Chambray-lès-Tours

Chambray-lès-Tours est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. Située dans le sud de la métropole de Tours dont elle fait partie, elle compte près de 12 000 habitants, soit la sixième plus grande ville de l'intercommunalité.

Pour les articles homonymes, voir Chambray (homonymie).

Chambray-lès-Tours

La mairie.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Tours Métropole Val de Loire
Maire
Mandat
Christian Gatard
2020-2026
Code postal 37170
Code commune 37050
Démographie
Gentilé Chambraisiens
Population
municipale
11 880 hab. (2019 )
Densité 612 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 20′ 18″ nord, 0° 42′ 52″ est
Altitude Min. 64 m
Max. 96 m
Superficie 19,4 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Montlouis-sur-Loire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Chambray-lès-Tours
Géolocalisation sur la carte : France
Chambray-lès-Tours
Liens
Site web ville-chambray-les-tours.fr

    Chambray-lès-Tours est notoire pour ses importantes zones marchandes, le centre commercial Chambray 2 et La Petite Madelaine, en plus de grandes infrastructures de santé, l'hôpital Trousseau et le pole santé Vinci. La ville est la plus dynamique de la métropole, étant un important bassin d'emplois.

    Vivant longtemps de l'agriculture, la population a été multipliée par dix depuis la Seconde guerre mondiale grâce à un important développement immobilier, à l'instar du nouveau quartier de la Guignardière.

    Géographie

    Situation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

    Communications

    L'autoroute A10 et l'ex-route nationale RN 10 (Paris-Bordeaux-Bayonne), aujourd'hui RD 910 ainsi que l'ex-RN 143 (Tours-Châteauroux), aujourd'hui RD 943, sont les principales voies d'accès à la ville. La ville est, en outre, contournée et desservie par le boulevard périphérique de l'agglomération tourangelle (un point d'accès sur l'A10, un sur la RD 910 et un dernier sur la RD 943 au sud-est de la ville).

    Communes limitrophes

    Les communes jouxtant Chambray-les-Tours sont les suivantes.

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Chambray-lès-Tours.

    Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 5,82 km, comprend deux petits cours d'eau dont le Saint-Laurent[1]. Ce cours d'eau prend sa source à la Papoterie, son cours est largement artificialisé pour passer sous les routes, la rocade de Tours, l'autoroute et le TGV. Après la Papoterie, le ruisseau file en direction du sud-ouest, traverse la Charpraie, coule entre les fermes de la Florière et de la Brissonnière avant de traverser le lac de Chambray, un lac artificiel qui accueille des clubs de voile, de pêche et d'escalade[2]. Puis il s'encaisse légèrement dans le secteur de la Petite Madelaine avant d'alimenter les étangs de Sainte-Appoline, puis de passer sur Veigné et Montbazon. La confluence avec l'Indre se fait à Monts, au niveau du château de Candé[3].

    Urbanisme

    Typologie

    Chambray-lès-Tours est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[7] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (45,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (32,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (22,5 %), terres arables (22 %), forêts (20,3 %), zones urbanisées (19 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,2 %), prairies (1,7 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    Chambray-lès-Tours a porté différents noms : Chamberium en 1245, Chamberio en 1290, Parochia de Chambreio en 1320 avant de devenir Chambray au XVIIIe siècle puis Chambray-lès-Tours en 1918. Il s'agirait d'une dérivation du nom d'un propriétaire gallo-romain ayant habité sur ce site : Cambarius[14].

    Histoire

    Origines

    Des fouilles archéologiques réalisées à Chambray-lès-Tours ont mis en évidence une occupation gallo-romaine, notamment des vestiges d’une voie romaine dans le bois du Saint-Laurent et de l'exploitation du fer et du silex dans la zone. Dans le bois de Chambray, les vestiges d'un tumulus et d'une mardelle ont été découverts, en plus de sites funéraires dans le sud-ouest de l'actuelle commune[14].

    Sous l'Ancien Régime, Chambray est un fief rural propriété des seigneurs de Montbazon, avant d'être séparée par la Révolution française[14]. En 1907, dans le contexte de la loi de séparation des Églises et de l'État, la mairie s'installe dans un ancien presbytère, jusqu'à ce qu'un bâtiment dédié soit construit en 1965 pour accueillir les services municipaux[15].

    Développement contemporain

    Place Dian Fossey, quartier La Guignardière.

    Longtemps tournées vers les activités agricoles et viticoles, Chambray connait un important développement urbain depuis les années 1970 du fait de l'implantation de zones commerciales et de maisons individuelles. La population a été multipliée par dix depuis 1946.

