Cette-Eygun

Cette-Eygun (en béarnais Cèta-Eigun ou Cète-Eygun) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Cette et Eygun.

Cette-Eygun

Le village de Cette.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Ophélie Escot
2020-2026
Code postal 64490
Code commune 64185
Démographie
Population
municipale
61 hab. (2019 )
Densité 3,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 56′ 15″ nord, 0° 35′ 17″ ouest
Altitude Min. 501 m
Max. 2 560 m
Superficie 18,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cette-Eygun
Géolocalisation sur la carte : France
Cette-Eygun
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Cette-Eygun
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Cette-Eygun

    Géographie

    Localisation

    La commune de Cette-Eygun se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 65 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 33 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Etsaut (3,1 km), Borce (3,3 km), Lescun (3,7 km), Accous (4,3 km), Lées-Athas (5,0 km), Osse-en-Aspe (7,0 km), Bedous (7,1 km), Urdos (7,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Cette-Eygun fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Communes limitrophes de Cette-Eygun[6]
    Accous
    Laruns
    Borce Etsaut

    La commune fait partie de la vallée d'Aspe.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Cette-Eygun.

    La commune est drainée par le gave d'Aspe, le ruisseau de Sadum, le ruisseau Escuarpe, le ruisseau de Boudoub, le ruisseau de Cap Det Mailh, le ruisseau de Lacure, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 22 km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 664 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lescun », sur la commune de Lescun, mise en service en 1990[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 704,2 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 53 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 13,4 °C pour 1981-2010[19], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[20].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur et de l'aire d'adhésion[Note 6] du Parc National des Pyrénées. Créé en 1967 et d'une superficie de 45 806 ha, ce parc abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[23],[24].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26],[Carte 2] :

    • le « massif de Sesques et de l'Ossau », d'une superficie de 25 794 ha, présentant des habitas avec de nombreuses espèces rares, souvent endémiques des Pyrénées. Il constitue également une aire de présence régulière de l'ours des Pyrénées[27] ;
    • le « massif de l'Anie et d'Espelunguère », d'une superficie de 14 253 ha, un massif montagneux siliceux avec des secteurs calcaires, avec de nombreux habitats herbacés à boisés, siliceux à calcaires, secs à humides[28] ;
    • « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) », d'une superficie de 1 595 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[29] et une au titre de la « directive Oiseaux »[26],[Carte 3] :
    • les « hautes vallées d'Aspe et d'Ossau », d'une superficie de 49 106 ha , une vaste étendue de système montagnard et alpin étalée sur plusieurs vallées incluant la Zone centrale du Parc national des Pyrénées, dont l'intérêt est la présence d'habitats et d'espèces de haute altitude, souvent spécifiques aux Pyrénées[30].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 8] sont recensées sur la commune[31],[Carte 4] :

    • la « montagne de Liard » (7 047,09 ha), couvrant 5 communes du département[32] ;
    • le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du département[33] ;
    • la « rive droite de la Haute vallée d'Aspe » (6 491,46 ha), couvrant 3 communes du département[34] ;
    • la « Rive gauche de la Haute vallée d'Aspe » (9 444,85 ha), couvrant 5 communes du département[35] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 9],[31],[Carte 5] :

    • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[36] ;
    • la « vallée d'Aspe » (54 924,87 ha), couvrant 22 communes du département[37].

    Urbanisme

    Typologie

    Cette-Eygun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[38],[39],[40]. La commune est en outre hors attraction des villes[41],[42].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), prairies (3,2 %)[43].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

    Lieux-dits et hameaux

    • Boudoub ;
    • Cette ;
    • Départ ;
    • Eygun ;
    • Narbèse ;
    • Pouey ;
    • Rèse ;
    • Village.

    Toponymie

    Le toponyme Cette apparaît[44] sous les formes Sete (1250)[45], Ceta (1449)[46]), Sent-Pée-de-Cette (1620)[47] et Sette (1675)[48].

    Eygun, pour sa part, est mentionnée[44] sous la forme Igun (1449)[46]. Eygun vient probablement d'un basque Ihigun qui signifie jonchaie, de ihi 'joncs' et gun, suffixe locatif[49].

    La forme Cette-Eygun est restée stable depuis la réunion du village d'Eygun à la commune de Cette.

    Son nom béarnais est Cèta-Eigun[50] ou Cète-Eygun[51].

    Hydronymes

    • l'Escuarpe.
    • le Souhet (basque Zuhieta 'au pont').
    • le ruisseau de Boudoub.

    Oronymes

    • pic dera Pou (1 672 m) ;
    • Antchet (1 980 m) ;
    • Coucouroû (1 482 m).

    Histoire

    En 1385, Cette comptait 45 feux et dépendait du bailliage d'Oloron[44].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1995 mars 2008 Bernard Sarailler    
    mars 2008 mai 2020 Jean Gastou    
    mai 2020 En cours Ophélie Escot[52]    

    À l'issue de son élection, Ophélie Escot est la plus jeune femme maire de France[53].

    Intercommunalité

    La commune fait partie de cinq structures intercommunales[54] :

    • la communauté de communes de la Vallée d'Aspe ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal d'aide matérielle à la scolarisation en vallée d'Aspe ;
    • le syndicat mixte des gaves d’Oloron - Aspe - Ossau et de leurs affluents ;
    • le syndicat mixte du Haut-Béarn.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].

    En 2019, la commune comptait 61 habitants[Note 11], en diminution de 18,67 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    461448442525487510470475476
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    461453434405383412378414415
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    426405430686480323285213201
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1661781431038995868179
    2014 2019 - - - - - - -
    7461-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage (bovins et ovins). La fabrication de fromages fermiers est également une des ressources de la commune, qui fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Fermes des XVe, XVIe et XIXe siècles (four à pain, étable, porcherie, fenil).
    • Maison de maître le Château, XIVe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.
    • Gare sur la ligne Pau-Canfranc, fermée au trafic depuis 1970.

    Patrimoine religieux

    • Église romane Saint-Pierre de Cette, XIIe siècle, rénovée XVIIe siècle, fresques estimés du XVe siècle, le retable datant du XVIIIe siècle.
    • Église paroissiale Saint-Barthélemy, XIXe siècle.

    Le village est traversé par le chemin de Saint-Jacques de Compostelle.

    Personnalités liées à la commune

    Galerie

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Cette-Eygun » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Cette-Eygun », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type I sur la commune de Cette-Eygun », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Cette-Eygun », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    6. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Cette-Eygun », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Cette-Eygun et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Cette-Eygun et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Cette-Eygun », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Fiche communale de Cette-Eygun », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le gave d'Aspe ».
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    16. « Station Météo-France Lescun - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Cette-Eygun et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    26. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cette-Eygun », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « site Natura 2000 FR7200744 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7200746 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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