Causse-Bégon

Causse-Bégon est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie.

Causse-Bégon

Le village de Causse-Bégon.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes Causses Aigoual Cévennes
Maire
Mandat
Brigitte Évesque
2020-2026
Code postal 30750
Code commune 30074
Démographie
Population
municipale
24 hab. (2019 )
Densité 3,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 03′ 46″ nord, 3° 21′ 39″ est
Altitude Min. 498 ou 513 m
Max. 928 m
Superficie 7,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Causse-Bégon
Géolocalisation sur la carte : France
Causse-Bégon
Géolocalisation sur la carte : Gard
Causse-Bégon
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Causse-Bégon

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Trèvezel et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « gorges de la Dourbie et causses avoisinants ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Causse-Bégon est une commune rurale qui compte 24 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 117 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Caussenards ou Caussenardes.

    Le causse Bégon est aussi le nom d'un des petits causses : celui qui sépare la rivière Dourbie au sud de son affluent le Trèvezel au nord. L'est de ce petit causse est situé dans la commune de Causse-Bégon (Gard) et l'ouest dans la commune de Nant (département de l'Aveyron).

    Géographie

    Généralités

    Vue en direction de l'est depuis le village de Causse-Bégon.

    Dans l'extrême ouest du département du Gard et limitrophe de celui de l'Aveyron, la commune de Causse-Bégon couvre l'essentiel d'un petit plateau calcaire, le causse Bégon, faisant partie des Grands Causses. Il est délimité au sud par la vallée de la Dourbie et au nord par celle de son affluent le Trèvezel, et se prolonge également sur une petite partie de la commune de Nant dans l'Aveyron.

    Le territoire communal de Causse-Bégon, de forme triangulaire, s'étend sur 7,67 km2 et fait partie du parc national des Cévennes. Au nord, les gorges du Trèvezel, hautes de 300 à 400 mètres, marquent la limite communale sur cinq kilomètres.

    L'altitude minimale, 498 ou 513 mètres[Note 1], se trouve localisée à l'extrême nord-ouest, là où la vallée du Trèvezel quitte la commune et entre sur celle de Nant. L'altitude maximale avec 928 mètres est située au Montusclat[Carte 1], un kilomètre au nord-ouest du village de Causse-Bégon.

    En bordure de la route départementale (RD) 295, le village de Causse-Bégon est situé, en distances orthodromiques, 21 kilomètres à l'ouest-nord-ouest du Vigan et 23 kilomètres à l'est-sud-est du centre-ville de Millau. Le seul autre lieu de peuplement de la commune se situe à un kilomètre au nord-est, au terminus de cette RD 295, au hameau des Ubertariès.

    La commune est également desservie au nord-ouest dans les gorges du Trèvezel par la RD 157.

    Communes limitrophes

    Carte de Causse-Bégon et des communes avoisinantes.

    Seules trois communes entourent Causse-Bégon : Trèves au nord et au nord-est, et deux communes du département de l'Aveyron : Saint-Jean-du-Bruel au sud et Nant à l'ouest.

    Au nord-ouest, son territoire est distant de moins de 500 mètres de celui de Lanuéjols.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 9,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 257 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sauveur Camprieu », sur la commune de Saint-Sauveur-Camprieu, mise en service en 1998[6] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[7],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 8,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 428,3 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 23 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[15],[16].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : Les « gorges de la Dourbie et causses avoisinants »[18], d'une superficie de 28 057 ha, qui comprennent une grande partie du Causse noir, du Causse du Larzac et du Causse Bégon, ainsi que les gorges qui les séparent. Sept espèces de l'annexe 1 se reproduisent sur le site, parmi lesquelles huit espèces de rapaces[19].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[20] : les « gorges de la Dourbie et ses affluents » (14 060 ha), couvrant 11 communes dont 6 dans l'Aveyron et 5 dans le Gard[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[20] : le « causse Bégon et Pas de l'Âne Canayère » (2 277 ha), couvrant 6 communes dont 2 dans l'Aveyron et 4 dans le Gard[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Causse-Bégon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[23],[I 1],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (29,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,3 %), zones agricoles hétérogènes (24,9 %), prairies (16,6 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    La plus ancienne mention écrite connue du lieu date de l'an 1321 sous la forme lo Causse Bego[26].