    L'aménagement le plus marquant des dernières années est sans doute la création du nouveau quartier de La Guignardière, au nord-ouest de la commune sur 23 hectares de terres agricoles. Gérées en régie municipale avec un budget de 22 millions d'euros, les constructions devraient s'étaler de 2017 à 2026. Le projet prévoit 600 nouveaux logements, dont 25 % sociaux et 40 % d'appartements ou maisons mitoyennes plus 60 % de maisons individuelles[16]. La place Dian Fossey marque la partie centrale du quartier, qui accueillera les logements collectifs, commerces et espaces verts ainsi que la maison de quartier ouverte fin 2020[17]. En septembre 2021, le bailleur social inaugure deux immeubles sur cette place, comprenant 44 appartements et surfaces commerciales, tandis que les maisons s'installent progressivement en périphérie[18]. En mai 2022, deux immeubles sont inaugurés à l'entrée sud du quartier pour 53 logements sociaux dont 16 prévus pour des personnes handicapées[19] et le mois suivant, quatre immeubles de 77 logements privés sont achevés, au nord de la place Fossey[20].

    Dans le même temps, la ville poursuit son développement immobilier le long des avenues de Bordeaux et de la République, à proximité du futur tracé potentiel de la seconde ligne de tramway. Chambray est ainsi la ville la plus dynamique de la métropole, la population devant atteindre 13 000 habitants d'ici 2025[21].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? 1977 Étienne Cosson DVD Conseiller général (1957-1970)
    1977 1983 Michel Durand PS Professeur de mathématiques
    1983 2001 James Bordas UDF-PR Inspecteur central du Trésor (retraité)
    Sénateur (1992-2001)
    2001 En cours Christian Gatard PS
    puis DVG[22]
    Fonctionnaire

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2006[23].

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[24].

    Jumelages

     Bad Camberg (Allemagne)

    Située à une quarantaine de kilomètres de Francfort-sur-le-Main, Bad Camberg a conservé son caractère historique avec des constructions à colombages. De nombreux édifices historiques subsistent comme l'Obertorturm (XIVe siècle), l'ancienne pharmacie (1480), la maison de Sadony (1592), la chapelle de Hohenfeld (vers 1660) qui abrite le musée local. Le 15e anniversaire du jumelage le 24 mai 2003 a renforcé l'amitié entre les deux villes.

     Võru (Estonie)

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[25],[Note 3]

    En 2019, la commune comptait 11 880 habitants[Note 4], en augmentation de 9,18 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,64 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    550508555666729761754786779
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    756787788780879909921878794
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8138238148238538711 0131 1951 358
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 8103 1265 6447 3578 19010 27510 52610 73611 548
    2019 - - - - - - - -
    11 880--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Le lycée professionnel agricole de Chambray.

    Chambray-lès-Tours se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Tours Nord-Sud.

    Écoles maternelles :

    • Ecole maternelle Jean de la Fontaine
    • Ecole maternelle Maryse Bastié
    • Ecole maternelle Paul Emilie Victor

    Écoles élémentaires :

    • École Claude-Chappe
    • École Jean Moulin
    • École Paul-Louis-Courier

    École privée :

    • École Marie-de-l’Incarnation

    Collège :

    • Le collège Saint-Étienne : établissement privé, a ouvert ses portes en septembre 1993 sur la commune. Il propose une éducation générale pour une population d’environ 220 élèves.

    Lycées :

    • Lycée professionnel agricole, ouvert en 1969. Il compte 165 élèves dont une vingtaine d'internes en 2021[28], et forme à l'aide à domicile, vente en milieu rural ainsi que ventes des aliments ou vins et spiritueux[29].
    • Lycée privé Sainte-Marguerite, installé autrefois avenue de Grammont à Tours, il rejoint Chambray en 2013 dans de nouveaux locaux du quartier Horizon-Vert. Il compte près de 500 élèves et étudiants, avec baccalauréats général et STD2A en secondaire ainsi que des BTS[30].

    Sports

    Représenté par l'U.S.C (Union Sportive Chambraisienne) qui comprend de nombreux sports (aîkido, badminton, basket-ball, boxe anglaise, cyclo, escalade, football, handball, judo, karaté, natation, pétanque, plongée, tennis, tennis de table, tir à l'arc, voile, volley ball).

