de Sauzet
    38. Patrimoine du Lot : église paroissiale Saint-Simon et Saint-Jude (Carnac-Rouffiac)
    39. Patrimoines Midi-Pyrénées : église paroissiale Saint-Simon et Saint-Jude
    40. « Église paroissiale Saint-Simon et Saint-Jude », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    41. « Église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption, commanderie de templiers puis d'hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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