Carrouges
Carrouges est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 643 habitants[Note 1].
Carrouges | |
La mairie et la poste. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Orne |
Arrondissement | Alençon |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Fertois et du Bocage Carrougien (siège) |
Maire Mandat |
Pierre Chivard 2020-2026 |
Code postal | 61320 |
Code commune | 61074 |
Démographie | |
Population municipale |
643 hab. (2019 ) |
Densité | 75 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 34′ 06″ nord, 0° 08′ 40″ ouest |
Altitude | Min. 240 m Max. 361 m |
Superficie | 8,58 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Magny-le-Désert |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.carrouges.fr |
Géographie
Localisation
Pays de bocage, dans la campagne d'Alençon. La commune se situe dans le parc naturel régional Normandie-Maine.
Géologie et relief
Carrouges étant une commune située à 320 mètres d'altitude, sur le versant nord du signal d'Écouves, le plus haut sommet de Normandie (417 mètres).
Sismicité
Commune située dans une zone de sismicité faible[3].
Hydrographie et les eaux souterraines
Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux (S.A.G.E.) du Bassin de l'Orne.
- Recensement des ouvrages de prélèvement d’eau souterraine, autres que ceux destinés à l’alimentation en eau potable[4].
- Hydrogéologie de la commune : masse d'eau souterraine[5].
- Udon (rivière).
- Ruisseaux du Moulin de Besnard, de Rohan, des Noes Morins, du Grand Pied.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pre-en-Pail_sapc », sur la commune de Pré-en-Pail-Saint-Samson, mise en service en 1945[12] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[13],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 860,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et à 23 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,9 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[18].
Voies de communications et transports
Voies routières
La D2 relie Alençon et Argentan via Carrouges, et dessert Lonrai, Cuissai, Livaie, Roupperroux, Chahains, Carrouges, Le Menil-Scelleur, Boucé, Fleuré et Sarceaux.
Transports en commun
- Autocars[19] :
- Ligne Alençon – Carrouges – La Ferté-Macé,
- Ligne Carrouges – Argentan.
Ancienne voie ferrée
Intercommunalité
Commune membre de la Communauté de communes du Pays Fertois et du Bocage Carrougien.
Urbanisme
Typologie
Carrouges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[20],[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,8 %), terres arables (30,5 %), forêts (12,9 %), zones urbanisées (5,9 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Toponymie
En langue d'oïl le mot carrouge est l'évolution naturelle et logique du latin quadrivium, « carrefour »[27]; le -s indique un pluriel ou est sans sens particulier.
Histoire
- Au Moyen Âge, la paroisse de Carrouges fait partie du doyenné d'Asnebec.
- En 1386, Jean IV de Carrouges, rentrant d'une expédition en Écosse, apprend de sa femme Marguerite de Thibouville qu'elle a été violée au château en son absence par Jacques le Gris. Celui niant et justice ne lui étant pas rendue par Pierre II d'Alençon, obtient du parlement de Paris de l'affronter dans l'un des derniers duels judiciaires français. Il en sort victorieux en tuant Jacques le Gris, ce qui vaut décision de justice.
- En 1490, sous le roi Charles VIII, Jean de Blosset, seigneur de Carrouges et grand maréchal de Normandie, fonde sur ses terres, auprès de son château, une collégiale (dédiée à Notre-Dame du Bon Confort) composée de six chanoines prébendés « à la nomination du seigneur qui était aussi le collateur des bénéfices ». Ces prébendes sont estimées en 1698 à 200 livres, dans le Mémoire de la Généralité d'Alençon établi par l'intendant M. de Pommereuil.
Il est également précisé en 1698 qu'une juridiction appelée « grenier d'impôt » (en rapport avec la gabelle payée sur le sel) est située à Carrouges.
- Au XVIIIe siècle, dans la description de la généralité d'Alençon (subdivision : élection de Falaise) il est noté : « les forges de Carrouges, de Rânes, du Champ-de-la-Pierre et de Cossé occupent une bonne partie des habitants des paroisses voisines ».
- Au moment de la Révolution française de 1789, la commune s'appelle « Carrouges-la-Montagne ».
- Au mois d'août 1944[28], occupée par les forces allemandes, la ville est délivrée par les troupes de la 3e division blindée américaine, grâce au courage du maire de Saint-Martin-des-Landes, M. Geslain qui, après s'être libéré des soldats allemands qui l'avaient arrêté, indiqua les positions des Allemands aux Américains.
Héraldique
Blason | De gueules, semé de roses d’argent ; à un château de deux tours couvert d’or, maçonné de sable, soutenu d’une patte de léopard versée d’or, armée d’azur, se mouvant de l’angle de la pointe dextre. |
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Détails | Le gueules et l’or sont les couleurs traditionnelles de la Normandie, ce qui permet de replacer Carrouges dans son contexte géographique.