    Économie

    C'est dans cette ville qu’est ouvert en 1969 le premier hypermarché d’Indre-et-Loire, Suma. L'hypermarché ouvre en même temps que la première galerie marchande du département, le centre commercial Cats, qui touche l'hypermarché. Équipé de trente boutiques, Le Cats sera ravagé par un incendie en 1991 qui causera sa fermeture définitive. Le Suma prend ensuite l'enseigne Mammouth puis Rallye dans les années 1980 après l'ouverture d'un autre Mammouth à Chambray-lès-Tours dans la ZAC Vrillonnerie Centre commercial Chambray 2. Très vétuste et en perte de vitesse, notamment après l'incendie du centre commercial, le Rallye déménage en 2002 à La Riche et prend l'enseigne Géant.

    En avril 2016, La Petite Madelaine, zone commerciale étendue sur quatre hectares, est inaugurée au sud de Chambray-lès-Tours. Le centre contient une trentaine d'enseignes commerciales, dont les deux-tiers sont issus de déménagements au sein de l'agglomération[31].

    Au total, on dénombre environ 600 entreprises dans la ville en 2011, dont 300 enseignes, qui emploient au total 7 000 salariés[32]. En 2018, près de 11 000 personnes travaillent dans la commune, mais un tiers seulement y vit. Chambray constitue ainsi un important bassin d'emplois au sein de la métropole[33].

    Transports

    Chambray-lès-Tours est desservie par les transports publics du réseau métropolitain Fil bleu. La ligne Tempo 2, la plus importante ligne de bus du réseau, dessert une petite partie du nord de la commune, avenue de la République avec un terminus à l'hôpital Trousseau. La ligne 3b couvre le centre-ville et rejoint la zone commerciale, de même que la ligne 30 qui relie Trousseau à Joué-lès-Tours en passant par le centre et la Guignardière. Les lignes 14 et 36 desservent respectivement l'ouest et l'est de la commune[34].

    Chambray est prévu comme terminus de la seconde ligne du tramway de Tours, d'ici 2026. Elle devrait reprendre le tracé de la ligne Tempo 2, avec potentiellement une extension le long de l'avenue de la République avec un terminus à la Papoterie.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Symphorien de Chambray-lès-Tours. Les fonts baptismaux, deux statues et un tableau figurent dans la base Palissy. L'église est décorée avec des vitraux de la Maison Lobin à Tours. Selon le diocèse, sa nef daterait du XIe siècle, tandis que le chœur et la chapelle Nord auraient été construites entre 1520 et 1560. Le clocher a été érigé au XVIe siècle dont le sommet a été reconstruit en 1869[35].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Chambray-lès-Tours se blasonnent ainsi :

    D'argent au carrefour routier d'azur à cinq axes alésés convergeant vers un rond-point vidé du champ, orlé en filet de sinople, accosté de deux rameaux de cormier du même, fruité de pourpre, et soutenu d'une grappe de raisin de pourpre tigée de sable; au chef soudé d'or à sainte Apolline en pied de carnation, vêtue d'azur, tenant en sa senestre une palme de gueules posée en bande, accostée de deux chênes coupés au naturel [36].


    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Le lac, lieu de détente », sur http://www.fedepeche37.fr/, (consulté le ).
    3. « Le Saint-Laurent chambraisien », sur http://www.fedepeche37.fr/, (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Présentation de la Ville sur ville-chambray-les-tours.fr
    15. Les évolutions de la mairie depuis un siècle sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 31 juillet 2017
    16. La Guignardière, un éco-quartier ambitieux et ouvert à tous sur eco-guignardiere.fr
    17. L’écoquartier de la Guignardière terminé sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 24 juillet 2020
    18. Les livraisons se poursuivent à la Guignardière sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 11 septembre 2021
    19. L’écoquartier de la Guignardière s’ouvre sur l’habitat inclusif sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 7 mai 2022
    20. En(vert)gure sur ca-immobilier.fr
    21. Chambray-lès-Tours : championne des villes les plus peuplées sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 30 décembre 2020
    22. « Résultats des élections sénatoriales 2017 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Senatoriales/elecresult__senatoriales-2017 (consulté le ).
    23. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Chambray-lès-Tours, consultée le 26 octobre 2017
    24. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    28. Un nouveau proviseur au lycée agricole sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 7 septembre 2021
    29. LPA Chambray-lès-Tours sur centre.educagri.fr
    30. Sainte-Marguerite installé à Chambray sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 25 mars 2013
    31. Ma Petite Madelaine : nouveau géant commercial sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 27 avril 2016
    32. Méridiennes de mars-avril 2011
    33. La Guignardière : l’écoquartier sort de terre sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 20 janvier 2018
    34. Plan urbain sur filbleu.fr
    35. L’Eglise Saint Symphorien sur stetiennedegrandmont.catholique37.fr
    36. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=3854

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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