Lées-Athas
Lées-Athas (en béarnais Lées-Atas) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Lées-Athas | |||||
![]() Mairie-école et fronton à Lées. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut Béarn | ||||
Maire Mandat |
Patrick Maunas 2020-2026 |
||||
Code postal | 64490 | ||||
Code commune | 64330 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
250 hab. (2019 ![]() |
||||
Densité | 5,6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 58′ 32″ nord, 0° 37′ 14″ ouest | ||||
Altitude | Min. 417 m Max. 2 503 m |
||||
Superficie | 44,81 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Oloron-Sainte-Marie (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Géographie
Localisation
La commune de Lées-Athas se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[1].
Elle se situe à 60 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 28 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Accous (1,8 km), Osse-en-Aspe (2,4 km), Bedous (3,3 km), Lescun (4,6 km), Cette-Eygun (5,0 km), Aydius (7,2 km), Etsaut (8,1 km), Borce (8,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Lées-Athas fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
La commune est frontalière avec l'Espagne (Navarre). Elle fait partie de la vallée d'Aspe.
Paysages et relief
- Vue du village de Lées.
- Entrée du village d'Athas.
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Aspe, la Berthe, le Malugar, L'Aidy, le Lauga, le ruisseau de Copen, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 27 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[9].
- Ruisseau le Malugar à Athas.
- Moulin d'eau à Lées.
- Réseaux hydrographique et routier de Lées-Athas.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Accous », sur la commune d'Accous, mise en service en 1952[15] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 679,6 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 50 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[23],[Carte 2] :
- le « massif de l'Anie et d'Espelunguère », d'une superficie de 14 253 ha, un massif montagneux siliceux avec des secteurs calcaires, avec de nombreux habitats herbacés à boisés, siliceux à calcaires, secs à humides[24] ;
- « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) », d'une superficie de 1 595 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[25] ;
et deux au titre de la « directive Oiseaux »[23],[Carte 3] :
- les « hautes vallées d'Aspe et d'Ossau », d'une superficie de 49 106 ha , une vaste étendue de système montagnard et alpin étalée sur plusieurs vallées incluant la Zone centrale du Parc national des Pyrénées, dont l'intérêt est la présence d'habitats et d'espèces de haute altitude, souvent spécifiques aux Pyrénées[26] ;
- la « Haute Soule : massif de la Pierre Saint-Martin », d'une superficie de 18 312 ha, un vaste ensemble montagneux de basse à haute altitude[27].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[28],[Carte 4] :
- le « cirque de Lescun » (5 691,44 ha), couvrant 4 communes du département[29] ;
- la « forêt d'Issaux, pic Soulaing, soum d'iIre et pic du Layens » (8 075,98 ha), couvrant 4 communes du département[30] ;
- le « massif karstique du pic d'Anie et gouffres de la Pierre-Saint-Martin » (2 464,26 ha), couvrant 3 communes du département[31] ;
- le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du département[32] ;
- la « Rive gauche de la Haute vallée d'Aspe » (9 444,85 ha), couvrant 5 communes du département[33] ;
et deux ZNIEFF de type 2[Note 8],[28],[Carte 5] :
- le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[34] ;
- la « vallée d'Aspe » (54 924,87 ha), couvrant 22 communes du département[35].
Site du CER Aquitaine
Le val de Copen (9 ha) est un des sites du conservatoire régional des espaces naturels des Pyrénées.
Urbanisme
Typologie
Lées-Athas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[36],[37],[38].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (28 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,9 %), prairies (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %)[41].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Lieux-dits et hameaux
- Lées ;
- Athas ;
- Anich ;
- Cuyalars du Boué ;
- Eygarry ;
- Peyraube ;
- Asun;
- Anie ;
- Camblong.
Toponymie
Le toponyme Lées /lés/ apparaît[42] sous les formes Léès (1215, cartulaire de l'évêché d'Oloron[43]), Leet (1449, règlements de la Cour Majour de Béarn[44]), Les (1538, réformation de Béarn[45]), Sancta-Maria de Lées (1603, insinuations du diocèse d'Oloron[46]).
Le village d'Athas /atas/ apparaît[42] quant à lui sous les formes Atass (1154[47], cité par Jean Vignau-Lous[48]), Atas (1250, for d'Aspe[49]), Attas/Athas (1591[47], cité par Jean Vignau-Lous[48]), Sanctus Felix d'Atas et Sent Phelip d'Ataas (1608, insinuations du diocèse d'Oloron[46]) et Atas sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[47]. Athas est probablement un dérivé en -atz/-as du basque athe 'porte'[47].
Son nom béarnais est Lées-Atas.
Histoire
En 1385[42], Lées comptait 29 feux et dépendait du bailliage d'Aspe.
Paul Raymond[42] mentionne l'existence d'une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
Exploitation de la mâture et port d'Athas
L'exploitation des forêts de la vallée d'Aspe pour fournir en mats la Marine Royale débute à la fin du XVIIe siècle. Elle est confiée à cette époque à un certain Gabe de Sarrance. C'est alors qu'apparait le port d'Athas, les troncs sont descendus de la montagne par des chariots tirés par des attelages de bœufs, mis à l'eau à Athas et conduits par flottage sur radeaux jusqu'à Oloron puis Bayonne[50]. Vers 1710, 300 radeaux quittaient le port d'Athas chaque année[51].