    Histoire

    Causse-Bégon a fait partie de la communauté de Trèves jusque vers la fin du XVIIe siècle ; il en fut détaché à cette époque pour former, avec la Baumelle et les Ubertariès, une communauté séparée. Il faisait partie de la viguerie du Vigan et Meyrueis et de l'archiprêtré de Meyrueis.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de l'arrondissement du Vigan. Précédemment dépendante du canton de Trèves, elle est rattachée au canton du Vigan depuis 2015.

    Liste des maires

    La mairie en 2019.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001  ? Bernard Brouillet DVD  
     ? mai 2020 Christian Évesque    
    mai 2020 En cours Brigitte Évesque    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2019, la commune comptait 24 habitants[Note 9], en augmentation de 100 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    676784108117116100108109
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    999992829094848168
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    574837424949482029
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    423432322323202012
    2015 2019 - - - - - - -
    1824-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Causse-Bégon, avec 20 habitants en 2017, est la commune la moins peuplée du département du Gard, juste devant Revens (21 habitants).

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]0 %0 %5,9 %
    Département[I 5]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 14 personnes, parmi lesquelles on compte 88,2 % d'actifs (82,4 % ayant un emploi et 5,9 % de chômeurs) et 11,8 % d'inactifs[Note 10],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte emplois en 2018, contre 5 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 13, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 69,6 %[I 8].

    Sur ces 13 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, la totalité des habitants utilise un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues[I 10].

    Activités hors agriculture

    Deux établissements[Note 11] seulement relevant d’une activité hors champ de l’agriculture sont implantés à Causse-Bégon au [I 11].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations3334
    SAU[Note 12] (ha)1 101754727570

    La commune est dans le Causse Noir, une petite région agricole concernant six communes à l'extrême-ouest du département du Gard[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (trois en 1988). La superficie agricole utilisée est de 570 ha[33],[Carte 5],[Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Croix de carrefour au village de Causse-Bégon.

    Témoignages du passé préhistorique de la région, sur le territoire communal ont été répertoriés le dolmen du Sot del Viala[34] et l'un des trois menhirs de la Plaine-des-Baldits[35]. Au sud, à moins de 150 mètres du territoire communal, sur le territoire de la commune aveyronnaise de Saint-Jean-du-Bruel, trois autres menhirs ont été répertoriés : les deux autres menhirs de la Plaine-des-Baldits[36],[37] ainsi que le menhir de Pal[38].

    Causse-Bégon est l'une des rares communes françaises sans église.

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la tour d'argent, ouverte et ajourée du champ, surmontée de trois fleurs de lis d'argent rangées en chef[39].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux valeurs différentes pour l'IGN, 498 mètres sur la carte et 513 sur son ancien site.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
    • Cartes
    1. « le Portalet » sur Géoportail (consulté le 4 avril 2020)..
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Saint-Sauveur Camprieu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Causse-Bégon et Saint-Sauveur-Camprieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Saint-Sauveur Camprieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Causse-Bégon et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    14. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    16. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Causse-Bégon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « site Natura 2000 FR7312007 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Causse-Bégon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « gorges de la Dourbie et ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « causse Bégon et Pas de l'Âne Canayère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 132..
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    32. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Causse-Bégon - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    34. Dolmen du Sot del Viala, Mégalithes du monde, consulté le 2 mai 2020.
    35. Menhir de la Plaine-des-Baldits (B), Mégalithes du monde, consulté le 2 mai 2020.
    36. Menhir de la Plaine-des-Baldits (A), Mégalithes du monde, consulté le 2 mai 2020.
    37. Menhir de la Plaine-des-Baldits (C), Mégalithes du monde, consulté le 2 mai 2020.
    38. Menhir de Pal, Mégalithes du monde, consulté le 2 mai 2020.
    39. 30 074 - CAUSSE BEGON - (Gard), L'Armorial des villes et des villages de France, consulté le 2 mai 2020.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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