Le château symbolise celui de la commune, fondé par Jean IV de Carrouges au XIVe siècle. Il sera reconstruit par la famille Blosset après la guerre de cent ans et embelli par les Le Veneur jusqu’au XVIIe siècle. Le léopard est l’emblème de la Normandie. Une des pattes porte le château imageant l’idée qu’il était une des places fortes de cette province. Les roses indiquent que la sainte Vierge est la sainte patronne de Carrouges. La disposition en semé suggère les armes des Carrouges anciens qui portaient de « gueules, semé de fleurdelys d’argent ». Les ornements sont deux branches de chêne de sinople, fruitées d’or, mises en sautoir par la pointe et liées d’or pour rappeler la forêt du Parc Normandie Maine dont Carrouges est l’élément central avec la maison du Parc à proximité du château. Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable. La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Budget et fiscalité 2018
En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[33] :
- total des produits de fonctionnement : 466 000 €, soit 1 668 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 430 000 €, soit 616 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 107 000 €, soit 153 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 106 000 €, soit 152 € par habitant ;
- endettement : 144 000 €, soit 206 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,21 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,04 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 11,50 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,41 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 11,19 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 526 €[34].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2019, la commune comptait 643 habitants[Note 8], en diminution de 9,56 % par rapport à 2013 (Orne : −3,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements[39] :
- École maternelle,
- Écoles primaires,
- Collège,
- Lycée à La Ferté-Macé.
Santé
Professionnels et établissements de santé[40] :
- Médecins à Carrouges, Boucé, Râne.
- Pharmacies à Carrouges, Boucé, Râne.
- Hôpitaux à La Ferté-Macé, Argentan, Alençon.
- Maison de retraite[41].
Cultes
- Culte catholique, Paroisse Saint François en Ecouve[42], Diocèse de Séez.
Lieux et monuments
- Château fondé au XIVe par Jean IV de Carrouges, reconstruit après la guerre de Cent Ans par Jean Blosset puis agrandi et embelli par la famille Le Veneur jusqu'au XVIIe siècle.
- L'ancienne chanoinerie du château, le « Chapitre », abrite désormais la Maison du Parc, siège du parc naturel régional Normandie-Maine. Une exposition portant sur les particularités du parc peut y être visitée et des expositions temporaires sont régulièrement organisées.
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption[47],[48].
- Monument aux morts[49] : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954) - AFN-Algérie (1954-1962)[50].
Médias
- Radio coup de foudre 104 FM[52].
Personnalités liées à la commune
- Jean IV de Carrouges, chevalier né à Carrouges au début de la guerre de Cent Ans, à l'origine du château de Carrouges. Chambellan du duc Pierre II d'Alençon (un petit-neveu de Philippe Le Bel).
- Jean Le Veneur de Tillières (petit-fils de Philippe Le Veneur, baron de Tillières et de Marie Blosset, Dame de Carrouges, décédé en 1543) : évêque-comte de Lisieux en 1505 - Lieutenant général au gouvernement de Normandie - Grand aumônier du roi François Ier en 1526 - Cardinal en 1533.
- Jacob Gérard Desrivières (1751-1828), cultivateur à Carrouges-la-Montagne, député de l'Orne à la Convention nationale en 1793 — en remplacement de Charles de la Hosdinière, démissionnaire. Il siège à la « Plaine » entre les Montagnards et les Girondins, puis est député au Conseil des Anciens jusqu'en 1795.
- Le père Isidore Métayer (Carrouges, 1827 —- Lien-Chan, Chine, 1881). Missionnaire apostolique en Mandchourie, il consacra sa vie à la protection et à l'éducation des enfants orphelins[53].
- Pierre-Jean Launay (1900 à Carrouges - 1982), écrivain, lauréat du prix Renaudot en 1938.
- Michel Le Royer : comédien et metteur en scène né à Carrouges le 31 août 1932 décédé le 25 février 2022. Ancien pensionnaire de la Comédie-Française, devenu célèbre grâce au feuilleton télévisé Le Chevalier de Maison-Rouge diffusé en 1963, il dirige ensuite le cours de théâtre La Récréation à Lyon (6e). Il met aussi son talent au service de doublages de films de télévision ou de cinéma. Il est entre autres la voix de David McCallum dans la série américaine NCIS : Enquêtes spéciales et celle de Terry O'Quinn dans la série Lost : Les Disparus.
Dans la culture
Le film Le Dernier Duel (The Last Duel), de Ridley Scott (2021), relate le conflit et le duel entre Jacques le Gris et Jean de Carrouges. L'action est en partie située au château de Carrouges.
Notes et références
Notes
- Population municipale 2019.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[54].
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- Étude réalisée à la demande de l'Institution Interdépartementale du Bassin de l’Orne, par Laëtitia Persello
- Fiche commune
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Carrouges et Pré-en-Pail-Saint-Samson », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Carrouges et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Autocars
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Christian Baylon, Paul Favre - 1982 - Les Noms de lieux et de personnes - (ISBN 2098125941).
- La bataille de Rânes-Fromentel
- « Ouest-france.fr - Eugène-Loïc Ermessent n’est plus maire de Carrouges » (consulté le ).
- « Christian Thibouville est le nouveau maire de Carrouges », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Carrouges (61320) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Carrouges. Pierre Chivard élu maire contre toute attente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Professionnels et établissements de santé
- Maison de retraite
- Paroisse Saint François en Ecouve
- Cidricole
- Restaurants
- Hôtels
- Les Écuries de la Fouquière
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption
- Monument aux morts
- Mémorial
- Jumelage Carrouges (F) et Carrouge (CH)
- Radio coup de foudre
- Le Père Isidore Métayer : Un Carrougien missionnaire en Chine
- Site de l'IGN.
Bibliographie
- Inventaire du patrimoine de la commune
- Série de cartes postales anciennes de la commune de Carrouges
- Le château de Carrouges
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Carrouges, p. 239
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Annexes
Article connexe
Liens externes
- Site officiel de la commune
- Carrouges sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Sites et paysages
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