Gabe puis ses successeurs ne donnant pas satisfaction, l'exploitation est confiée, en 1758, à la société Forcade d'Oloron. 130 ouvriers sont recrutés ainsi que des radeleurs de Comminges (conducteurs de radeaux de flottage). Le port s'agrandit et un moulin à scie est construit. En 1764, l'exploitation change de nouveau de main, elle est gérée par le sieur d'Arripe puis finalement prise en charge par la Marine Royale en 1766. L'ingénieur Leroy va alors développer le port d'Athas et gérer l'exploitation forestière[50]. Les grands chemins de la mâture de la vallée d'Aspe datent de cette époque.
Le port était constitué d'un bassin de 91m x 32 m dans lequel étaient assemblés les radeaux. Il s'ouvrait vers le gave d'Aspe par deux écluses. Une dérivation du gave alimentait le bassin ainsi que le moulin à scie. Les chemins de la mature d'Issaux et du Pact (cf chemin de la mâture) convergeaient vers le port[52].
Durant cette grande époque, Athas possédait un magasin royal fournissant tout ce qui était nécessaire à l'exploitation des forêts, des forges, des ateliers de construction, une étable abritant une soixantaine de paires de bœufs, un grenier de 8000 quintaux de foin[51], une chapelle (chapelle de la Mâture) et un "hôpital" (maison Espitalère)[53],[52].
Malesherbes visite l'installation d'Athas en 1767 et en rédige un mémoire détaillé[54].
L'exploitation de la forêt d'Issaux se termine en 1780, le port d'Athas n'est alors plus utilisé et disparait peu à peu[53].
Politique et administration
Intercommunalité
La commune fait partie de cinq structures intercommunales[56] :
- la communauté de communes de la Vallée d'Aspe ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat de télévision d'Oloron - Vallée d'Aspe ;
- le syndicat intercommunal d'aide matérielle à la scolarisation en vallée d'Aspe ;
- le syndicat mixte du Haut-Béarn.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[58].
En 2019, la commune comptait 250 habitants[Note 11], en diminution de 14,09 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage (bovins et ovins). La fabrication de fromages fermiers est également une des ressources de la commune. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Une scierie est actuellement en activité.
La pureté des eaux des gaves pyrénéens a en outre permis le développement de la pisciculture.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Maisons des XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles (four à pain, étable, porcherie, fenil).
Patrimoine religieux
- Ěglise Notre-Dame d'origine romane XIIe siècle (Lées).
- Église Saint-Félix XVe siècle (Athas).
- L'église Notre-Dame de Lées côté chevet.
- Tour de l'église de Lées.
- L'église Saint-Félix d'Athas.
Équipements
La commune ne possède plus d’école élémentaire.
Personnalités liées à la commune
- Bernard Pourailly (1775-1828), général des armées de la République et de l'Empire y est né.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Lées-Athas » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lées-Athas », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type I sur la commune de Lées-Athas », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Lées-Athas », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Lées-Athas », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lées-Athas et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lées-Athas et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lées-Athas », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- (es) Ministère espagnol de l'agriculture, pêche et environnement, « GeoPortal », sur sig.mapama.es (consulté le ).
- « Fiche communale de Lées-Athas », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave d'Aspe ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Accous - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lées-Athas et Accous », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Accous - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lées-Athas et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lées-Athas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200746 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200792 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7210087 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7212008 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Lées-Athas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cirque de Lescun » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt d'Issaux, pic Soulaing, soum d'iIre et pic du Layens » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif karstique du pic d'Anie et gouffres de la Pierre-Saint-Martin » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « Rive gauche de la Haute vallée d'Aspe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée d'Aspe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Oloron-Sainte-Marie », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque - Paul Raymond
- cité par Pierre de Marca dans son Histoire de Béarn
- Règlements de la Cour Majour de Béarn, manuscrits du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Collection manuscrite du XVIe au XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Insinuations du diocèse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviie siècle..
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
- Jean Vignau-Lous, Promenade archéologique en Vallée d'Aspe, collection des Amis des églises anciennes du Béarn, .
- For d'Aspe, manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- L. Labarere et J. Dumonteil, « L'exploitation de la mâture en forêt d'Aspe d'après l'Ingénieur de la Marine P.M. Leroy », Pyrénées, Lourdes, Société des amis du Musée pyrénéen, , p. 275-280 (lire en ligne).
- André Bach, « L'épopée de la mâture », L'indépendant, , p. 4 (lire en ligne).
- L. Labarere et J. Dumonteil, « L'exploitation de la mâture en forêt d'Aspe d'après l'Ingénieur de la Marine P.M. Leroy », Pyrénées, Lourdes, Société des amis du Musée pyrénéen, , p. 326-327 (lire en ligne).
- G. Huffel, « Les exploitations de bois de mâtrue au XVIIIe siècle dans une vallée pyrénéenne », Revue des eaux et forêts : économie forestière, reboisement, , p. 417-424 (lire en ligne).
- Pierre C. Lamicq, « Malesherbes à la mâture d'Athas en 1767 », Pyrénées, Lourdes, Société des amis du Musée pyrénéen, , p. 313-337 (lire en ligne).
- « Patrick Maunas réélu », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 30.
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Portail des communes de France
- Portail des Pyrénées
- Portail du Béarn
- Portail des Pyrénées-Atlantiques